La chasse au Nonos ! (le grand jeu de l'été )

[hrp]On prend le 101, je fais le rp demain ^^[/hrp]

Alyocha a entendu parler d'une quête du sergent de police de Sancerre, elle adore les mystères et veut aider à retrouver ce qu'il recherche, elle ne se souvient pô trop de quoi il s'agit..hum..Ah si une relique hihi.

Alyocha arrive timidement devant un énorme boyau (3), elle a les mains derrière le dos et regarde l'entrée..*fait noir* pense-t-elle...

Elle n'a vu personne s'y engouffrer, elle se gratte la tête en se demandant si ce ne serait pô plus prudent d'attendre une bonne âme ou de suivre un plus costaud qu'elle...et puis non, Gingle flaire les endroits où il y a de la nourriture, il se comporte d'une façon bien précise quand il y a du danger, c'est décidé elle descendra dans le sous-terrain...

Arrivée dans le fond Alyocha entend du bruit et voit au loin une faible lumière, AH!!...Elle essaye de se diriger et avance à tâton...pff elle a oublié qu'elle a une torche...quelle distraction...elle essaye de l'allumer avec les moyens du bord, pendant ce temps elle tente d'émettre un petit cri à l'attention des personnes qui se trouvent devant elle...Y A QUELQU'UN? J'SUIS ALYOCHA..HOU HOU...

Elle entend comme un drôle de bruit, ça ressemble à un énorme souffle qui vient vers elle , qu'est-ce?? Alyocha reconnaît une ribambelle de Chauve-souris...oups...elle a juste le temps de baisser la caboche avant de se faire happer, elle plonge la main dans la poche de sa braie afin de protéger Gingle, ces volantes n'en feraient qu'une bouchée...elle accélère le pas...pô facile quand il fait si sombre...elle voit enfin une silhouette, elle s'avance vers elle...c'est un homme et il se tient la joue, il semble être un peu blessé...

N'ayez pô peur j'suis Alyocha de Saint-Aignan et vous?? Vous êtes écorché?? laissez-moi regarder!

Mathilde et Jelubir se lancèrent à leur tour dans la galerie. L'avantage est qu'il y faisait frais mais on y voyait pas grand chose. jelubir alluma un flambeau et prit la tête, Mathilde se calant dans ses pas.

La progression était pénible : Jelubir glissa une fois et tomba lourdement sur son postérieur, Mathide se cogna une épaule à la voute.

Si cela continue comme ça, on va vite devenir des éclopés ! dit Jelubir

Ce n'est pas trop cela qui m'inquiète, répondit Mathilde, depuis cinq minutes, j'ai l'impression que quelqu'un ou quelque chose nous suit...

En êtes vous sûre, Mathilde? N'avez vous pas trop bu de bubulles? je n'ai rien entendu !

Ils se retournèrent quand même, avec un peu d'appréhension. Peut-être les malfrats étaient ils revenu avec de nouvelles précisions concernant l'endroit ou était caché la relique.

Jelu ! y a une forme bizarre là bas! Elle arrive sur nous !

A ces mots, Mathilde et Jelubir se rapprochent l'un de l'autre. Jelubir s'assure que son baton est bien à portée de sa main. La forme se rapproche et tout d'un coup disparait !

Ouf ! elle est partie! C'est drôle mais j'ai cru un moment reconnaître Mentaig mais ce ne pouvait pas être elle ; on l'aurait entendu ronchonner!

Bon, je prends la tête se rassure Mathilde. Continuons tout droit !

La progression continue, toujours vaille que vaille. Pas d'indices signifiant le passage de quelqu'un, pas de terre fraîchement retournée. Comme si c'était la première fois que cette galerie était empruntée.

Tout à coup, le boyau s'élargit, des grattements et des bruits de course se font entendre. Mathilde, qui avait pris le flambeau de Jelubir, le lève et...

Par Aristote !

Des rats, une nuée de rats qui, effrayés par le flambeau se précipitent vers les jeunes gens. Des coups de griffes par ci, des morsures par là...Mathilde et Jelubir se débattent comme des fous. Mathilde agite le flambeau et brûle quelques rats. Les autres se précipitent sur les cadavres brulés, attirés par l'odeur de viande grillée. Jelu et Mathilde en profitent pour prendre la poudre d'escampette.

Allons tout droit !

[la veille au 102 chez gilberg]

alors que lems plaisantait, ice lui relatait une drôle de rumeur qui courrait la ville ces derniers temps. lui ne pouvait estre au courant naturellement.

Lems : hum des souterrains datant de la bataille de la poire ?

