Chez l'Homme_des_bois, n°104

Soyez les bienvenus chez moi, vous y trouverez un bol de soupe, un verre de poire et un feu autour duquel parler

En cette calme soirée, l'Homme_des_bois s'assit près de son feu et, prenant un parchemin et une plume, décida de coucher sa vie sur le papier

On ne sait jamais, ca pourrait interesser quelqu'un

Citation :

Je suis né en l'an de grâce 1427, enfin, je crois, car il n'existe pas de trace de cela. De mes premières années, il ne me reste rien. J'ignore où je suis né et ne me souviens pas du visage de mes parents.

Mes premiers souvenirs datent de mes dix ans, un voyage hasardeux qui finit mal, mes parents et mes 5 soeurs tués par des brigands. Pourquoi suis je resté en vie? Sans doute parce que les gredins cherchaient de la main d'oeuvre à former. Ils m'ont pris et enfermé dans une petite cache, pour me "briser" comme ils disaient. Affamé, assoiffé et apeuré, j'ai réussis à fuir, malgré un coup de fouet de mon geolier. J'ai fuis vers les bois, gardant sur mon dos la trace de ce coup.

C'est ensuite, au coeur des bois, que j'ai appris à survivre. La chasse, la pêche, la ceuillette m'ont donné la nourriture. L'observation m'a appris le combat, la prudence. Je suis devenu invisible pour les hommes qui passaient en ces bois, les fuyant à chaque fois que je le pouvait.

Quand eux me voyaient, ils fuyaient et répendaient ce qui allait devenir ma légende. Baptisé par la croyance populaire le "démon des bois", je prenais à leurs yeux l'apparence d'une bête à deux pattes, hideuse et puante (certes l'eau manquait, mais quand même... faut pas exagérer), tuant femmes et enfants, egorgeant le bétail et volant or et argent aux voyageurs imprudents.

En réalité, je n'étais qu'un enfant effrayé, certes sale, mais un enfant tout de même.

Face à cette colère et cette haine des villageois, j'ai fuis à travers bois, loin, très loin. Eloigné de tout, solitaire, je devenais de plus en plus animal et de moins en moins homme.

Et puis je suis arrivé près de Sancerre, pour moi un bourg sans nom à l'époque. Ici les gens ne me craignaient pas. Certes ceux qui m'avaient vu me décrivait comme un fauve, mais les enfants venaient parfois en lisière du bois, me voir, me parler, jouer.

J'ai découvert l'amour aussi, celui d'une jeune fille qui venait parfois ceuillir des herbes et des fleurs. Si elle ignorait que je la regardais, moi je ne la quittais pas. Cela dura un an, je n'osais l'approcher.

Et puis elle est partie, où, je l'ignore. Et moi, lassé de ma solitude, je suis sorti du bois pour me rendre en ville. Quelques haillons ont fait de moi un vagabond.

Adopté par les villageois sous le nom d'Homme_des_bois, je suis devenu éleveur de cochons, puis soldat lors de la guerre de la Poire. Gravement blessé, j'ai apprécié l'aide de mes amis, que je ne citerais pas de peur d'en oublier un (ils se reconnaitront).

Aujourd'hui, je suis soldat des Grognards, Sergent de police, et je l'espère, un bon camarade.

Déposant son parchemin, l'Homme_des_bois murmura

Voilà, maintenant chacun est libre de tout savoir et de me juger sur ce que je suis vraiment.

Relisant ses lignes, l'Homme_des_bois pensa à tout ce qu'il avait vécu. Au coin de son oeil luisait une larme, la première depuis près de vingt ans

J'ai eu une 'tite larme en lisant l'histoire de mon sergent

C'est trop bôôôô....

Sérieux, c'est âchement bien

Merci Gilberg, mais ça explique aussi un leger dérangement des boyaux de la tête qui ressort parfois en taverne ou sur les forums

Angus passant faire salutations à son fidèl sergent vit ce grand gaillard de Gallup, déposer au sol ce malheureux gibier...

Lui tapotant sur l'épaule:
" dites l'ami!
N'est ce point affaire de braconnage,
N'userriez vous point faveurs, envers mon sergent, afin que moults larcins vous incombant soit en oublie?"

"cela est villaines actions de vostre part, sachez que la police de Sancerre n'admet point pots de vins!
Veuillez me suivre je vais vous trouvez logement, afin que méditations et réflexions vous soient profitable"

sortant son épée l'agitat sous la barbe fournie du grand gaillard...

passant par là, Aryan voit messire Angus et part se cacher

je savias que je n'aurez aps du sortir

Jetant un coup d'oeil par la fenêtre, l'Homme_des_bois vit Gallup emmené par Angus, un lapin à la main

Cet homme est fort aimable, mais son ignorance de la loi lui coutera cher un jour

Saisissant sa besace, il sorti pour se rendre au poste de police

Après ces découvertes concernant le souterrain, l'HDB parti en direction de la demeuire d'Aryan afin de rechercher le fameux passage. Comme il devait récupérer un lanterne chez lui, il fit le détour. Devant sa porte, il trouva Aryan, prostrée, pleurant, boulversée au point de ne plus pouvoir parler. Il la prit dans ses bras et l'entraina à l'interieur afin de lui servir un verre pour qu'elle se remette

Bois cela, respire un peu et raconte moi ce qui t'arrive

Aryan essaya de reprendre son calme et de raconter ce qu'elle avait vu, mais ce n'était pas chose facile

- je ... j'étais apssé devant la porte de Lio. Mais ... c'eétait pas la même porte ... elle avait changer.

