36 rue du premier maire morpheus: chez Gaya et les enfants.

Mandine été heureuse pour le couple.

Félicitation !

Elle espérait avoir son invitation pour leur mariage.Elle alla fair un ro bisou a Gaya.Mandine aussi aimerait ten avoir des enfants avec l'homme de sa vie.

Skeleton rejoigna Whoopie , la serra fort dans ses bras puis l'embrassa tendrement . Il était tellement heureux de la grande nouvelle que Gayala venait de dire qu'il demanda à sa douce : Mon amour , veux tu nous faire un enfant ?

Skeleton voyait que sa douce était toute retournée par sa proposition .
Il alla lui servir un verre d'alcool fort pour se remettre de ses émotions .
Tien mon amour ça te fera du bien ^^.

claire, en entendant la nouvelle que gaya venait de dévoiler était toute émue et très heureuse pour ses amis.
elle s'empressa d'aller les bisouiller pour les féliciter tous deux.

Skeleton suivit sa douce et se servit un verre de poire pour s'en remettre aussi . Se retrouvant à côté de sa douce , il lui murmura à l'oreille : Je t'aime mon amour ^^ .

Moi aussi je t'aime, tu me fais le plus beau des cadeaux
Whoopie lui sourit, et se blottit contre lui.

Elenchild regardait sa bien aimée. Elle était venu se blottir dans ses bras. Ses cheveux magnifiques vibraient d'intensité gràce à la lumière. Son sourire rayonnait, il ne l'avait jamais vue aussi heureuse mise à part le jour où ils décidèrent de se marier.

Quelle vive émotion, lui qui avait toujours rêvé d'être papa en quelque mois venait d'adopter deux enfants et d'en concevoir un autre. Il lui prit la main et la repose sur le canapé. Il se mit à genoux devant elle lui tenant toujours la main dans un geste doux et affectueux.

La regardant dans les yeux, il y vit cette étincelle d'amour si chaleureux. Il n'arrivait plus à se contenir. L'alcool était redescendu dès qu'il avait entendu cette nouvelle. Ils s'observaient, elle tentant de comprendre ce qu'il lui voulait, lui cherchant ses mots et ne pouvant réfréner des larmes qui commencaient à perler.

Ma douce, ma moitié, mon ange. En ce jour d'anniversaire de ces deux petits que j'aime presque autant qu'un père pour ces enfant, j'ai décidé de renouveler une demande faite il y a quelque temps. Afin de sceller cette idylle, afin de confirmer cette aventure merveilleuse, pour le seconde fois je te ferai cette déclaration.

Un enfant de mon sang grandit au fond de toi, et ce bonheur me donne des larmes de joie. Je t'aime comme un fou, ce sentiment est si puissant qu'une seconde sans ta présence me rend désoeuvrer, sans âme, vide. En cette soirée d'anniversaire, je veux te redemmander ceci, acceptes tu de vivre pour l'éternité avec moi ? Acceptes-tu de m'aimer jusqu'à ce que mort nous sépare ? Acceptes-tu cette main tendu vers toi ?

Mon amour est si grand, te perdre serait mon glas. m'épouser feras-tu ?

Une semaine enfermée à Baugy, à ne s'occuper que du petit Gabriel, avait fait un bien fou à Mentaïg. Elle n'avait rien fait d'autre ! Même pas ouvert le pigeonnier, encore moins le mésangier. Depuis plus de seize mois qu'elle travaillait sans une journée de repos, elle avait ressenti le besoin impérieux de s'arrêter un peu.
Le premier parchemin qu'on lui porta, quand elle décida qu'il était temps pour elle de revenir au monde, provenait de chez Gayala.

Un an ! Ils ont déjà un an, ces petits !

Elle eut un regard attendri pour Gabriel, qui gazouillait dans son berceau. Sur une impulsion, elle le prit dans les bras et il lui sourit.

Venez, Gabriel. Nous allons en visite !

Le chemin de Baugy à Sancerre fut vite parcouru. L'enfant dans les bras, Mentaïg frappa au 36.