Ice: oui ! je vous le dis mon ange !

lems prit l'air circonspect. regardant tour à tour la grille et ice.

hum ! déjà nous devons soulever cette grille

est ce qu'une corde vous irait ? parce que je crains que Augustin ne supporte pas si rude épreuve. et c'est que j'y tiens moi à mon augustin !
dit elle en riant

lems réfléchit à un moyen de faire levier sur cette grille. Elle était largement ancrée dans le sol. Peut estre qu'avec cette corde et ... et une sorte de machine haute de 8 pieds environ ....
des idées lui traversaient de plus en plus l'esprit ces derniers temps. Il voyait des dessins de toute sorte, à toute heure du jour !

allez comprendre !

oui promis on laissera tranquille vostre augustin mon coeur !

lems et ice décidèrent de laisser la demeure de gilberg sauve pour le moment. Ils s'en retournèrent au havre, ice pour chercher une corde et ses lucioles. lems pour mettre sur pied cette étrange machine. Et ils decièrent de revenir le lendemain et de faire l'affaire de cette grille, bien décidés à explorer ces potentiels souterrrains

[ce matin au 102 chez Gilberg]

de bon matin donc, lems retrouva ice au havre. Il poussait un drôle d'assemblage de bois plus haut que lui de quelques pouces tandis que ice terminait de ranger le havre.

Arrivés chez gilberg qui devait passer le pus clair de son temps dans sa baronnie, lems positionna l'engin au dessus de la grille.
ice attacha solidement la corde à la grille et fit passer le restant pardessus l'engin dans l'encoche prévue à cet effet.

Arcqueboutés l'un contre l'autre les deux étaient en position. lems assis les pieds contre les portants déportés de la machine et ice juste derrière lui.

à trois on tire, et les mains sur la corde. Rhooo

lems et ice partirent d'un grand éclat de rire

Un , deux, Trooooiiiiis

la grille s'ébranla quelque peu.

Allez encore un effort mon ange vous y estes presque, je le sens bien sur ce coup-là
tandis qu'elle gémissait, concentré à la tâche.
lems sentait le souffle de ice dans son coup et l'espace d'un instant fut décontenancé par les propos de la dame.Il espérait juste que personne ne pourrait entendre cela du dehors. Il sourit intéreurement et se remit à tirer.
la grille se soulevait à peine, mais elle était à présent désolidarisée de son socle.

Pousse pousse, repos, j'en peux plus !! Lems fit un noeud avec la corde pour ne pas perdre les centimètres gagnés. lems se retourna, ice le regardait. Sans dire mot ils éclatèrent de rire ensemble dans le même temps.

allez on y retourne mon ange !

après maintes tentatives, la grande grille glissa sur le côté, laissant juste assez de place aux deux pour se glisser dans le trou.

ice sortit sa boite de luciole et sans attendre se précipita la tête la première dans le vide.

qu'y voyez vous ice ?
ce n'est pas un puits. je vois le sol !
et?
et ben si vous arrêtiez de me retenir de la sorte par mes jupons, je pourrais vous en dire plus, m'enfin !

un éclat de rire partit dans le boyau pour revenir plus fort dans la cave
lems, sourire en coin, lacha la robe de ice.

allez on peut y descendre!
n'est ce point dangereux ?
arrêtez d'etre pleutre et arrivez par ici !

ice s'était déjà relevée et assise au bord du trou s'élança. lems s'élança à son tour, sa boîte à lucioles contre lui, son petit sac de caillou blanc attaché à la ceinture.

mais c'est bien un souterrain ! vous aviez donc bien raison ! hum, à droite ou à gauche. si je me repère bien, à gauche c'est le nord et à droite c'est le sud. enfin plus ou moins.

alors va pour le nord !

l'endroit était sombre mais peut large, on pouvait se tenir juste à deux fronts. Lems passa devant tenant la main de ice dans la sienne et la lanterne vivante dans l'autre la projetant devant ses yeux.

[direction 13]

Au point d'entrée numéro 1, près du 120

Aryan attendit Lio près du point d'entrée numéro 1. Elle vérifia soigneusement si elle n'avait rien oublié. Quelques pansements pour les éventuels bobos et des bandages pour des blessures plus graves. Des torches, de quoi allumer un feu, trois bouteilles de poire pour remonter des troupes (comment ça une troupe de deux personnes n'est pas considérée comme une troupe ?). Tiens la carte, où est elle ? Ils allaient avoir quelques soucis de déplacement sans carte ! Ah non, la voilà. Pourquoi l'avoir ranger dans le casse-croûte, Aryan devait sans doute être distraite. Arf non, il manque le porte bonheur ! Arya n'étais pas sûr que son Tendre aurait été d'accord qu'elle "emprunter" un fer à Fierorage pour une durée illimité. Tiens et la bûche, c'est une arme redoutable ça ! Aryan regarda autour d'elle et ne vit pas de trace d'éventuelle bout de bois... Tant pis !
Lio ariva en courrant, allez juste une heure et demi de retard, ce n'est pas la mort ! ()

"Excuse-moi ! Bon on y va ?"

