Chez Aufredy, 78 Place du puits Saint-Jean.

Terminus poursuivait sa virée folle quand il fit une halte Place du puits saint jean et se dit qu'il avait aussi une invitation à déposer ici.... il virevolta dans tous les sens pour enfin trouver le numéro 78 (quoi? oui ça sait lire un pigeon !) et il déposa sa missive dans le joli jardin bien entretenu (tiens, il a pas trouvé la porte va...)

Citation :

Pendaison de crémaillère

Lundi 21 juillet 1456

A 21h

(HRP du 21/07 au…. ^^)

Venez à vide, vous repartirez pleins ….

Nous comptons sur votre présence.

Claire et Sacred,
38 rue de Bergerac
Sancerre

il poursuivit sa contrée épuisante ...

Rouletabosse, le petit pigeon, mais vigoureux (ce volatil était petit mais il tenait à ce qu'on remarque ses qualités ^^) arriva à la demeure d'Aufredy pour y déposer un message accroché à sa petite papate

Citation :

Chère Alix,

n'ayant pu rentrer chez moi avant mon départ, tu es la gardienne de la maison ! Je te laisse donc entretenir cette belle demeure. N'oublies pas de t'occuper du jardin, et coupes les roses si besoin. Sinon les hommes sont les bienvenus à condition qu'ils restent dans ta chambre ^^

bien amicalement à toi,

Ton ami, Aufredy

Après avoir dénoué ce message sur sa papate, Rouletabosse ne savais pas quoi faire... Rentrer à Bourges, où son maître l'attendait ou rester pour attendre une réponse... ni une ni deux, Rouletabosse trouvait le jardin de son maître très agréable et se posa sur une branche en attendant une tourterelle...

Rouletabosse vint se poser sur la branche de l'arbre qu'il affectionnait particulièrement... Il contempla le jardin laissé à l'abandon. Rien ne semblait avoir bougé depuis sa dernière venue... Aucun ami aucune présence n'avait semblé frapper à la porte de son maître. "Après tout pensa le pigeon, pas de nouvelles, bonnes nouvelles...". C'est donc la triste mine qu'il s'envola les ailes pleines d'amertumes, retrouver son maître, peut être mourant, en Berry.

Avant de partir il prit dans son bec un ver, "car après tout, les droits humains laissent la place à un moment ou à un autre aux droits de l'asticot" pensa-t-il avant de s'envoler.

Alix avait été très occupée ces derniers temps c'est pourquoi le jardin manquait un peu d'entretient...
Elle décida donc de s'y mettre un peu : elle commença par arracher les mauvaises herbes qui avaient envahis les plates-bandes, tailla le plus proprement possible les rosiers, arrosa les massifs...
Au bout de la journée elle était éreintée et le pire c'est qu'il lui en resta beaucoup à faire.

"Ca m'apprendra à m'y mettre au dernier moment !" se dit-elle.

Elle se posa sur une chaise en sirrotant un ptit verre, puis lui pris l'envie d'écrire un ptit mot au propriétaire qui l'avait lachement abandonnée..

Citation :

Bonjour Aufredy (et ses compagnons de voyage) !
Ici tout va bien, les plantes sont en pleine forme ^^ et la maison est IM-PEC-CA-BLE . J'attends votre retour avec impatience! Bon voyage.
Amicalement Alix.

Rouletabosse, arriva chez son maître avec un message à sa papate.

Citation :

Chère Alix, où à ma chère tavernière amnésique,


j'espère que tu te portes bien et que la maison est bien entretenue... Pour ma part j'espère rentrer très vite de Bourges où l'armée me retient. J'ai hate de prendre avec toi un verre de poire dans le jardin.

Bien à toi,

Aufredy.

P.S. : j'espèr au passage que le niveau de ma cave n'est pas trop descendu.

Une fois la missive jetée en pleine poire d'Alix, Rouletabosse pris un peu d'eau et se retourna auprès de son maître.

