Camarisun tour de clef. un grincement de mécanisme et la porte se laisse pousser comme se plient les joncs.
la lumière s'engouffre mais l'on n'y vois pas très clair tout de même.
la
table en hêtre massif trone au milieu de la pièce, un banc de chaque
coté. à droite la cheminée encore avec les cendres qu'il n'avait pas
prit la peine de nettoyé à son départ. à gauche le vaisselier rnfermant
les bols et les verres en bois ainsi que les cuillière pour la cuisine
et les autres ustensiles.
fesont entrer un peu plus de lumière. et il alla ouvrir les volet des fenêtres de la pièce. ah on y vois mieu.
il passat un doigt sur le vaisselier, laissant une belle trainée marron focée sur le reste couvert de poussière grise.
ouh bin... y'a du boulot.et
il souffla un grand coup sur le meuble. la pièces se remplis de
minuscules étoiles visible dans les rayons de soleils qui entraient par
une fenêtre.
aaa... tchaa aaa... tchaail sortit précipitement pour se sortir de cette atmosphère chatouilleuse pour ses narrines.
mauvaise idée. dit il dehors, à moitié aveugler par les larmes qui lui emplissait les yeux pour se débarasser de la poussière.
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Camariscommençons par le commencement. grommela il avant de retourner a l'intérieur.
il
ouvrit toute les ouverture de la maison. il y avai peut de vent, mais
le long de la saone il y'a tout le temps un petit courant d'air; ce
dernier chassa la poussière.
Camaris attrapa un balais et
l'utilisa tant bien que mal, il n'est pas vraiment aussi à l'aise avec
cet outils qu'avec un marteau ou même un rabeau.
le plancher fut
épousseter. un petit coup sur les bancs et il s'attaqua au dessus de la
table. mais il n'est pas très aiser de balayer avec le mache presque à
l'horizontale.
sur le banc. voila qui était finnement penser. avec un peu plus de hauteur la tache serait bien plus facile.
il
s'assura de l'équilibre du siège et grimpa dessus. sa tête touchait
pratiquement les petites poutre soutenant le plancher de l'étage; mais
il recommença son balayment.
arriver à moitier de table un
obstacle, et de taille. la grosse poutre porteuse lui barrais le chemin
pour continuer à avancer dans le sens du vent. il va falloir se
baisser... avancer accroupis... et aussi faire attention au manche du
balais... que de choses à controler en même temps.
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Camarisil réfléchit quelques secondes et descendit du bancs.
mais qu'estce que je fais... y'a vraiment un truc qui tourne pas rond chez moi...
heureusement que personne ne m'a vu...
la blayette ce sera bien mieu.
il
prit donc l'ustentile choisit a coté de la cheminer et épousseta le
reste de la table. il fit de même sur toute les surfaces planes encore
pleine de poussière, du rebors des fenêtre à la pierre d'évier.
restait la partie supérieure du vaisselier avec ses deux assiètes décorées et les plats cisellé q'il avait fai lui même.
hum... comment je vais faire la...
oui...il
attrapa le souflet et aspergea copieusement les zones désirer d'air.
délogeant la poussière en petit nuage emportés par le courant d'air
avant qu'il ne tousse ou éternue.
aahhh... c'est y pas mieux quand même ? demanda il pour lui même en observant son travail.-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
lestat540Lestat
passa devant la maison de Camaris, il vit une épaisse fumée
grise/brunâtre sortir de part les fenêtres. Lestat, curieux par nature,
s approcha de la demeure, en passant la tête par une fenêtre il vit que
Cam faisait son petit ménage de printemps.
Ok, il est en plein
travail, je ne vais pas le déranger. J espère juste qu il trouvera le
temps de venir boire un verre en taverne.
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YsabeauLe
même petit pigeon farceur, qui était déjà venu voici quelques jours, se
posa à nouveau sur l'épaule du travailleur. Il éternua un peu, c'est
que la poussière... Il agitait sa patte pour montrer le message qui
attendait d'être ouvert...