"Oui, oui on y va mais qui s'occupe de la carte ?".

Aryan regarda Lio.

"Bon je sais, on va faire ça à la courte-paille !"

Aryan s'en alla chercher quelques brins d'herbe et s'assura qu'ils étaient tous de même taille sauf un ! Elle arriva devant Lio, le poing fermé sur les brins. Lio hésita et tira un brin. Pas de chance, c'était le plus long ! ( ). Elle lui donna la carte et alluma les deux torches et les deux compères commencèrent leur descente. Ils marchèrent une centaine de mètres quand Lio s'arrêta.

"J'ai entendu un crac Aryan"

"Meuh non, surement des rats ou autres bestioles qui font du bruit"

Aryan prit la tête du groupe et s'arrêta net. Elle recula et se mit à courrir dans le sens inverse tirant lio par la chemise. Aryan s'arréta et regarda.

"Tiens c'est jour de chance aujourd'hui, ces tunnels ne sont plus sûrs. Regarde moi ça, on ne peu plus passer ! Bon Lio, on va part où maintenant"

"HUm ... je dirai par là, direction 101 !"

"Allez viens, on se dépêche, plus on aura trouvé les ossements plus vite on sera sorti. Je ne suis pas sûre que Saya apprécie le fait que tu sois amoché."

[hrp]Norf ... Je ne suis pas fichue de mettre les couleurs où il faut ...[/hrp]

JOUR NUMERO DEUX !!

Je suis en retard, désolé, un dejeuner impromptu avec mon ami Patrick Topaloff.

Alors, la carte du jour avec les positions intermédiaires:




AU NORD:


Lio et Aryan sont revenu sur leur pas et on continué en zone " connue".
Ils sont à une intersection: A gauche 204 ? Tout droit 205 ? ou visiter la cave d'Ysabeau ??


AU CENTRE:

Hugoruth a été rejoint par Alyocha.... celle ci décide de prendre tout droit, lui hésite encore, bien lui en prend car Alyocha tombe dans un puisard !!
Elle est coincé deux mêtres plus bas.... mais heureusement que Hugoruth est la !!!

Que va faire Hugoruth ?? Sauver Alyocha d'une mort certaine et perdre un tour , ou partir par le 3

PLUS BAS:

Jelubir et Mathilde ont rejoint Bragon et Maybee qui n'ont pas encore communiqué leur mouvement.


Plein de choix s'offrent à eux !!! 103, 105, 201, aller au nord ? redescendre vers le sud ?? sortir et re-rentrer ailleurs ???


A L'EST:

Lems a pris au nord.... Longue ligne droite, un mur bascule, et il déboule dans la cave...de la garnison de Sancerre, sous le chateau !

206, 207, ou 14 ? en prennant le chemin bleu, il peut aussi aller directement à la Mairie !

AU SUD:

Mentaig arrive à une intersection. Devant des marches creusées dans la roches qui mêne vers une trappe. Au pied de cet escalier , un squelette... mort. Morceaux de cuirasse de fabrication anglaise il me semble ( "my forgeron is rich". ) Semble avoir été estourbi à l'aide d'un... crucifix, qui git à trois pas de la.

202, 203, ou chemin de ronde ?


On attend encore la position de Melsius et du couple Bragon - Maybee.

A peine quelques mètres passés torche à la main et sac sur son dos, ainsi que quelques heures écoulées, Melsius entendit comme un bruit de grincement...



Qu'est-ce que cela pouvait être? Notre bon sergent toujours prêt à en découdre avec les brigands, voleurs, tueurs et autres faquins s'apprêtait au combat... Et puis Melsius se ravisa: cela était certainement le cri d'une petite souris ou même d'un rat...



Enhardit par cette dernière reflexion, Melsius s'avança torche à la main jusqu'à la source d'où provenait ce son.


Le souffle haletant, il arriva enfin devant cette chimère mouvante, devant le petit rongeur qui jadis peuplait l'esprit de notre brave sergent...


Quelle surprise! Et quel effroi s'empara de Melsius quand il vit un rat d'au moins 6 pieds de hauteur!!...

Se frottant les yeux tout en se rappellant sa dernière boulasse, Melsius vit belle et bien qu'une telle créature pouvait exister... Damnation!!

Il essaya de ne point bouger comme un jour il avait fait avec une vipère..
Le rat le fixa... Et puis... un terrible choc!!!! En quelques secondes, tout était fini!!!



Blessé, mais pourtant reconnaissant tout de même d'être encore en vie et que la torche ne se soit pas éteinte au passage ... Il continua en boitant (mordu par cette abomination) encore pendant à peu près (du moins il lui semblait, l'enfermement le privant de tout repère temporel) 1/2 heures...