Alix se prit le mot en plein dans le nez !

Grrr ! Tu vas voir sale piaf !! Si je t'attrape, je te fais rôtir avec des petits oignons et des patates nouvelles !!!!

Sur ce elle rentra dans la maison, claqua la porte et faillit casser quelques careaux tellement le coup fut violent.

grblblb.. du boudin j'en ferai, oui du boudin ! marmona-t-elle entre ses dents.
Puis après s'être calmée, elle alla passer un ptit coup de ballais dans la cuisine et se posa dans un fauteuil en entamant sa... quatrième bouteille de poire en pensant bien fort au propriétaire de ce satané pigeon...

Tu payes pour ton volatile, na !

Alix écrivit juste un ptit mot à Aufredy :

Citation :

Et puis d'abord je suis pas tavernière, na !

Quelque part assise dans l'herbe verte des sous-bois, un parchemin a la main et une plume de l'autre, Maelyss un leger sourire au lévres écrivit a son ami...

Citation :

Bonsoir Aufredy,

J'espère que vous avez ma lettre entre vos main car j'ai tant de chose a vous dire...
A l'intérieur, comme au dehors le temps est toujours aussi gris.. cela n'a point vraiment changé.
Par-dessus mon épaule j'observe sans cesse la vie qui court, poser un pas devant l'autre c'est ce que je fais depuis maintenant plusieurs jours.
J'avance sans raison dans les dédales, avec des chagrins interdits, Lorsque s'est fermé la porte de l'illusion de mon bonheur passé, une autre s'ouvre.. mais je regarde si souvent cette porte fermée que je ne voit pas celle qui s'est ouverte...

A vous je penses sans cesse, je sais que quelque part vous êtes là, prés ou loin qu'importe la distance, vous êtes là.
Je compte votre amitié parmi les plus grands bonheurs de ma vie, un réconfort dans les moments de doute et de chagrin, une source d'inspiration de chaque instant, la raison de mon esprit de m'accroché et à me mettre devant la réalité des choses.

Ce que j'aurai perdu en faisant confiance aux autres peut se calculer... mais en vérité ce que j'ai gagné par le même moyen est inestimable. L'importance que vous me donnez me va droit au coeur, vous ne m'avez jamais demandé (non non pas le ménage.. la vaiselle..^^), vous ne m'avez jamais demandé d'être meilleur ou pire, quand je suis avec vous, je ne suis en aucun cas sur mes gardes, je peut dire se que je pense sans avoir la crainte d'être jugée.. et même vous avouez mes petites vanités, haines, et toutes autres absurdités, et en vous les dévoilant, je l'ai noie dans l'océan de votre loyauté, étrangement vous me comprenez sur tout, a travers tout ça, vous savez comment me parler et me prendre, vous avez appris et pris la peine de porter votre attention sur moi, en votre compagnie je respire librement et tout simplement..

Et pourtant par mes décisions, par mes envies de fuire et de m'isoler.. je vous rend monotomne, ne vous souciez point de moi mon chér ami, vous m'avez déjà beaucoup donné, tant apporter de choses, donner même trop d'importance dans votre vie, je ne vous remercierez jamais assez pour votre hospitalité et votre amitié.

Je voulais tout simplement vous écrire ce que je ressentai ces temps-ci sur ce bout de papier, ces mots représentent énormément pour moi.
Je vous écrit enfin ces mots que je ne vous avait jamais auparavant dit, et jamais autant remercié.

Sans aucune gêne et tout en douceur, je vous embrasses,

Prenez soin de vous,

A vous mon ami de coeur.

Maelyss

Aprés avoir terminer d'écrire ces derniers mots, elle relut sa lettre avec une pointe de mélancolie, elle l'enroula et l'envoya avec son pigeon... Une main posé sur son ventre, le regard érant dans les feuillages.. elle prit un brin de respiration et se releva pour reprende sa route inconnu...

