La chasse au Nonos ! (le grand jeu de l'été )

CORRECTIF SUITE A UN CROISEMENT DE POST:

Bragon et Maybee ont bougés !!

Donc, après une attaque de taupes sanguinaires, que si on en meurent point on en reste idiot, intersection sous la maison 51...

direction: 401,402, ou visite de la cave de la maison, ou retour vers le 103 ?

Celui qui serait passé sur le rempart sud-est à cette heure indue aurait contemplé un drôle de spectacle. Entre les dalles du chemin de ronde, la tête de Mentaïg émergeait à peine d’une trappe de bois rejetée sur le côté. Cette tête tournait lentement sur elle-même, à la recherche d’un quelconque indice. Et comme l’indice était vieux de cent ans, il ne pouvait provenir que de la configuration même des lieux.

Qui va là ?

Mentaïg frissonna, et pas seulement à cause de la fraîcheur de la nuit. D’un rétablissement, elle se hissa sur le chemin de ronde, et émergea toute entière face à un milicien. Elle reconnut aussitôt celui qu’elle avait vertement tancé lors de sa prise de la Mairie. Au moins les remontrances avaient-elles porté leurs fruits. L’homme, cette fois, faisait son travail consciencieusement au lieu de s’enivrer en taverne.

Mentaïg, Maire de Sancerre. Vous tombez bien, vous !

Le milicien leva sa lanterne et se mit à bredouiller, confus :

Pardon, Madame le Maire. Faites excuse si je vous demande pardon… Je ne vous avais point reconnue, dans ce noir… ce noir si… si noir, quoi… Mais justement… qu’est-ce donc que vous y faites, dans tout ce noir ?

Mes affaires, répondit sèchement Mentaïg. Attendez là deux secondes.

Elle replongea un instant dans l’escalier, et ressortit aussitôt, portant le lourd crucifix, qu’elle fourra dans les mains du milicien.

Vous allez me mettre ça en sécurité dans les caves de la mairie. Faites vite, je reste ici en vous attendant. Et que je ne vous prenne pas à musarder en taverne !

L’homme faillit se rebeller. Il n’avait pas trop l’habitude qu’un petit bout de femme comme le Maire lui parlât sur ce ton. Mais il préféra filer avec son fardeau, en grommelant quelque chose à propos de quenouilles.
Mentaïg mit ce répit à profit pour réfléchir.

On dirait bien que c’est par ici que le Père Nicieux est entré dans les souterrains de Sancerre. Il aura été surpris par un Anglois, qu’il aura proprement estourbi en le balançant d’abord dans l’escalier, puis en profitant de sa chute et de la perte de son heaume pour lui assener un coup de crucifix sur la tempe… Hum … ça ne plairait pas à Otto, ça… Je ne suis peut-être pas obligée de lui dire que le crucifix a servi un dessein aussi peu conforme à sa fonction première…
Ceci posé… Mettons-nous dans la peau du Père Nicieux… Il vient de tuer un homme, d’autres peuvent surgir à tout moment, il porte sur lui un véritable trésor : des reliques !

Mentaïg s’assit dos au parapet, autant pour réfléchir plus à l’aise que pour se mettre à l’abri de la brise frisquette de la nuit.

Les reliques, c’est spécial, comme trésor. Un moine ne cacherait pas ça n’importe où. Un moine cacherait ça…

Elle se releva d’un bond, soudain impatiente de voir revenir le milicien.

Je sais où je cacherais une relique, si j’étais moine. Ce qui fort heureusement ne risque pas de m’arriver.

[HRP] MdJ, je redescends dans le souterrain et je file au 307[/HRP]

LE QUATRIEME JOUR, JE ME COUCHE TôT !

La carte du jour:



Pour l'énigme de hier soir, Mentaig a gagnée, mais elle savait avant.
Bouhhhhh. Elle énerve: elle sait tout !!!

Citation :

Raspoutine se trouve près des 8 piliers restant des fondations de l'ancien couvent de St-Père-la-Nonne, dépendant de l'abbaye St-Satur, où certains des moines avaient trouvé refuge après le sac de leur abbaye par les Anglais.
Raspoutine pense que c'est là que le Père Nicieux a caché les reliques.

Rien que de plus exact !! Bravo.
En conséquence de quoi, Mentaig court à perdre haleine dans les tunnels, à la suite de Jelubir et lady Hortduch, qui suivent un courbe étrange, tandis que le bruit des pas de Raspoutine s'efface au loin.



Intersection: 406 ou 407 ?


AU CENTRE:

Alyocha et Hugoruth arrivent sous la cave du 62 ( chez le_leu) à une intersection.