Il arriva finalement au niveau d'une intersection... Deux chemins s'offraient à présent à ses yeux.. Gauche ou droite?

Sentant que le chemin de droite lui serait plus propice que celui de gauche, il suivi son sillage...



(Chemin 106 master siouplait)

hrp: hé m'sieur! faudrait apprendre à lire! on a décidé d'aller vers les voix, donc jélubir et mathilde... et le no 104. par contre, maintenant qu'on est tous les 4, le mieux serait de se séparer, vous prenez par où?

Aryan et Lio s'avancèrent dans le tunnel droit devant eux. Il y faisait plus sombre et plus froid, et il y régnait une odeur répugnante.

Baaah! Lio, ça pue les égouts ici.

Lio ne put s'empêcher de rire suite à la réflexion d'Aryan.

T'as qu'à te boucher le nez, dit-il en rigolant.

Les deux amis avançaient lentement, le sol était humide et glissant. Il valait mieux rester prudent dans cette pénombre.

Fais bien attention, je ne voudrais pas que tu te fasses mal.

Après une dizaine de minutes, ils arrivèrent à une intersection. Un autre tunnel croisait celui qu'ils empruntaient.

Je pense que c'est la maison d'Ysabeau au-dessus du tunnel à gauche, dit Aryan, ça m'étonnerait qu'on trouve quelque chose là-bas. Mais tu entends loin devant ?

Lio s'arrêta et écouta attentivement.

On dirait des cris d'animaux. En tout cas, c'est pas humain.

Oui, mieux vaut ne pas aller par là, ça pourrait être dangereux. Prenons à droite alors.

D'accord, allons-y! Je pense aussi que c'est plus prudent. Suis-moi.

Tous deux s'engoufrèrent dans le tunnel...

[hrp]204 cette fois-ci[/hrp]

La boîte à lucioles à la main, Mentaïg fit demi-tour. Elle retrouva sans peine sa cave, et remonta jusqu’au rez-de-chaussée, où elle prit le temps de vérifier les dégâts causés par la chauve-souris.

Norf de norf ! Cette sale bête m’a arraché une poignée de cheveux !

Elle natta de nouveaux ses cheveux, très serré, et remit en place sa coiffe, à grand renfort d’épingles. Plus question de subir le même désagrément.

Je devrais peut-être demander à quelqu’un de m’accompagner, se disait-elle en se recoiffant. Si je tombais sur ceux qui ont tout cassé là-dessous ?

Puis elle se rappela avoir entendu les voix de Jelubir et Mathilde. Après tout, les autres n’étaient pas bien loin. Elle pourrait toujours appeler à l’aide. Et puis, un peu de solitude ne lui ferait pas de mal.

Autant considérer cette exploration comme une promenade récréative, tiens !

Et elle redescendit l’échelle, toujours munie de sa boîte à lucioles, dans laquelle elle avait ajouté quelques bestioles, histoire d’y voir plus clair.
La première portion du tunnel lui était déjà familière. Mentaïg réprima un frisson involontaire en atteignant la cave de Bragon, où la chauve-souris avait pris son crâne pour une proie consommable, et poursuivit son chemin, en rentrant la tête dans les épaules. Non qu’elle craignît une nouvelle attaque, mais elle n’avait pas envie de laisser quelques poignées de cheveux supplémentaires en guirlandes à la voûte surbaissée.
La bifurcation repérée précédemment fut vite en vue. Elle se situait dans une cave, en fait. Mentaïg prit le temps de l’explorer.

Réfléchissons, se disait-elle. Au-dessus de moi, c’est la maison de Reine, j’en suis presque sûre. D’ailleurs… Oui, c’est bien ça. Je reconnais cette échelle de meunier, j’ai failli la descendre sur les fesses, un jour que j’aidais Reine à remonter une caisse de bouteilles de poire.

Elle eut une pensée pour son amie morte quelques mois auparavant, et se promit de passer le lendemain voir si sa maison ne subissait pas trop les intempéries, maintenant qu’elle était à l’abandon.
Sur le sol de la cave, on discernait dans la poussière de nombreuses traces de pas. Ici aussi, les malfrats avaient tout visité. Il était donc inutile de s’attarder.
Tendant l’oreille pour s’assurer qu’elle percevait encore, au loin, le son rassurant de voix amies, la jeune femme tourna à droite.
Cette portion de tunnel offrait une légère pente ascendante. Et le sol, jusqu’à présent sec et poussiéreux, devenait peu à peu humide, puis boueux. Mentaïg avançait avec précaution, tenant haut et en avant d’elle la boîte à lucioles.

