chez Clealan, sancerrois de coeur n°107 rue du puits de dieu

les femmes quand elles vous disent qu'elle ssont têtues et bien croyaient, ça c'est moi qui le pense, enfin par un frais matin d'hiver une belle joie se forme, au détour d'une ruelle de la ville de bourges, Leilan gambade joyeusement, quand tout a coup il s'arrête devant le carreau de la fenêtre et ouvre de grand yeu, ni une ni deux il rentre et va bisouter ceux qu'il ne 'attendait pas a voir, son parraine et sa femme.

ils réstèrent quelques jours un peu obligés, mais pour son plus grand plaisir a lui, quelques soirées quelques crèpes quelques marrons, quelques éclat de rire, des tonnes de sourire d'immense joie que d'être avec eux, jusqu'a ce qu'il annonce qu'il devait partir, on pouvait les comprendre, la venu du bébé approché a grand pas, très très grand pas, plus proche qu'on ne pourrait le penser.

et voila la dernière soirée, faite encore de gourmandises et surtout de joie et de la peine, sachant que le lendemain, il seront a Sancerre.
cela ne gène pas pour que la soirée fut bonne, beaucoup de taquinerie et d'amusement, mais aussi d'inquiètude a voir Aryan grimacer a la fin de soirée, a n'en pas douter elle était prise de contraction, il se décida donc a accompagner son parrain afin de pas le laissé seul sur la route vers sancerre.
il prit sa vieille besace et avec sa douce se joignit a eux, lui sur le cheval et Cini dans la charrette avec Aryan, le parrain lui marchant a cotés pour surveiller sa douce femme, et voila le quatuor en route pour la ville de Sancerre.

Citation :

[petit récit de ce qui s'est déroulé entrele 28 novembre et le ho .....22 févirer1460]


Arrivés à Sancerre, ils étaient allé au Havre..mais l'heure tardive et le froid sidéral qui régnait, avaient fait fuir le moindre traine savate, il avait pris des buches, pendant que son épouse soufflait un peu, il ramenat chaque enfant au chaud guettant inquiet le halètemet de son épouse, grace au ciel, Gabrielle, Lyla et Clodulf se rendormirent bien au chaud sous les peaux installées en un lit de fortune dans un coin tranquille de la taverne, puis il avait aidé Arya à s'allonger sur la table, la grande table où buvaient tous ceux qui venaient se rechauffer le corps , le coeur, l'esprit.


Elle souffrait l'Aryan...dans les douleurs de l'enfantement, il fit chauffer de l'eau, prit des linges propres; il était voué à aider lors des accouchements, bien sur lui le père était indésirable mais personne d'autres pour aider et soutenir la future mère, Saya était invisible, sans doute au chaud avec ses propres enfants, son petit dernier, comment le lui reprocher. Il revint avec la bassine d'eau bouillante dans les mains!!!

Hummm Hannn hannn....


Elle geignait, ruissellante, il cala ses pieds sur la table, les mettant l'un après l'autre sur ses épaules, il lui faisait face maintenant et l'encouragea, une, deux trois poussées, et soudain sur le drap maculé parue la petite merveille...leur fille, leur fille!!!!, Il attrapa l'enfançon et le glissa rapidement sur le ventre de sa mère qui déjà l'ensevelissait de couches de tissus des jupons , il souffla à son tour, prenant une inspiration immense...le cordon à couper...il n'avait jamais fait ca....


Comment allons nous l'appeler?


Amandine....Amandine du Havre de Sancerre de chez sa tante...


un sacré pédigrée.... si elle tenait de la famille maternelle


Un départ avec un membre supplémentaire de la famille, ils étaient repartis, vers leur ville, vers sa ville à lui, ils avaient voyagé vu des amis...puis étaient revenus ici même



Et ce matin là ils arrivaient une fois de plus

Un retour, un voyage, un retour encore, il chercha dans sa poche la grosse clef, elle tourna sans resistance, finalement il avait bien huilé la dernière fois, il installa sa petite famille , Gabrielle et Lyla dans la chambre du bas, qui avait été ajouté lors du précédent séjour, Clodulf dans la petite chambre de l'étage, et les parents et la petite Amandine dans la grande chambre du haut, au bout du couloir un grenier qu'il devrait aménager pour la future naissance. Ils avaient à pein posé les malles qu'un amie venait demander su secours pour transporter des denrées, ils décidèrent que la dernière née resterait avec Ary et que lui irait rendre le service accompagné des grands.


Mais avant de partir il prit Amandine dans ses bras, la calinant et lui murmurant docement une berceuse, puis l'enfant endormi, il invita son bonheur du jour à une soirée tendre, il voulait profiter de sa douceur avant de prendre la route, Clodulf qui surveillait sa mère comme un chat guette une souris, il attendait avec impatience l'rrivée d'un petite frère...lui qui n'était entouré que de filles.


Papa on ira pécher des grenouilles? ..dis hein!!!

Norf Clodulf o va pas avoir l'temps.... faudra plutôt prendre soin de tes soeurs!

Pfffff elles m'écoutent jamais.;tu l'sais quand même! y a que maman qui m'aime ici!

Il eut un sourire e regardant son fils, la complicité qui s'était installée entre Clodulf et sa mère le ravissait, et Gabrielle l'avait totalement adopté...sauf qu'elle refusait tout comme Lyla qu'il assiste à leur coucher, ou a leur bain...ses filles grandissaient ..un jour Amandine ferait de même..;cachant sa féminité naissante, mais il profitait pour le moment de ses sourires et ses babillages sans aucune contraintes.

L'heure était venue après une soirée pleine de douceur de partir rejoiondre ses amis à l'écurie, il fit grimper les filles d'abord...puis Clodulf qui s'attardait aux aurevoirs.



A bientôtttttt m'maannnnn on t'aime.......

Un départ, un retour, un départ...la vie était faite de ces allées et venues, parfois imprévues, parfois programmés, mais le dernier voyage était de l'ordre de l'imprévue, il avait accepté par pure amitié, mais finalement, ...l'amitié...bof ..c'était pour Bourges et il avait regretté d'avoir dit oui..il était amer..amer...un gout nouveau dans sa palette, heureusement l'amertume allait passer une fois sa famille retrouvée, il fit descendre les enfants, et rangeat conciensceusement les malles,


Clodulf qui avait pris soin du bouquet, le récupéra et courut vers ses soeurs...


les filles..les filles ..le vase ..faut qu'maman voit le bouquet quand elle va entrer dans la quisine hein!



Mais oui Clodulf attend.....tiens le voilà!

Allez remplis le , pendant qu'on le rafraichi ce bouquet!





Se hissant sur la pointe des pieds le blondinet placa le vase au milieu de la table...souriant il consentit à rejoindre son lit pour une fin de nuit.


Chacun regagna donc son lit, et l'époux se glissa doucement sous l'édredon afin de ne pas réveiller sa princesse, il se tourna pourtant longtemps avant de s'endormir au petit matin.