chez Clealan, sancerrois de coeur n°107 rue du puits de dieu

Cette fois il s'assura qu'elle dormait vraiment, il souffla doucement sur son visage,elle fit un mouvement pour chasser un insecte imaginaire, rassuré, il sortit de la forge sans bruit.

Il avait besoin de prendre l'air, il fit le tour du village sans s'arrêter en taverne, il prit quelques victuailles au marché, il était furieux qu'elle soit sortie sans le réveiller, cependant il comprenait son désarroi, elle avait perdu Anatos récemment et maitenant Diez, qu'il n'avait pas connu mais il devinait qu'il avait compté pour elle. Qu'il s'agissait d'un ami très cher. Il s'était senti blessé qu'elle ne l'associat pas à partager ce moment avec lui. Il avait senti monter la colère quand elle lui avait raconté son escapade nocturne mais il était trop bouleversé par son désespoir pour la laisser éclater et il aurait voulu l'épauler dans cette épreuve.

Sa longue marche lui fit du bien et l'aida à évacuer son sentiment de frustration, il se rendit compte qu'il était grand temps de rejoindre la forge pour se préparer à partir.

Marilou était debout quand il rentra, mais son visage portait encore les stigmates de son chagrin.

Il l'embrassa tendrement, Mon amour tu as réussi à te reposer un peu?

Il va être temps de partir, Fritz va nous attendre....

Il ferma la forge avec une certaine nostalgie, jeta le sac de voyage sur ses épaules et tendit la main à Marilou....

Ils arrivèrent trés tôt et Clélala se mit aussitôt à aérer la maison et à faire une flambée pour la réchauffer.

Mon coeur tu devrais te reposer un peu avec Syphaël avant d'aller rendre visite à tes amies.

Il entra dans la forge, il ressentit un plaisir non dissimulé à la remettre en route, il prépara le feu et rassembla les matières premières dont il avait bsoin pour la fabrication de couteaux. Il rejoignit Mari dans la cuisine pendant que les braises dont il aurait besoin se formaient.

Il s'activa à la préparation du déjeuner pendant que Marilou rangeait leurs affaires, Syphaël, fatigué par le voyage s'était endormi sur leur lit....

après une journée assez charger clélala marilou et sylphaêl rentrérent d'une soirée en taverne bien arrosée rompu de fatigue ils partirent se couché .
après une bonne nuit de sommeil marilou se leva et prepara le petit dejeuner ,elle laissa dormir clé et sylphaël puis se dirigea vers chez elle ou elle avait l'intention de faire du menage avant d'aller voire ces amies
elle laissa un mot a clé

Citation :

mon amour

comme tu dormais bien ,j'ai pas eu le coeur a te reveiller ,mais ache que je t'aime ,le dejeuner est pret ,je pars rendre visites ames amies ,prend soin de sylphaël qui dort lui aussi
je t'aime a plus tard en taverne ou ici
je t'embrasse mon amour

le mot ecris et poser sur la table marilou pris son mantel et sorti de la forge

Clé fut réveillé par les babillements de Syphaël, il se leva, Mari était déjà levée, ilprit fils dans ses bras et se dirigea vers la cuisine, il trouva le mot de Mari sur la table

[mon amour

comme tu dormais bien ,j'ai pas eu le coeur a te reveiller ,mais ache que je t'aime ,le dejeuner est pret ,je pars rendre visites ames amies ,prend soin de sylphaël qui dort lui aussi
je t'aime a plus tard en taverne ou ici
je t'embrasse mon amour
quote][/quote]

Un sourire éclaira son visage.

Oui je sais Syphaël, tu as faim, nous allons déjeuner entre homme mon jeune ami. Regarde ce que Maman nous as préparé, nous allons nous régaler mon trésor.

Il déposa un baiser sur le front de Syphaël et l'installa à table, ils mangèrent tous les deux dans la bonne humeur et Clé fut étonné devant l'appétit son fils.
Il entreprit ensuite de faire une toilette à Syphaël, il ne savait comment s'y prendre mais son fils l'aida bien et tout se termina par une bataille d'eau, Syphaël prit un malin plaisir à éclabousser son père qui riait avec lui.