Elle s’arrêta net.
De la rude obscurité à peine trouée par la lanterne venait de surgir, à moins d’une toise d’elle, un pied humain.

[HRP]La suite demain, je suis fatiguée. [/HRP]

La nuit du jour deux !




Au nord:

Lio et Aryan ont bien progressés, mais à nouveau, une intersection !!



301 ou 302 ??

Au centre:

Oui oui, tout le monde est bien ensemble. Ca tient chaud....

A l'ouest:

Melsius est dans le fameux souterrains déja exploré l'été dernier.... il atterrit tout au bout au... cimetière, dans le caveau funeraire de la famille Mellot. Ca pue. Il fait chaud et humide.... et ..... une voix résonne... une main froide semble frôler sa nuque.... attention au fantome ...
Par ou repartira melsius , le tunnel ou sortira t-il à l'air libre pour choisir une autre entrée ??

Melsius continua donc son chemin à droite tout en boitant de la jambe droite. Peut-être avait-il d'ailleurs choisi ce chemin qui allait en parfaite harmonie avec sa jambe blessée; quoiqu'il en soit, il continua sa route.

Au bout d'un certain temps, l'air s'humidifia, la température augmenta, mais paradoxalement, il lui sembla ressentir comme un petite courant d'air glacé sur la nuque qui lui fit avoir la chair de poule...

Ce courant d'air bien que très froid semblait être une caresse.. Qu'importe, il continua à marcher lentement..

Il arriva dans une pièce étroite qui semblait à Melsius être encore plus sombre que le tunnel qu'il venait de traverser précédemment. C'est alors qu'il perça le terrible secret avec sa torche... Deux corps gisaient côte à côte sur le sol... Il leva la tête et vit gravé sur le mur:

"Içi gît la famille Mellot. Quiconque osera pénétrer cet endroit et interrompre leur sommeil éternelle verra sa vie écourter... et sa mort précipiter!"

C'est alors que ce courant d'air tantôt agréable sur la nuque du sergent devint une sorte de pression! Melsius comprit aussitôt ce qui allait arriver s'il restait plus longuement dans cet endroit maudit. Plus d'une fois il avait entendu des Sancerrois dire de cet endroit qu'il était hanté! Mais Melsius avait pensé qu'ils avaient quelque peu tous abusés de la bonne bière Sancerroise...

Notre jeune sergent scruta hâtivement la pièce, c'est alors qu'il aperçu dans un coin dérobé une source de lumière... La sortie pensa-t-il!! Melsius allait se précipiter vers elle quand il se ravisa: Je ne puis abandonné messire Gallup, je lui ai promis de chercher cette relique, je ne puis me dérober à ma promesse!

Il décida alors de courir à toute jambe (enfin, en faisant avec sa jambe meurtrie..) vers l'endroit d'où il venait...

Citation :

Elle s’arrêta net.
De la rude obscurité à peine trouée par la lanterne venait de surgir, à moins d’une toise d’elle, un pied humain.

Mentaïg se figea dans une absolue immobilité, l’œil fixé sur le pied, tout aussi immobile qu’elle. Et il n’était pas seulement immobile : il avait quelque chose d’un peu trop pâle, d’un peu trop maigre, aussi. Pour tout dire, il lui manquait même un peu de chair. Toute la chair, en fait…
Les rats étaient passés par là, et n’avaient laissé que les os.

Norf ! Je cherchais des nonos, me voilà servie.

Le pied dépassait de ce qui avait été des braies. Mentaïg s’approcha, mais elle eut beau apporter à son déplacement toutes les précautions possibles, le léger courant d’air qu’elle provoqua eut pour effet de désintégrer les restes de tissu, laissant apparaître un tibia bien poli. Comme il se doit, ledit tibia était accompagné de son jumeau, qui reposait sagement à angle droit avec le premier. Le possesseur de ces jambes s’en était brisé une dans sa chute.
Si une chauve-souris en quête de cheveux à embroussailler pouvait faire peur à la jeune femme, il n’en était pas de même d’un squelette : ça, elle savait ce que c’était. Elle s’approcha du corps.

Une chose est sûre, il ne s’agit pas des nonos que l’on cherche. Ceux-ci, ils sont trop nombreux, et ça m’étonnerait bien que le Père Nicieux ait pu en traîner autant dans sa fuite. Voyons voir…

Evitant de toucher au corps, par crainte de faire disparaître un quelconque indice quant à sa provenance, Mentaïg s’accroupit à côté. Le squelette portait encore des restes de broigne. Les deux couches de tissu entre lesquelles étaient cousues les macles, à l’origine, étaient en lambeaux, mais les pièces métalliques tenaient encore ensemble. Des anneaux de fer au niveau de la poitrine, des plaques de la taille du pouce à partir de la taille.
La mairie de Sancerre gardait dans ses caves quelques-unes de ces broignes, en souvenir du sac par les Anglois, quelques décennies plus tôt, et Mentaïg en avait observé une de près, par curiosité. Elle en conclut que le squelette était celui d’un Anglais.

