36 rue du premier maire morpheus: chez Gaya et les enfants.

Gayala arriva au numéro 36, clefs en main, son cheval d'une autre, elle regarda la bâtisse, les larmes aux yeux. Elle pouvait enfin ouvrir sa forge, son rêve depuis longtemps...

Elle lâcha son étalon noir qui alla gambader dans le jardin puis, elle baissa les yeux vers la porte; enfonça la clef dans la serrure, hésita un court instant et poussa la porte. Elle entra et vit qu'il y avait du ménage et quelques réparations à faire!!!

Bon! et bien, c'est parti!!!!Bon courage ma chérie!!! Se dit-elle!!!

Inquiète d'un courrier qu'elle venait de recevoir en réponse à une lettre de douane, Mentaïg avait quitté la taverne pour se mettre en quête de Hugo. Elle vit qu'une nouvelle maison avait trouvé preneur. Porte et fenêtres étaient ouvertes, malgré le ciel chargé et l'absence de soleil. Elle décidé de marquer une pause pour accueillir la nouvelle venue, et frappa à la porte.

Il y a quelqu'un ?

Gayala entendit soudain frapper à une porte...à SA porte!!!

Oh, Bonjour! Comment allez vous? Pardonnez moi, je suis en plein ménage!!! alors, vous avez eu mon message?

Bonjour, Gayala. Je viens de le recevoir, en effet. L'adresse de mon mésangier figure ici-même ! A votre disposition pour toute transaction.

Mentaïg ne voulait pas déranger plus longtemps. Elle aurait bien donné un coup de main, pour le ménage, mais manquait réellement de temps. Et puis, il lui fallait bien avouer que ce n'était pas vraiment ce qu'elle préférait... Elle prit congé assez rapidement.

J'espère que vous vous plairez dans cette maison. Excusez-moi, je dois vous laisser. Dame Titia m'attend pour la patrouille de l'après-midi. A très bientôt, Gayala !

Ysabeau continuait son chemin... Au numéro 10, une nouvelle forge ! Elle admira l'enseigne... Galaya... Là aussi, ne voulant point déranger la nouvelle forgeronne, elle laissa un mot.

Citation :

Bravo pour ta nouvelle demeure Galaya, et pour ton enseigne. Tu es une artiste ! Je te souhaite bonheur et prospérité. Si tu as besoin d'aide pour terminer ton installation, n'hésite pas à venir frapper à la porte du 117... Je serai ravie de t'accueillir.

Ce matin Gayala alla mettre en vente les trois couteaux qu'elle avait produit la veille et les quelques sacs de mais récoltés, puis elle alla chercher du travail à la mine afin de renflouer un peu sa bourse.

un pigeon viens sur le rebord de sa fenetre portant un message

Citation :

jesuis content d'avoir eu de tes nouvelle suis a laval pour plusieurs jours (plus d'argent pour continuer le voyage ainsi que katya et dr_snake)
te dirai quand je rentre te fait de gros bisou

Frizt

Avant de partir pour son champ, Gayala vit un pigeon se poser sur le rebord de sa fenêtre. Il portait un petit mot de Frizt. Gayala détacha le mot de la patte de l'animal, le pris dans ses mains pour le mettre dans son pigeonnier afin qu'il se repose avant de repartir. Puis elle ferma la porte et partit travailler. Sur le chemin, une petit larme coula sur ses joue que personne ne remarqua...

pour toi Gayala, je suis venue te dire que je m'en vais... mais je reviendrai...

Après être aller chercher en vain du travaille à la mairie, elle se dirigea vers la mine. Bonjour sancerre!!!

Gayala de retour chez elle après être passée devant chez Mentaig, se mit à chercher le moyen de fabriquer une torche. Elle devait descendre dans la cave de Mentaig! C'est un phénomène étrange...et apparemment, pas la première fois que ça arrive...

Gayala était occupée par une affaire importante quand soudain elle se souvint qu'elle devait retourner chez mentaig pour descendre dans la cave. Elle attrapa la torche et partit en courant à travers le village...en passant elle laissa un petit mot chez Khylo.

un pigeons tres fatigues viens se poser sur le rebord un message accrocher a sa patte

Citation :

ma chere Gayala nous sommes a Fougéres et les bretons ne veulent pas qu'on ailles a RIeux donc nous arretons notre voyages est reppartons a Sancerre je pense que nous devrions s'arreter souvent pour manger je suis impatient de te revoir je t'embrasse Frizt

Citation :

ps je te dirais quand nous arriverrons a sancerre

Gayala était en train de faire un brin de ménage chez elle quand tout-à-coup elle vit un pigeon se poser sur le rebord de sa fenêtre. Elle l'ouvrit, détacha le mot de la patte de l'oiseau. c'était un mot de Frizt. Un sourire se dessina sur le visage de la jeune femme. Il va bientot revenir...garder espoir, se réjouir...Elle attrapa une plume et son encrier et griffona une réponse à son ami.

Soudain la porte de la cave s'ouvre dans un grand fracas! Gayala sursaute et étouffe un cri de surprise tandis qu'un homme passe devant elle sans rien dire, elle est muette comme une carpe...la surprise sans doute!...L'homme prend une miche de pain et sort en courant de la maison. Au bout de quelques secondes, Gayala sort de sa torpeur et se précipite sur la porte de la cave pour la refermer; puis sur la porte d'entrée et sort sur le palier. Mais l'homme a disparu sans demander son reste.

Oh ça alors! Gayala se met à courir à son tour et se dirige vers le bureau du sergent Gallup.

Gayala se leva, fit un brin de ménage et partit chercher du travail. En attendant la réponse à l'offre, elle revint chez elle pour arranger encore quelques petites choses.

Lio passa devant la maison de Gayala et vit que la porte était ouverte. Il s'approcha et toqua.

Il y a quelqu'un ?

On toqua à la porte... Gayala alla voir...
Lio, salut, comment tu vas? ça fait longtemps qu'on ne t'as pas vu dans les parages.