Vendredi 20 Novembre de l'an de disgrâce 1457, mon amour s'est éteinte d'une grave maladie.
Affligé de la douleur de cette séparation si cruelle, je reste à Sancerre, appliquant et pour appliquer ses dernières volontés. Fort de son héritage, je resterai fidèle à son testament.
J'ai déjà ouvert selon ses dernières volontés mon échoppe de tisserand pour habillé gratuitement notre jeune amie Rosie......
J'invite tout ceux qui la connaissait à se recueillir à la Chaloupe devant le rosier que l'on a mis sur le comptoir. Avant de partir, elle m'a dit: "Chaque rose est un peu de l'amour que je porte à vous tous"
Je serai de retour à Sancerre ce samedi 28 au matin des raisons politiques m'ayant éloignée momentanément de la sépulture de ma bien aimée.