Gayala se leva pour embrasser Mandine et la remercier encore une fois quand on frappa à la porte. Elle alla ouvrir et trouva Mentaig et un epetit bout dans les bras sur le pas de la porte.

Vous ici? Mon amie, je ne vous attendais plus. Lui dit-elle en souriant. Entrez, entrez, ne restez pas dehors ainsi. Dites-moi, ce bout de chou est à vous? Alors, ces vacances, vous ont fait du bien? Vous avez l'air plus reposé qu'avant, si je ne m'abuse.

Elle alla chercher uen tasse de tisane et l'amena à Mentaig. Voila pour vous, je suppose que je ne me trompe pas, toujours à la tisane.

heureuse de ces bonnes nouvelles, claire trouva que l'heure de rentrer était arrivée.
elle alla donc bisouiller whoop' skel', contente pour eux aussi, bien que la vie sans les boulasses de whoop' .
Puis, elle se dirigea vers Gaya, la bisouilla en la félicitant encore et fit de même pour Elen.
messieurs, prenez soin de vos dames, sinon gare ! mais je vous fait confiance.
bonne fin de fiesta à tous et à très bientôt

claire se dirigea vers la porte, prête à retourner à ses vadrouilles habituelles

un pigeons se pose fatigues sur le rebord

Citation :

mon amie et ton ami excuse me rapelle plus son non je suis impardonnable j'avait oublié mes pigeons.....
voila je vais bien meme si j'ai ete egratigne .....je reprend le combat ,
mais tout le monde me manque....j'embrasse les jumeaux toi et ton compagnon....
je pense que mes pigeons sont fou...;ils sont partis sais pas ou....

heu mon village me manque ....mes amis....;mais j'irai au bout de ma promesse .......

ton ami Frizt
ps donne a tout mes ami que vais bien pleure

Amélia terminait de coiffer Alix. La petite fille avait de fins cheveux blonds bouclés qui prenaient une teinte légèrement rousse à la lumière du soleil. Aurait-elle la même chevelure de feu que sa maman? Il était encore trop tôt pour le dire.
La jeune maman avait vêtu sa fille d'une petite robe de laine légère, rose et blanche et lui noua un ruban rose dans les cheveux.
Qu'elle était belle, Alix avec ses grands yeux clairs et son petit air mutin. Les yeux de son papa...

Amélia s'éveilla de sa contemplation de mère abasourdie par l'incomparable beauté de son enfant.

"Bon allez c'est pas tout ça, mais si nous nous sommes faîtes belles c'est pour aller chez Gaya, souhaîter un bon anniversaire aux jumeaux. Nous n'avons que trop tardé."

C'est donc portant sa fille dans ses bras, coincée sur sa hanche, qu'Amélia arriva devant chez Gaya.

Mentaïg sourit, heureuse de se trouver là.

Toujours à la tisane, oui ! Plus que jamais, même.

Elle serra un peu plus fort contre elle le petit Gabriel, dont c'était la première sortie hors de Culan ou Baugy, et qui promenait autour de lui son clair regard, tout calme.

Je vous présente Gabriel Cornedrue, fils de Messire le Vicomte de Culan et de Dame Maryan. Ce n'est pas vraiment le mien, mais j'en suis venue à le considérer comme mon fils. Où sont vos enfants ? Je voudrais leur souhaiter leur anniversaire ! Non qu'ils y attachent une grande importance, à cet âge, mais bon...

La pièce était pleine de monde. On frappa. Mentaïg sourit encore, et s'effaça pour laisser passer Gayala.

Se sentant fatiguée, Betty pris congé de gaya et elen. Leur promettant de repasser d'ici peu de temps. Elle les remercia vivement pour leur invitation, et fit un baiser aux jumeaux pour leur souhaiter une bonne nuit.
Elle se dirigea vers M1ne.
Accepterais tu, de me raccompagner jusqu'à chez moi??? Il doit me rester un peu d'alcool de pommes à la maison.
Elle lui donna un tendre baiser, en échange de sa demande.