Tout droit 408 ou à droite, au bout du tunnel 405 ou il semble apparaitre la silhouette hésitante de Melsius !!!

AU NORD:
Lems et Icefly se tape une visite assez spectaculaire: les caves du poste de police et de la taverne municipale qui communiquent, une sortie directement vers le puits devant les halles, et les voila dans la cave d'Ysabeau, entre des pelotes et de la dentelle à culotte !

Destination: au choix, une des entrées répertoriées ( donner le numéro de la maison )

[hrp] Bientôt le rp, mais là je suis trop fatigué ^^. En attendant, on va se diriger vers le 307[/hrp]

Melsius suivit le chemin pendant au moins 1 heure. Il ne s'arrêta qu'une fois arrivé devant une nouvelle intersection.

Cette fois encore, Melsius était très hésitant, allait-il prendre à gauche ou à droite?

Il décida de s'adosser sur la paroi pour reposer sa jambe mortifiée tout en réfléchissant au chemin qu'il allait suivre.

A peine eut-il été adossé qu'il entendit des bruits de pas... Melsius pensa aussitôt que c'était une des vermines qui cherchait la relique. Il se leva d'un bond et se prépara à l'eventualité d'un quelconque combat!

Il attendit et vit une torche... et... deux silouhettes qu'il reconnut! Melsius se calma et salua ses deux compères:

Bonjour dame Alyocha, bonjour messire Hugoruth, content que ce soit vous.

Ils parlèrent ensemblent, se racontant ce qu'ils avaient découvert pour le moment dans ces caves..

Après avoir conversé longtemps, Melsius conlua: Je ne sais point quel chemin vous motive le plus, mais je choisi celui de droite, plus nous couvrirons de zones, plus nous aurons de chances de trouver cette relique..

(HRP: le 403 siouplait MJ)

Cette quête de reliques était pour le moins étrange...il fallait faire la course avec raspuotine, qui cherche également mais on ne sait pourquoi...des reliques...quelle idée de cacher des reliques surtout qu'elles pourrait etre sous une maison! Une idée a laquelle Mathilde ne voulait pas penser. Mais cela l'amusait quelques peu , a la façcon d'un jeu pour enfant...
Jelubir lui s'efforcait de se concentrer sur l'objectif , en essayant de ne pas trop penser a sa douce, qui se trouvait quelque par sous sancerre tous comme lui. Heureusement qu'elle n'était pas seule bien qu'il lui fasse confiance pour mettre les brigands en fuite...

Ils continuerent donc d'avancer a la faible lueur des lucioles. Quelques unes restaient immobiles, au fond de la boite. Peut etre le sous sol ne leur plaisait pas... Leurs ombres (celles de jelubir et mathilde, pas des lucioles ) se mouvaient sur les parois du souterrain tels des esprti maléfiques dansant autour de la mort...Plutôt sinistre comme endroit.

Entre temps mentaig les avais rejoints leurs avaient expliqués ce qu'elle pensait. Ils firent un bout de chemin ensemble et arriverent a une intersection. Deux directions étaient possible. L'une menant vers le nord, l'autre menant vers l'ouest.Mentaig était parti vers le nord , tandis qu'eux prendraient l'autre chemin.

Bon que faisons nous ?

Que diraient tu de t'asseoir quelques minutes pour manger un peu de pain?

Du pain? Mathilde ne se souvenait pas en avoir pris...quelle idiote! partir a l'aventure sans de quoi subsister... Elle paraissait de plus en plus tete en l'air...Et elle n'avait meme pas d'eau ..

Euhh, je suis désolé jelubir mais je n'ai pas de pain...

Ne t'inquiete pas , j'ai tous prévu !

Mathilde remercia jelubir de sa prevoyance et ils prirent un petit encas bien modeste mais on ne peut pas emmener tout le gigot non plus, il n'y a pas la place.... Apres discussion, ils prirent la gallerie en face Qui sait? Peut etre que de tourner a chaque carrefout leur ferons découvrir quelque chose ?

Citation :

Je sais où je cacherais une relique, si j’étais moine. Ce qui fort heureusement ne risque pas de m’arriver.

Au bout du rempart s’agita la lanterne du milicien, qui se hâtait avec lenteur. Il grommelait de bon cœur, au sujet de certain baron même pas capable d’empêcher sa femme de se mêler des affaires publiques.

Un souci, Messire ? demanda Mentaïg avec un sourire angélique.

Norf de norf !...

C’est qu’elle avait l’ouïe fine, en plus la bougresse ! D’ailleurs, ne la disait-on pas un peu sorcière ?

Méfiance, méfiance, Saturnin. Boucle-la, et file doux.
Trouvez pas qu’il fait frisquet, Dame Bourgmestre ? demanda-t-il.