Alix revint éreintée des champs, la chaleur de la journée l'avait totalement assomée. En s'approchant de la maison, elle constata que cette dernière n'était pas vide. C'est alors qu'elle se mit en tête qu'un brigand avait sans doute pénétré dans la maison pendant son absence. Elle prit son courage à deux mains (et pourtant il lui en restait bien peu) et entra silencieusement dans la demeure à l'affut de tout bruit suspect... Soudain elle entendit un bruit de bouteille venir du jardin..

"Hein hein pas fou le voleur, la première chose qu'il fait c'est de s'entamer une bouteille de poire... mais je ne le laisserai pas finir la dernière bouteille ! Ah ça non !"

Elle avanca délicatement jusqu'au jardin et pu voir ainsi le cambrioleur de dos installé tranquillement sur le banc de pierre. Il ne lui restait plus qu'une solution : l'attaque par surprise.
Elle se jeta donc sur l'intru en hurlant tout en s'agrippant à son cou.

HAHA ! Je te tiens mon lascard ! Tu croyais pouvoir t'en sortir mais non ! Tu as là, à faire face à Alix ! Je vais te ligotter, te bayonner, et t'abandonner à l'appétit vorace des pigeons.. Héhéhéhéé

Elle put alors voir le visage du voleur... et à sa grande surprise c'était Aufredy !!

Ah mais.. euh.. gloups.. Mais qu'est ce que tu fais là ?? Tu aurais pu me prévenir que tu arrivais aujourd'hui ! J'ai eu la peur de ma vie moi...


Oh tu as pris la bouteille de poire ^^, je te l'avais gardée juste pour toi, jsuis gentille hein ?

Aufredy reçut le message de Maelyss avec émotion. Ce petit bout de femme lui manquait... mais il n'eut pas le temps de se remettre de ses émois qu'il fut attaqué dans le dos ! dans le dos !!!!!!! il sentit une petite chose bouger et s'agripper à son cou ! un vers, une bête ? non c'était Alix qui le prenait pour un voleur !!! être pris pour un voleur chez lui, le comble du propriétaire se dit-il.

alors alix comment tu vas ? si on prenait un verre pour arroser mon retour ?

Il lui proposa de s'assoir avec lui sur le banc afin qu'il lui raconte son voyage.

Le bruit du portillon derrière son dos grinça, elle sourit en pensant que c'était Aufredy qui devait être partit faire une promenade très matinale, les pas se rapprochèrent d'elle lentement, Maelyss se retourna instinctivement avec un visage rayonnant et le sourire jusqu'au yeux de lui faire la surprise de son retour... mais là....

El..en...?

C'est elle qui fut surprise, son visage se décomposa, ses yeux étaient tombé sur son regard, la gorge soudain noué elle ravala sa salive.. non ce n'était pas son amis qui était là, non, mais le pére de son enfant, celui quu'elle pensait éviter de croiser, l'homme qui avait détruit un moment de sa vie, celui qu'elle avait haït comme le diable en personne.. mais.. c'était ausi celui qui lui avait donner le plus beau cadeau de sa vie, son fils.. il était là devant elle, il avait du la voir tout à l'heure aprés qu'elle est laisser son présent devant chez lui..
Un moment de silence se fut,les deux individus se fixérent du regard, comme si les mots ne sortaient que par se langage et pourtant, il y avait rien, un grand vide... sans le vouloir Maelyss le fixé comme bloqué ne sachant pas quoi dire, elle sentait sa crainte quand ses yeux croisés les siens.
Elen était assez proche d'eux il posait son regard sur son fils puis elle, Maelyss ne savait plus comment réagir du coup comme-ci elle avait perdu ses moyens, elle serra Aaron contre son buste celui-ci commençait a avoir faim et a chouiner... elle regarda vers la porte si il n'y avait toujours pas quelqu'un qui se présenté puis elle regarda a nouveau Elenchild.