Clé laissa Syphaël patauger pendant qu'il faisait sa toilette,le surveillant du coin de l'oeil, puis ils s'habillèrent.

Clé épongeat les petites flaques d'eau qui s'étalaient ça et là.

Il vétit Syphaël chaudement et prit son mantel et prenant son fils par la main il sortit de la forge.

Allons voir si nous trouvons Maman, .....

Bonjour bonjour vous deux !
'a va ?...j'espere que je derange pas...euh...je susi désolé, j'pourrai pas estre a votre mairage...came gene enormement...et euh...désolé.

Bonjour Galeallan! Entre donc!! Viens manger un morceau avec nous! Oui vraiment c'est dommage que tu ne puisse venir à notre mariage, mais si tu ne peux pas, tu ne peux pas! On ne va pas t'en vouloir par ça! Installe-toi !

Bonjour Gal, Marilou lui fit une bise affectueuse pour lui montrer qu'elle ne lui en voulait pas, et prit une tasse , elle l'invita à s'asseoir à leur table.

Merci je veux bien prendre quelque chose de chaud, il fait un de ces froid ce matin.

Gal but sa tasse pendant que Mari s'activait à ranger la table du déjeuner puis ils sortièrent et partirent en direction du centre de Sancerre.

Il entra dans la maison est ouvrit les volets pour aérer.

Marilou et Syphaël n'étaient pas encore arrivés, mais ils passeraient fatalement par la forge, il alluma un feu dans la cheminée, choisissant une belle bûche pour garantir la chaleur pendant son absence, il ne reviendrais sans doute que dans la soirée, ne sachant pas si Syphaël passerait la nuit à la forge ou chez Mitaine, il lui prépara un lit au cas ou.

Puis il laissa un mot sur la table,

Citation :

Mon amour, j'espère que tu as fait un bon voyage et que tout s'est bien passé pour vous, je te laisse de quoi vous restaurer Sypahël et toi. Je vous aime je vous embrasse tendrement.

Clé

Quand il rentra , il retrouva Mari et Syphaël, qui étaient arrivés peu après son départ.

Bonsoir Mon amour, tout va bien?

Il prit Syphaël dans ses bras pour l'embrasser et déposa un doux baiser sur les lèvres de Marilou.

Merci, mon coeur, le petit déjeuner que tu nous a laissé fut fort apprécié, nous avons fait bon voyage, mais sommes arrivés affamés. C'est à mon tour de te préparer le repas mon coeur, viens je suis sure que tu as faim toi aussi.

Ils se mirent à table et mangèrent gaiement.


Comment as-tu fait? mon ange, tu as réussi à nous faire un délicieux repas avec si peu de choses, je t'aime ma douce.

Ils échangèrent un long baiser,

Clé , Mitaine doit passer pour prendre Syphaël, je vais aller préparer ses affaires.

Il regarda son fils tendrement, viens Syphaël , en attendant nous allons mettre la forge en route. Ils se dirigèrent tous le deux vers la forge, Syphaël ne quittait pas son père des yeux.

Clé prépara le foyer et alluma les braises, puis quand le feu lui sembla assez fort, il ajouta des bûches.

Syphaël, tu veux bien m'aider à souffler sur le feu?
Il installa son fils devant le soufflet et lui montra comment l'actionner, Syphaël souriait et était très fier de pouvoir aider.

Meganilo qui pourtant desembulait très souvent dans les rues de Sancerre, fut très surpris de découvrir la maison de Clélala, il la comtempla puis toca à la porte...pas de réponse. Oh après tout Clélala était un militaire comme lui donc il devait surement se préparer à cause de l'alerte.
Meganilo décida de ne pas déranger l'homme et il partit d'un pas régulier vers la boulangerie.