En tout cas, un homme qui portait une broigne de fabrication anglaise, se dit-elle. Et vu l’état du squelette, ça doit faire dans les cent ans qu’il est mort, cet homme-là…

Elle se redressa et chercha d’autres indices, à la lueur de sa boîte à lucioles. Le corps à demi démantibulé reposait sur les premières marches d’un escalier taillé à même la roche, dont les autres se perdaient dans l’obscurité. A deux toises de là, sur la gauche, un casque avait roulé. Un heaume, plus exactement. Il était en parfait état, et n’avait manifestement jamais essuyé aucun coup.
Les yeux de Mentaïg se portèrent alternativement sur le casque et sur le squelette. Elle reprit son examen de ce dernier.
L’homme n’était pas mort dans sa chute. Il avait reçu sur la tête un coup qui lui avait proprement défoncé la boîte crânienne, au niveau de la tempe droite, à un moment où il ne portait sûrement pas de casque. Il avait donc été jeté ici du haut de cet escalier ?
Alors qu’elle levait sa lanterne le plus haut possible, Mentaïg vit un autre objet, en équilibre quelques marches plus haut. Se haussant sur la pointe des pieds, elle tâta la chose, évalua sa forme de croix.

Probablement la garde de l’épée de ce malheureux, se dit-elle.

Elle récupéra l’objet, moins lourd qu’elle ne l’aurait cru, pour l’amener dans la lumière.

Norf de norf ! Un crucifix !

Un crucifix, oui. Un magnifique crucifix ouvragé, terni par un siècle sur ces marches de pierre, mais manifestement en argent.

Voilà toujours quelque chose qui aura échappé à la convoitise de nos brigands, se réjouit-elle.

Quelque chose bougea, au bout d’une des plus petites branches de la croix. Un cheveu, un deuxième, un autre encore.

Voici toujours une énigme résolue : cet Anglois a été assommé avec ce crucifix. Qui peut bien trimballer un crucifix aussi grand, manifestement une œuvre d’art, sous les maisons de Sancerre, en plein assaut anglois ?... Le Père Nicieux qui cherche à mettre à l’abri les biens les plus précieux de son abbaye… Oui, ça doit être ça.

Elle regarda vers le haut de l’escalier.

Et ça, ça doit mener au rempart, ou mon sens de l’orientation n’est plus ce qu’il était… Allez, pousse-toi un peu, mon grand, ajouta-t-elle à l’adresse du squelette qui lui barrait le passage. Je monte !

L’escalier était haut. Mentaïg compta 32 marches, grossièrement taillées dans la roche, avant de parvenir à une trappe de bois. S’arque boutant de toutes ses forces, elle parvint à la soulever, puis à la faire basculer. Sa tête émergea au niveau d’un sol dallé, juste devant un mur de belles pierres de taille.
Elle se trouvait sur le rempart de Sancerre, juste au-dessus de la maison d’Yxxis.

[hrp] MdJ, le rempart, pour moi.[/hrp]

Lems et Ice avancaient déjà depuis un long moment quand Lems s’arrêta net

Et bien voilà ma douce, je crois que nous avons atteint le bout de la galerie. Regardez donc devant, le chemin s’arrête ici.

Ice regarda par-dessus l’épaule de Lems, remis sa petite mèche rebelle en place et soupira, déçue

Tout ce chemin pour rien, pfff ! Bon et si on se faisait une petite pause ? j’ai apporté quelques victuailles et une bonne bouteille de poire. Ensuite demi tour, je l’ai assez vu ce souterrain.

Elle s’assit dos à la paroi invitant Lems à faire de même et entama le récit de quelques évènements comiques qui s’étaient produit durant son absence. Insouciants, ils riaient aux éclats et se passait la bouteille de l’un à l’autre, quand tout à coup ils sentirent comme une vibration dans leur dos. Ils s’arrêtèrent de parler, se regardèrent interrogatifs l’espace de deux secondes et d’un bond se relevèrent. La paroi devant eux oscillait, des fragments de pierre commençaient à tomber au sol.

Rapidement Lems attrapa Ice dans ses bras et l’entraîna dans sa chute quelques mètres plus loin, la protégeant de son corps tandis que le mur s’éboulait dans un vacarme assourdissant.
Un nuage de poussière envahit la galerie.

Ils étaient à présent dans le noir. L’éboulement venait d’ensevelir leurs affaires, les lanternes à lucioles furent brisées et les quelques petites bêtes rescapées, recouvertes d’un voile de poussière ne dispensaient plus qu’une faible lueur. Toussant, étouffant, Lems et Ice s’enquirent de leur santé réciproque.