Hum.. Que..que fais tu là...Elen?

Elle appreander sa réponse, elle savait que c'était pour voir son enfant, elle ne savait pas quoi lui dire d'avance.. comment réagir? lui tourner le dos et le lui empecher une nouvelle fois de le voir? se renfrogner? s'enfuir a nouveau? desormais c'était autrement, le bébé était là, elle regarda Aaron en ecartant le tissus qu'il l'entourai, laissant apparaitre son visage et ses yeux, un visage si innocent qui se devait dêtre partager entre deux être... cette pensée fit mal au coeur a Maelyss..

Sa question était posé.. mais aucune réponse a la sienne.. elle se doutait..
Maelyss ne savait que répondre, pourquoi une tel gêne de sa part? elle ne devait pas a nouveau faillir et se sentir mal, elle ne devait rien se reprocher... ce n'était pas de sa faute..
Aaron commençait a s'agiter et a pleurer dans ses bras, elle essaya de le bercer pour le consoler comme elle pouvait, mais elle sentait le regard de Elenchild posait sur elle, cela l'angoisser, elle releva le visage, et prit son courage a deux mains, ils ne pouvaient pas rester tout deux a se regarder dans le blanc des yeux sans se dire mot.. elle redouter de s'énerver, elle redouter a nouveau que sa rencoeur reprenne le dessus si une seule de ses paroles ne lui plairait guère, mais il le fallait.. il fallait briser se mal aise, surement que son fils l'avait ressentit, d'ordinaire il était plutôt calme et serein...

Je vais mieux, ne t'inquiète pas je ne suis pas revenue pour te causer du tort.. si c'est se que tu veux savoir.

Elle s'assit sur les marches plaçant Aaron dans le creux de son bras, celui ci était en train de mordiller sa main, elle retira le tissus qui l'entourer, la chaleur commencer a s'élever.. Elle releva les yeux sur Elen en lui disant

Sa m'est plus facile ici de faire garder Aaron pour que je puisse gagner quelques écus et lui acheter quelques affaires pour qu'il puisse un minimum vivre correctement... tu comprend seule c'est pas très évident...

Elle reprit une légère respiration, sa voix avait était tremblante mais sereine, elle essayait de lui montrer aucun signe d'émotion.. le visage plonger sur celui de son enfant elle l'observait, elle réprima un sentiment non pas de joie ni même de colère, elle posa ses yeux successivement sur Elen puis sur Aaron.. mise a part la couleur de ses yeux son enfant avait une tel ressemblance avec lui, elle ne l'avait remarquer avant de les avoir tout deux devant elle.. elle se renfrogna une fraction de seconde... mais sa ne dura pas, elle se devait de pensée bien, pour lui, lui qui n'avait rien demander, lui qui demander qu'a être aimer... elle força un jolie sourire, puis ne pouvant pas s'empêcher elle aussi examina Elenchild comme si cela faisait des lustres qu'ils ne s'était pas vus..

Je suppose que... tu as vu ma lettre pour avoir su que j'étais de retour..

La question était completement idote, mais tant pis elle parlait, préferant ca plutôt que de laisser les regards voler, ces regards que Maelyss redoutait d'affronter.. mais elle savait que le pire était a venir.. son fils, se bout de chou qu'elle avait mis au monde il y a, a peine 5jours, qu'elle n'avait pas quitter d'une semelle, son coeur s'emballa rien que de penser a son futur a venir a cause de parents indigne..

Aufredy sortit de sa retraite personnelle quand il entendit frapper à sa porte. A cette heure-ci qui cela pouvait il bien être ?

Ronchonnant comme à son habitude, il descendit les escaliers. Arrivé derrière la porte il entendit un enfant pleurer, ainsi qu'une jeune femme.