Il rentra tard ce soir là, il frissonna dans la fraicheur de la maison où le feu s'était éteint, il alla chercher des brindilles et un fagot et décida d'allumer une flambée dans la cheminée, il pensa avec tendresse à la dernière soirée qu'il avait passé devant une autre cheminée à Saint-Aignan. Le feu prit rapidement et il entendit les flammes crépiter dans l'âtre. Il mangea rapidement sans prendre la peine de s'installer à table, Syphaël parti lui aussi depuis la veille chez Gaya lui manquait également.

Son regard se posa sur le bouquet qu'il avait déposé sur une chaise en entrant, il le prit et le mit dans un vase.

Puis il le déposa sur la table avec un petit mot.

Citation :

Mon amour si tu passes par la forge, ceci est pour toi, je t'aime. Clé

Ps, je dois partir très tôt demain.

Clélala arriva fort tôt ce matin là, il arivait seul, Marilou avait été retenu à Bourges par un facheux contretemps indépendant de sa volonté.

Il ouvrit aussitôt les volets en grand pour aérer la maison et mit sa forge à chauffer doucement en attente du minerai qu'il avait commandé.

Il s'activa pour faire le ménage et chasser la poussière accumulée depuis leur dernière venue.

Il monta à l'étage et fit les lits, pour Sylphaël, Princesse_boulette et leur chambre.


Quand il eut fini de préparer leurs couches respectives il sortit pour aller faire le tour de Sancerre qu'il retrouvait avec plaisir, il se sentait toujours bien à sancerre, il retrouva quelques amis en taverne et vit Megalino à qui il devait vendre son champ. Puis il rentra à la forge les bras bras rempli de victuailles.

Il referma les fenêtres et alluma un feu de cheminée...





Il prépara le petit déjeuner en prévision de l'arrivée de ses amours

Il navait pas retrouvé princesse_boulette et espérait qu'elle n'était pas à errer dans les rues de Sancerre seule la nuit, il lui avait pourtant donner l'adresse de la forge.... Il se coucha légèrement inquiet à son sujet et en espérant que sa douce mari et leur fils n'auraient pas d'ennuis sur la route.

Il se réveilla le sourire aux lèvres, découvrant avec plaisir que sa jeune et tendre épouse était bien à ses côtés; il se leva doucement et partit à la cuisine préparer un plateau avec de la tisane sombre et une miche qu'il avait pris la veille ,ainsi qu'un gâteau moelleux, il fit chauffer le lait et le sucra avec du miel, puis il remonta le tout.

Marilou commençait à s'étirer, alertée par les arômes de la tisane sombre, elle ouvrit les yeux et tourna son visage vers lui,

Mamour,,,hum ça sent bon... elle lui tendit les bras

Clé déposa le plateau sur une petite table et s'assit auprès d'elle, l'enlacant tendrement,

Ca va mon coeur, tu es arrivée tard! tu es bien reposée, il lui tendit un bol de tisane sombre et ils mangèrent tous deux de bon appétit,

Sylphaël dort encore... si on en profitait pour faire un calin?...

Hummm viens vite mon aimé, répondit-elle complice

Il débarassa les restes du déjeuner et se glissa auprès d'elle dans le lit,

Ils firent ce dont ils avaient envie....et cela ne vous regarde pas, fermeture de la porte des volets ...;

après avoir dejeuner avec clé et fais un gros calin sous la couette:ange: marilou se dit qu'il etait tant de se lever ,elle devait aller a sa maison pour l'aérer et puis faire le tour de ces amies ,sur elle avait le temps ,ils avaient pris 10 jours de conger de SA,besoin de retrouver leur amis de la ville d'a coté ,besoin de s'éloigner de SA...
elle etait bien dans les bras de son mamour au chaud sous la peau ,mais elle avait tellement de chose a faire qu'elle se leva

mamour ,je vais devoir aller chez moi pour aérer ,puis je passerais chez gayala voir ma filotte et surtout gayala ,tu me rejoind ?

je sais que tu as prevue de forger une épée ,donc je vais en profiter pour faire des tache ménagères...
si tu veux me rejoindre chez gayala pour le dejeuner je t'y attendrais .

clélala regarda sa tendre épouse puis sourit

oui biensur mamour ,je garde sylphaël avec moi et te rejoind vers l'heure du dejeuner chez gayala.

l'embrassant passionnement ,marilou fila faire une toilette puis s'habiller avant de sortir dnas le frais du matin .