Bon tout d’abord, pas d’affolement, il nous faut dans un premier temps de la lumière. J’ai une idée ! on va attraper les lucioles qui reste et les mettre dans ….. dans…. Dans la bouteille ! heureusement que je ne l’ai pas lachée celle là !

Ice s’apprêtait à vider le contenu de la bouteille par terre quand Lems la stoppa dans son élan.

Ah non ! on va pas gâcher ça ! de la si bonne poire ! Buvons là plutôt

Rasade après rasade, chacun à leur tour les deux vidèrent complètement la bouteille. Un peu éméchée, Ice s’attela à attraper les lucioles, leur soufflant dessus une à une afin de les dépoussiérer et les plaça délicatement dans la bouteille.

Pauvres bêtes ! Les vapeurs d’alcool vont les rendre ivres. Lems vous avez déjà vu des lucioles complètement saoules ?

Ice agita la bouteille devant les yeux de Lems en éclatant de rire.
La lanterne improvisée à bout de bras, enjambant les gravas, ils avancèrent vers le nouveau passage qui s’ouvrait devant eux et débouchèrent dans une vaste salle voûtée. Du sol au plafond les murs étaient recouverts de bouteilles. Des petites, des grandes, des immenses qu’on aurait cru faites pour des géants. Au milieu de la pièce, des tonneaux s’empilaient sur une hauteur impressionnante.

Eééh ben ! je ne sais pas où l’on est tombé mais c’est la caverne d’ali baba ici ! et vous mon cœur qui ne vouliez pas gâcher notre petite bouteille de poire ! j’espère que vous n’allez pas me demander de boire tout ça cette fois.

Lems éclata d’un rire haut et clair

Chuuuuut ! Taisez vous ! regardez là bas couché à plat ventre sur les tonneaux, je crois bien qu’il y a un homme. Aaah mais oui ! et en uniforme en plus ! Rhooo lala qu’est ce qu’il ronfle. Je crois mon ange que nous sommes dans les caves de la garnison. Si on nous surprend ici, je pense que nous passerons un sale quart d’heure. Allez leur expliquer vous que nous cherchons vos clés. Chut….. j’entends des pas qui approche….. vite suivez moi, il y a une petite porte là pas sur votre droite.

Ice emboîta le pas à Lems et tout deux s’engouffrèrent juste à temps dans un nouveau couloir obscur, non sans oublier de prendre une bouteille chacun au passage.

[Direction 206]

Apres avoir traversé une bande de rats pas très sympathique, qui leur valurent quelques écorchures et des cheuveux défaits, jelubir et mathilde continuerent d'avancer.La boite a lucioles que nombre d'explorateurs avaient pris éclairaient les parois des tunnels. Des tunnels sous sancerre, quelle idée saugrenue que peu de temps auparavant personne n'y aurait cru...On connaissait seulement le tunnel qu'avait emprunté saint-aignan lors de la guerre de la poire...Triste histoire...Plus ils avancait, plus de mauvaises choses semblaient s'annoncer... Ils entendirent alors un bruit étrange...

Mathilde, tu n'a pas entendu quelque chose ?

Mathilde se posait la meme question...Les bruits se rapprochaient....La tension montait et de la lumiere commencait a aparaître au bout du tunnel..

Oui, j'ai entendu. On dirait que le bruit augmente...

A mesure que le bruit augmentait, on distinguait a present deux voix...

Dis, tu ne crois pas qu'on devrais se cacher et les prendre par surprise?
Je suis quelques peu inquiete... Tu crois que ce sont eux qui ont commis toutes ces effractions ?

Je ne suis sur de rien, mais il me semble avoir déja entendu ces voix quelque par...

On distinguait a présent deux silouhettes... La premiere semblait etre plutôt féminine, quant a l'autre, plutôt masculine... L'impression de déja vu de Jelubir augmentait a mesure que les deux personnages se rapprochait, quand soudain...

Bragon, Maybee ! Vous nous avez fait peur !

Nous non plus on ne s'attendait pas a vous trouver ici...Que diriez vous de nous séparez ?demanda Maybee

Oui bonne idée ! Je pense que nous allons prendre a gauche .. Et vous?

Sur ces paroles échangées, mathilde et jelubir quitterent donc bragon et maybee, empruntant le tunnel qui allait vers la gauche.... [vers le 201]

[hrp]On va au 301, come d'hab, je fais le rp demain dis que je suis une fainéante Lio et je te met aux milieux des rats [/hrp]

Bin pô de trop, j'suis courbaturée, ma cheville a pris le choc, j'sais pô si j'vais pouvoir continuer mais faudra m'sortir d'ici, faut qu'vous m'aidiez m'sieur Hugo, j'suis pô rassurée et j'ai mal!