Aryan pris uen gorgée de poire

- j'ai ouvert la porte ... la maison était parfaitement rangé... il y avait une petite fille dedans... Elle n'avait d'oeil et elle a demandé si c'était sa mère qui était la... je usis sorti en catastrophe et totu était redevenue normal

Aryan ne pouvant plus se retenir, elle éclata en sanglot de nouveau e nrepensant a la fillette qu'elle avait vu

Lems s'avança sur le perron de Homme des Bois et y glissa le message suivant

Citation :

Sieur Homme des Bois,
Vous êtes cordialement invité à passer quand bon vous semblera demain à partir de 18h00 à mon nouveau domicile pour y fêter mon installation

en espérant vous y retrouver

cordialement
lems
Sancerre, maison n°84

Après la petite escapade de la veille, l'Homme_des_bois avec la tête comme un melon, prête à éclater.

Voir la chasse au fantome

Il ignorait comment il était revenu chez lui, ne se souvenant que de quelques images de la soirée.

J'espère que Gallup et Lio s'en sont sortis, je tacherais d'aller les voir plus tard.

Un mot fut écrit de bonne heure sur la porte

Citation :

Je part poursuivre mon enquete à la Charité. Surveille bien les "enfants" Lio et Aryan, qu'il ne leur arrive rien de facheux, ils me semblent bien entreprenants...
Messire Bernhari semble desireux de poursuivre l'enquete sur la Poire, regarde sur la halle s'il a besoin d'aide...
Merci et à dans quelques jours...
Gallup.

totox passe chez son ami HDb pour finir de mettre les choses au clair ...

mon cher ami ,

mon inquietude quant à ta presence sur la liste aux cotés de Georde , n'ont jamais remis en cause ma confiance pour toi ...

Elle etait plutot sur les intentions de "Cousin Poilu" , et aussi sur l'ambiguité de ses choix , comme lorsque il fait supprimer les cochons dans sa ville sauf pour un de ses conseillers ...

Voila , je ne veux pas que tu prennes mal mes paroles car tu es de mes amis fideles ...et je ne remet pas du tout cela en cause.

la dessus :

Totox sort une bouteille de vin de Sancerre bien frais et en sert deux pleins verres

a la tienne

Santé Totox, l'amitié est chose trop importante pour laisser la politique s'inserer au milieu.

Il prends son verre et trinque

Ysabeau frappa à la porte d'Homme_des_Bois. Pas de réponse
Il n'est pas là, sans doute est-il en train de travailler sur quelque champ...
Elle lui laissa donc ce message

Citation :

Cher Homme_des_Bois, je puis vous fabriquer rapidement les braies que vous souhaitez, ayant en réserve suffisamment de pelotes de laines.
Je vous les propose au prix de 71,60 écus, ayant eu la chance d'obtenir de la laine à prix avantageux.
Si ce prix vous convient, laissez-moi commande dans mon échoppe, N°117, et je pourrai dès demain réaliser vos braies. Il vous faudra égélement m'informer de l'heure à laquelle vous souhaitez que celles-ci rejoignent les étals du marché à partir de mardi matin donc. J'attends vostre réponse.

elle repartit vers son champ dont les semailles étaient pour ce dimanche...[/quote]

De bon matin, l'Homme_des_bois prit son baluchon et sorti de chez lui. Il faisait encore presque nuit.Il pensa alors qu'il n'avait pas prévenu grand monde et que certains risquaient de s'inquiéter. Il écrivit alors sur sa porte:

Citation :

Je suis absent pour une petite semaine, le temps pour moi de me ressourcer en forêt. Je suis FIER d'avoir voté ce matin

Il mit son petit bagage sur son dos et sorti de la ville . Quelques minutes plus tard, il disparaissait dans les bois.

[HRP] Je suis en vacances jusqu'au 14, n'oubliez pas de voter (au cas où la pub sur ma porte soit trop discrète) [HRP]

L'homme_des_bois rentra chez lui après une dure journée joyeusement achevée à la taverne avec ses amis. Mais aujourd'hui sa maison lui semblait vide. Il dina d'un peu de soupe froide et alla se coucher

Toi mon gaillard, il va falloir que tu trouve compagne, tu t'encroute

et il s'endormit

L'Homme_des_bois arriva exceptionnellement tot chez lui. Son moral flanchait sérieusement depuis quelques temps. Il était passé régler quelques dossiers ce matin dans son bureau et avais appris une nouvelle qui le chagrinait quelque peu. Il était fatigué,le regard vide. Il prit alors sa besace, sorti, ferma sa porte et s'en alla vers les forêts voisines, à la recherche de réponses à ses questions. Sur la porte, il écrivit rapidement d'une écriture à peine lisible

Citation :

Parti me chercher, espère me trouver, reviendrais sans doutes

Galvane arriva pendant que Homme_des_bois posait son écriteau.
Ca ne va pas mon ami ? [i]lui demanda t'il.

Galvane, mon ami, ne t'inquiète pas, il m'arrive d'avoir besoin de retourner d'ou je viens pour savoir qui je suis. C'est ce que je vais faire un ou deux jours, j'ai juste besoin de prendre un peu de temps.
A bientot Sergent et veillez bien sur Sancerre

Il parti en direction de la foret