Se frottant les yeux, il se mit à réfléchir, cela ne pouvait être que Maelyss ^^ oui Maelyss, elle est enfin de retour se dit il, le sourire au lèvre Le bébé était enfin né et elle était là derrière la porte... Il se remémora les bons moments lorsque Maelyss animait avec son mauvais caractère sa demeure.

Alors qu'il allait ouvrir la porte il entendit un homme demander à Maelyss

Citation :

Ma.. Maelyss... comment vas-tu ?

cet homme ne pouvait être qu'Elenchild !

Aufredy se frappa le front en pensant que la première personne que voyait Maelyss était son ancien compagnon, la cause même de son départ... la pauvre... décidément le démon est partout

Aufredy resta derrière la porte ne sachant que faire . enfin il se décida de faire un oui sonore

Maelyss assise faisait tout pour passer pour calme. Elen ne se serait sans doute rendu compte de rien si le bébé n'avait pas commencé à pleurer. Il ne savait pas vraiment quoi dire et faire, venu ici pour les voir, venu ici pour discuter, venu prendre des nouvelles...

Il baissa son regard, comme rongé par la honte. Honte, qu'il gardait depuis leur séparation. Cette honte qui le faisait souffrir au début de sa relation avec Omi. Cette honte qu'il avait appris à vivre avec et ne se souciait plus depuis le départ de Maelyss.

Il remonta son regard sur elle, il savait qu'il ne l'aimait plus de cet amour qui les avait uni. Mais il avait toujours cette envie de la choyer, comme le ferai un ami avec son amie. Il finit par oser parler, mais sa voix était tremblante, un malaise ambiant régnait depuis leur retrouvailles.

Oui, ... quand j'ai vue ta lettre je suis venu tout de suite ici. Je voulais te voir et, baissant son regard sur le bébé, lui aussi.

Soudain un Oui derrière la porte. Aufredy était là, Elen se sentit encore plus gêné. Devait-il rester ? Devait-il fuir ? Il regardait Maelyss, le bébé puis la porte, Maelyss, le bébé puis le porte. Ce manège ne cessait, c'était à tourner fou.

Puis, il s'arrêta sur Maelyss.

Tu ne lui réponds pas ?

Un OUI se fit entendre, Maelyss a son tour se sentit mal a l'aise.. Elenchild et Aufredy.. si elle imaginer son retour ainsi.. son cœur s'emballa faisant ressentir de plus en plus son stress a son bébé.

Tu ne lui répond pas?

Heum.. oui.. si.. je...

Son regard se posa sur la porte furtivement puis sur Elen, et a nouveau sur la porte craignant que Aufredy sorte et se tire les cheveux en voyant Elen, elle soupira et se leva en se dirigeant vers Elenchild

Je... écoute... c'est une mauvaise idée que tu sois venu chez Aufredy.. tu sais bien.. desolée

Desolée? était-elle vraiment désolée? elle avait bien prononcé ce mot? non elle pouvait pas y croire.. ce mot c'était échapper sous le coup de l'angoisse, et puis le regard que Elenchild avait.. Maelyss en était triste pour lui, un côté d'elle en était touché, et l'autre était encore renfrogner. Elle regarda a nouveau la porte et se dirigea vers le portillon en regardant Elenchild qui avait l'air perdu et ne sachant que faire, Maelyss en eu de la peine, elle ne voulait pas que les choses se passent ainsi.. mais ce n'était pas le moment.
Elen comprit qu'il fallait qu'il s'en aille, au passage Maelyss murmura entre les pleurs de Aaron.. elle regretterait peut être mais pour une fois depuis des mois elle écouta le peu de cœur qui lui resté, elle le lui dit tout de même..

J'ai demander une maison, si tu veux... si.. as quelques chose a me dire je serais dé demain au 95 rue de l'arbre cœur..

Elle referma le portillon, cajolant son fils, reprit une grande respiration et se redirigea vers la porte en essayant de sourire au mieux possible, puis retapa a nouveau a la porte.

Aufredy, il y a une surprise pour vous... ouvrez moi enfin