Ils avaient finalement passé peu de jours à Sancerre, étant partis tous deux à Bourges , ils étaient passés rapidement chez Gaya qui les avait gentiment invités à déjeuner, Clé avait commencé à forger une épée, et avait dû s'arrêter, Mari avait occupé son temps entre des embauches, de visites à ses amies, le rangement de sa maison et l'écriture de l'histoire de la naissance de Sylphaël, ils avaient passé quelques soirées agréables en taverne en compagnie d'amis sincères, puis le temps était venu de quitter Sancerre.

Il avait rassemblé toutes ses affaires et ses outils dans une bérouette, drapé de grands linges les meubles qui resteraient en place.

Sa forge lui parut vide et cela le ramena à son arrivée quand il avait ouvert sa forge pour la première fois, il eut un regard circulaire et nostalgique, mais il fut vite remis en selle en pensant à sa vie future, il était convaincu qu'il partait pour une vie heureuse en compagnie de sa tendre épouse et de leur fils, il était fier de celui-ci, un petit garçon aussi doux que sa mère, puis il pensa qu'ils reviendraient souvent en visite.

Il ferma la porte avec soin et glissa la clé dans sa poche, puis poussant la bérouette brinqueballante il se mit en route pour rejoindre Mari, Sylphaël, et sa fillotte qui l'attendaient à la garnison.

Ici, comme sous la porte de chacune des autres habitations de Sancerre, une lettre officielle fut glissée par la main tremblante de Terry, le visage livide, le coeur battant un peu trop vite, à cause de la course qu'elle faisait, mais aussi en raison de ses craintes.

Citation :

Chers amis,

Depuis quelques jours, des rats sont retrouvés morts un peu partout, dans nos rues, nos maisons, et ce sans raison apparente.

Dame Mentaig et moi-même pensons que tout cela n'augure rien de bon, et qu'il est envisageable que nous ayons à faire aux prémices de la peste. Rien n'est encore certain, donc nulle raison de vous mettre à paniquer, mais mieux vaut prévenir que guérir.

C'est pourquoi je vous invite toutes et tous à vous rendre au domaine de Baugy afin de vérifier que vous n'êtes pas malades.

Vous n'êtes pas sans savoir que si jamais il s'agit bien de la peste, celle-ci se propage à une vitesse folle, et que les rats morts sont vecteurs de contamination. Aussi, je vous conjure de ne les toucher sous aucun prétexte si vous en voyez. La milice a été avertie et traitera les cadavres d'animaux avec la plus grande prudence, les jetant au feu sur le terrain de soule qui a été réquisitionné à cet effet. Prière donc de ne pas vous rendre là-bas, sous aucun prétexte.


Terwagne,
Maire de Sancerre

(HRP : Pour savoir si vous êtes contaminé, il vous suffit de vous inscrire sur ce forum et de suivre les instructions dans l'Antre de la puce. Le RP quant à lui se déroule sur la gargotte (ICI).

Bon amusement à ceux et celles qui participeront.)

Il était de retour pour quelques jours , chez des amis, pendant que Mari allait chercher les enfants et Bertille chez Jelu et Aryan, il ne put s'empêcher de passer devant chez lui, il hésita un instant, puis finit par ouvrir la porte, la clé grinça un peu dans la serrure.....Cela faisait maintenant si longtemps...Il regretta de n'avoir pas fait visiter le lieu à Sylphaël, il aurait aimer savoir si son fils se souvenait de la maison....une autre fois ils y viendraient, tous ensemble....