Mouais… Peut-être, en effet. J’avoue n’avoir pas trop le temps d’y penser… Bonne ronde, Messire, j’y retourne.

Et elle planta là le brave homme qui, résigné devant les frasques de son Maire, haussa les épaules et entreprit de se curer soigneusement les dents du bout de son couteau en contemplant les toits de Sancerre.

Mentaïg redescendit l’escalier en toute hâte, tapota au passage l’épaule de feu le soldat anglois.

Courage, mon grand. Tu pourras bientôt te reposer pour de bon, le père Otto va te faire une belle sépulture.

Lanterne haut levée, elle traversa la cave d’Yxxis, parvint à celle de Reine. Un coup d’œil à gauche : ne valait-il pas mieux remonter à l’air libre, et filer par les rues ? Mentaïg décida que non, et prit à droite, dans la direction où elle avait précédemment entendu les voix de Jelubir et Mathilde. Depuis le temps qu’elle le hantait, elle connaissait son quartier comme sa poche, et sut qu’elle traversait d’abord la cave de Mathilde, puis celle de Manu. S’y empilaient encore quelques tonneaux vides datant de l’époque où le Vicomte de Mènetou-Salon tenait là taverne à l’enseigne de la Croûte dorée et l’Amie blanche.

Sancerre change, se disait Mentaïg tout en se hâtant. Je me sens déjà nostalgique. Pas bon, ça : ça veut dire que je suis là depuis bien longtemps.

Parvenue à une intersection, elle hésita un peu.

Voyons. Je file plein nord. Donc, je dois être sous la forge de Crazy, ou peut-être sous la boucherie de Xarkhan. Il faut que j’aille à l’ouest. A gauche toute.

Elle entendit, assez loin en avant, des bruits de lutte.

Jelubir ! Mathilde !

Mentaïg se précipita. Une ombre fila, loin devant, contournant une maçonnerie ronde que la jeune femme atteignit, le souffle un peu court.

Ça, c’est le puits de la Place St-Père… Jelu ! Mathilde !

Des voix lui répondirent, sur sa gauche. Elle eut tôt fait de rejoindre ses amis.

Vous n’avez rien ? C’était qui, le fuyard ?

Non ne vous inquiétez pas…J’aurai sans doute quelques bleus et quelques égratignures mais rien de bien méchant… Mais l’avez-vous reconnu ? C’était Raspoutine… Que pouvait-il bien faire ici ? Il m’étonne de plus en plus…

Raspoutine ! Evidemment !

Mentaïg regarda autour d’elle. Elle avait atteint son but.

Regardez ces piliers, expliqua-t-elle aux deux autres. Nous sommes dans la crypte de l’église du couvent de St-Père-la-Nonne. Vous savez que ce couvent dépend de St-Satur ? C’est ici que certains des moines du Père Nicieux avaient trouvé refuge, quand leur abbaye a été dévastée par les Anglois, au siècle dernier. Je me disais que l’abbé avait pu cacher les reliques ici.

Elle se mit en devoir de raconter à Jelubir et Mathilde sa découverte du squelette et du crucifix.

Voici ce que je pense : un moine, pour qui les reliques sont plus sacrées que tout, ne les mettra pas n’importe où, s’il a le choix. Il choisira de préférence une terre sacrée : cimetière, église, couvent… C’est pour ça que je me suis précipitée ici.

Elle regarda autour d’elle, contempla le sol labouré, la pelle abandonnée par Raspoutine dans sa fuite.

Mais bon… J’ai comme l’impression que, s’il y avait eu quelque chose à trouver ici, ce serait déjà dans la poche de Raspoutine… J’ai une autre idée. Je remonte vers le nord. Et vous ? Vous venez avec moi, ou vous partez plus au sud ? Peut-être vaut-il mieux nous séparer : il reste des lieues de tunnel à explorer !

[HRP] MdJ, 406 pour moi.[/HRP]

Allons-y, c'est Bragon. Et puis de toute manière, nous n'avons guère le choix.

Alyocha a décidé de suivre M'sieur Hugo, que pourrait-elle faire d'autre il est son porteur, mais la damoiselle souhaiterait se reposer quelque peu et se masser la cheville, elle est certaine d'avoir au fond de sa besace un bandage de fortune, elle pensait que m'sieur Hugo aurait rencontré quelques connaissances et elle en aurait profité pour se soigner, malheureusement il n'y a plus personne, lorsque tout à coup surgissant de nulle part un Sieur se poste devant eux et se présente...Hugo et Alyocha reculent un peu surpris..