- Citation :
- Coucou Cama !
Quelques nouvelles de Sancerre : Bragon vient d'être élu bourgmestre, et je pense qu'il fera un fort bon maire.
Misé passe de temps en temps en taverne, elle ne va pas trop mal... mais tu lui manques toujours autant.
Le
Havre marche de nouveau très bien, hier c'était plein comme une vache
pleine (tu savais qu'il avait failli brûler ? tu savais que Ice avait
été accusée de sorcellerie ? enfin bref...)
Je bosse comme une folle à l'échoppe, les commandes affluent, j'en sèche les cours à l'université c'est pour te dire...
On
pense tous à toi, j'espère que la vie est belle à Chalon, mais je suis
sûre et certaine que Sancerre te manque... Allez, avoue !
Bisous à toi, et reviens-nous un de ces quatre... Le tonneau d'Iceberg est plein !
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Camarisla mi journée se rapprochait apportant des creu aux ventres et des odeurs de cuisines qui les creusent encore plus.
un nouveau bruit de volatile facteur.
tient on dirait celui d'ysa tout a l'heure.
il
dut s'y reprendre a deux fois pour attraper le message. on aurait dit
que le pigeons jouait comme un chien qui a attraper le baton et ne veu
pas le rendre.
toutefois il l'obtint, et lut.
le vieux croulant de brag maire... et bin il va encore me demander du on dans tout les sens...
le havre bruler... ça me dit quelquechose... pis j'ais même faillit le noyer moi pour éteindre le feu...
ice ? de la socellerie ? il doit être fort leur vin de messe aux inquisiteurs...
bah e serais patient pour mes prochaines commandes alors.
oui... j'avoue... ça me manque...
bon c'est pas tout ça mais y commence a faire faim ici.
le vieux fabrizio va bin me vendre un truc.
il sortit donc dans la rue tourna à gauche et partit loin... loin... jusque chez son voisin.
il frappa.
fabrizio t'es la vieux hibou ? fabriziooo... c'est cama. t'es la ?
il est devenut sourd ou quoi ?
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Camarisil est peut être aller boire un coup... dit il sans y croire vraiment.
il continua à descendre la rue jusqu'a poste de garde du pont ou est prélevé la taxe d'entrée pour les marchands étrnagers.
il prit a droite dans la rue principale.
tient y'a une taverne ici ? il passa la tête pret de la fenêtre, mais ne vi pas celui qu'il cherchait.
juste
avant le pont rejoignant la rive droite, et une grosse partie de
chalon, il regardat mais ne trouvat pas ce qu'il cherchait.
celle
la à disparue...pourquoi ne l'avait il pas repéré à son arrivée ? ni
même quand il refit la carte ? cela il ne put le savoir.
il ne
retrouva q'une taverne, de ce coté, qu'il avait fréquenter bien souvent
autrefois. la chopine était le dernier bastion de ss souvenirs. mais
ici pas plus qu'ailleurs les visages lui étaient étrangers.
ais je fait mon temps ?
il prit le chemin du retour. achetant de quoi manger sur la place centrale en passant.
arrivé chez lui il mangea de bonnes grosse tartines de riellette et de quelques verres de vin.
il contempla les deux assiette sur le vaisselier. ils les avaient acheter ensemble, avec béatrice, lors de leur voyage de noce.
je t'ai aimée... jusque la mort nous séparent...
oui... il est temps. plus rien ne me retient vraiment ici.
j'ai tenu ma promesse... fabrizio, rivendell et alcapone léthargique je suis celui qui à le plus longtemps résidé à chalon...il empaqueta les quelques affaires qu'il désirait emporter.
son regard s'arrêta de nouveaux sur les assiettes.
que faire d'elles... les emporter... pas sur que ce soit du plus bon gout...
les abandonner ? non... je peu pas faire ça.
je les garderais enfermées dans un coffre si besoin. mais je peut pas les laisser cassées ou volées par n'importe qui.Il les envloppa dans un linge et fourra le tout dans son sac.
en route.
aurevoir chalon.