Il entra, tout était en place, les draps poussiereux recouvraient les meubles, il fait un tour rapide, arrivant devant sa forge vide.... Il lui sembla entendre le ronronnement du feu, le sifflement du soufflet, le chant du marteau sur l'enclume... Il entendit quelques trottinements... norf les souris avaient investi les lieux....Il pensa en souriant à Fripouille et à Fripon qi étaient cachés dans le baluchon de Sylphaël....

Sylphaël, Lyla,Mari, il était temps de refermer la maison...Ils allaient se demander où il était passé...

Il fit demi tour, sortit, referma soigneusement la porte...

Il partit vers la maison de Jelu......

Il ne put s'empêcher de prendre la rue du puits de dieu en sortant de la taverne, il sentait le métal froid de la grosse clé serrée dans le creux de sa main, instintivement il l'avait emportée.

Il la glissa dans la serrure, et ouvrit la porte doucement, pourvu qu'il ne réveille pas les voisins qui pourraient croire à un rodeur, il entra dans la maison.....les souvenirs l'assaillirent, c'est ici qu'il avait connu ses premiers émois de jeune homme, la solitude qui avait accompagnée ses débuts à Sancerre.

Il resta un moment dans la pénombre à humer les odeurs...à penser aux quelques amis qu'il allait laisser à Chateauroux...Karl et Crazy lui manquerait c'est sur...la discrète Rhiana...la tonitruante Noko...il allait laisser Tycoeur à ses errances sentimentales, elle ne les suivait surement pas..ne lui avait-elle pas dit dernièrement...

Je fais ce que je veux, j'ai 18 ans....elle se vieillissait pour se sentir libre..qu'elle assume...

Il alluma une bougie, la lueur blafarde l'aida à se diriger sans encombres vers la forge...dépourvue de son soufflet et de son enclûme qui les avaent suivis de ville en ville, elle faisait peine à voir..


Il jaugea les locaux....

Il faudra que j'en parle à Mari....soit habiter ici...soit y installer nos échoppes....

Il revint dans la cuisine, la maison lui semblait si petite maintenant...il avait pris leurs aises à Chateauroux..bientôt cinq enfants...il nous faudra une maison plus grande...


Il sortit de la demeure, empreint de nostalgie, et se rendit bien vite auprès de sa famille et de ses amis Aryan et Jelu.

Ils étaient arrivés le matin même, après avoir passé les remparts, ils se dirigèrent directement vers la rue du puits de dieu.....pendant que Mari descendait doucement de la charriotte, il fit descendre un à un les enfants.

Sylphaël se proposa pour aider à défaire les bagages pendant que Mari s'armait d'un balai et de chiffons, en un tour de main la maison fut dépoussierée et rangée....chacun trouvant sa place.


Lonan et Aby aidèrent Sylphaël, Lyla faisait semblant d'aider Mari.

Clé était parti au ravitaillement et Lyla vint tout de suite fouiner dans la besace.......


Ils avaient eu le temps de passer en villle rencontrer Ysabeau, Aryan, Claire, et bien d'autres.... et avaient retrouvé Zépi... quand à Balth et Jélu, ce cher Jélu....ils travaillaient encore....quand ils quittèrent le centre du village pour retrouver la chaleur du foyer....la cheminée crépitait d'un bon feu....

Ils dinèrent rapidement et couchèrent les enfants rompus de fatigue.


tu te souviens ma douce......nos premières soirées .......

Oui mon trèsor....de douces soirées....mais si nous allions nous coucher à notre tour....mon dos me fait souffrir à nouveau....

Ho.....je suis vraiment inconscient mon coeur...tout à mon plaisir....je vais t'appliquer un peu d'onguent....et nous allons dormir....


Il la laissa se preparer pour la nuit et s'approcha pour lui masser le dos.....il s'apprêta pour la nuit et se glissa dans le lit à ses côtés....la prenant tendrement dans ses bras....ils s'endormirent rapidement vaincus par la fatigue du voyage et de leur journée.....

il faisait bon être à Sancerre.