Hugoruth soupira... Il était en train de secourir au péril de sa vie une jeune fille qu'il ne connaissait pas il y a quelques instants.

Accrochez vous à moi !

La demoiselle s'aggripa à la main de Hugo, qui parvint à la remonter difficilement -non pas que la jolie Alyocha possède une surcharge pondérale, simplement que le bailli a plus l'habitude de rédiger des mandats que de soulever des jeunes filles, en clair il est fort comme une chenille de 2 heures-. Une fois remontée, il vit qu'elle souffrait de la cheville droite.

Hum, vous avez dû vous fouler la cheville. Rien de grave, mais il vaudrait mieux éviter de s'appuyer dessus quelques temps.

Il marqua une pause, grimaça un peu, puis se mit à genoux...

Hop, montez! Je n'ai pas le temps de vous ramener donc on continue comme ça, au moins un temps!

Alyocha se geucha donc sur les épaules du bailli qui tressaillit. Courage, pensa-t-il.

Et c'est ainsi que les deux se dirigèrent sur leur droite, direction la seule issue qu'ils n'avaient pas encore explorée... [HRP: Direction le 3 !]

ET LE TROISIEME JOUR ( LEVAN CREA LE MAIS !!! )

Amis du soir, bonsoir !!!

En premier lieu, la carte de positions du jour.




AU NORD:

Aryan et Lio:

Ca avance mais pas beaucoup, encore une intersection !! A leur pied, des caves récentes, une bouteille de Poire entamée, et à coté, un bout de parchemin à demi consumé et oublié par les "visiteurs":

Citation :

A sa miséricorde il sera ...

( ah ben oui, faut chercher !! )

Pour la suite: 306, 307 , 309 ?

A L'OUEST:

Melsius a couru comme un fou dans l'autre sens, poursuivi par d'étranges souvenirs, puis à dépassé le tunnel d'ou il était aarrivé, et tombe sur une intersection.

303, vers des endroits déja visité ou 304, vers le mystère et l'inconnu ???

A L'EST:
Lems et Icefly vont de caves en caves. Après la garnison, le château !
Une cave, et quelle cave !! les meilleurs cru y dorment depuis... depuis... ben depuis qu'on l'y ait oubliés.
Plus loin, un vieil éboulement a bouché le passage.
Norf.

retourner en arrière ? 14
visiter le tunnel qui partait à l'ouest ? 207

c'est froid, mais froid !!!!


AU CENTRE:
Hugo a delivré Alyocha. Ils continuent jusqu'à une intersection.
Devant, des nuées de rats degueulasses.
Ils choisissent le sud ( on dirait le suuuuuuuud...) et rejoignent Bragon et Maybee.

103, 105, ou toujours plus au sud ??


Jelubir et Mathilde: Ils on parcourus 100 m... a leur droite, une petite galerie qui débouche sur la paroi ...d'un puit: celui de la place Saint-Père !!!
mais tout droit, un bruit, ils avancent. Une salle assez grande, des anciens pilliers ? Un outil qui tombe. Raspoutine surgit et saute à la gorge de Jelubir qui réussit néanmoins à le mettre en fuite...
pourquoi Raspoutine a t-il cherché ici ?? celui qui me donne la réponse en MP gagne un indice !!!



Continuer au 307 ou faire une pose ?

AU SUD EST:

Mentaig vient de sortir... elle est sur les rempart. La nuit est fraiche et un cri retentit: Qui va la ? c'est un des miliciens qui monte la garde.
Elle se demande bien ce qu'elle fait sur des remparts qui n'ont plus beaucoup de secrets pour elle...
( surement que c'est par la que le père Nod - nicieux ? pignan ? sais plus - est rentré dans les tunnels, poursuivi par un anglois qu'il a occis au bas de l'escalier)


202, 203, 305 ? ou bien à la lumière des divers indices recoltés par les autres et transmis par taupes - en surface c'est bien des pigeons... - elle choisi une toute autre destination en ville ?

Melsius couru jusqu'à qu'il soit à bout de souffle. Une fois arrêté, il regarda derrière lui, il n'y avait personne. Notre sergent s'en trouva rassurer...
Une fois son souffle retrouvé, il scruta les environs.

Melsius vit qu'il était de nouveau face à une intersection...

Qu'allait-il faire une fois de plus? Prendre le chemin banalisé en face de lui (Melsius remarqua ceçi au blason de Sancerre gravé sur les parois) ou alors prendre le chemin obscure et non acceuillant à sa droite au risque de tomber sur un autre tombeau?

A peine avait-il réfléchi aux choix qui s'offraient à lui que le voila parti vers... Le chemin de droite...

(304 Master siouplait)