AH OUPS...B'jour m'sieur z'êtes le Sieur Bragon? Bin on pensait qu'vous étiez déjà bin loin, j'suis Alyocha et j'suis tombée dans un puit, heureusement que m'sieur hugo était là où bin j'y serais encore..

Alyocha se laisse glisser le long du dos d'Hugo, elle voudrait s'asseoir un peu.

Pffff...m'sieur Hugo, pendant que vous échangez quelques mots avec le Sieur bin j'vais m'appliquer un peu d'onguent et me bander la cheville, ça la compressera et j'pourrai continuer sans vous mettre le dos en compote, on n'marchera pô trop vite..enfin si c'est possible?

Après avoir bander sa jambe et pendant que les deux hommes causent, Alyocha sort Gingle de sa boîte et lui donne des miettes de pain, il ne semble pas heureux d'être enfermé..

désolée mon p'tit père mais va falloir être patient, jveux pô te perdre dans ces foutues galeries, bon bin les hommes faudrait p'têt penser à reprendre le chemin non, z'avez raison m'sieur Bragon, faut s'disperser, bonne chance!

Hugo et Alyocha reprennent à droite tandis queBragon va à gauche, ils avancent à cadence réduite mais Alyocha mord sur sa chique, elle ne veut plus qu'Hugo la porte ou il va s'épuiser, Hugo tient la torche et éclaire le chemin, Alyocha le suit de très près afin de pouvoir se raccrocher à lui si elle perd l'équilibre, elle apprécie le garçon pour son dévouement.

Aryan et Lio continuèrent d'avancer après avoir devancé l'éboulement. Lio examinait la carte et Aryan elle vérifiait s'il n'y avait aucun obstacles suceptibles des les arrêter. Ils arrivèrent à une intersection.

"Lio, lève ton nez de ta carte et dis moi si on va à gauche, à droite ou en face !"

Bah attend ! Bon si je regarde la carte, on va à droite

"T'es sûr au moins ?"

Mais oui, avance donc !

"Roh, ça va ! Je suis pas une bourrique non plus!"

Ils prirent le chemin de droite, Lio dans sa carte et Aryan à la tête du groupe imposant composé de deux personnes. Aryan, quand l'ennui prit possession, se mit à observer la faune qui occupait l'espace. Elle regarda l'araignée amballant sa bestiole dans de la soie, les rats qui courraient dans tous les sens. Elle s'arrêta et remarqua des bouteilles, la majorité était vides ... Et une bouteille de poire qui a survécu ! Elle se pencha pour la ramasser et elle remarqua un papier qui roulait.

"Tiens regarde Lio, un début de phrase et un reste de poire. Quelle direction maintenant?"

Heu on va vers le 307

"Allez Lio, prend les devants"

[HRP]Remarque pour le MDJ de la part de Lio, le 204 est à droite[/HRP]

ET LE CINQUIEME JOUR, ARISTOTE SE LAVA LES PIEDS ET DIT:
Ah, ben ça fait du bien !!


La carte du jour , sans bison futé !




AU NORD ( c'était les cochonnnnnns )

Aryan et Lio: A pu !!! Disparu !!
Donc il avance tout droit, et arrive dans une grande cave voutée. Au plafond, un trou, d'ou tombent depuis des années et des années des ordures abominables: pansements purulents, excréments, membres coupés... je vous laisse decrire tout cela mieux que moi.
Et faites ca bien crade, car ca l'est ! degueulasse même.
Aryan et Lio sont donc sous le dispensaire.
Une voix se fait entendre et quelquechose ( à vous de choisir ) se met à hurler: laissez moi en paix !
Et pouf.... Aryan et Lio se retrouvent dans le noir, quelquepart... ailleurs , et loin!!!
Alors, à tatons dans le noir, ils se tatent:
Tout droit, à droite ou à gauche ??

AU CENTRE:

Melsius continue, echappe à un lapin enragé , et retrouve une intersection.
Au sol, un pantalon... vert !!!! Des restes de repas.... des bougies...consumées. Mais d'ou viennent ces braies vertes ??
Tiens tiens tiens....

A droite, l'inconnu 501, à gauche.... une lumière, et encore Alyocha qui lui fait des grands coucou de la main. 502




Alyocha et Hugoruth eux, tombent à une intersection.
Tout droit 507 , ou à gauche 502 vers Melsius. (Coucou Melsius !*)

* et pas Bragon. Bragon c'est facile, il ne quitte jamais sa gigantesque hache, même qu'une fois il est rester coincé avec dans des latrines, porte bloquée par "Faucheuse", et il a fallu l'en faire sortir par le toit en détuillant et sciant les tasseaux...

PLUS AU SUD:

quel drole de dessin !



Mentaig , prennant une transversalle, retrouve une courbe, plus petite celle la.... droite ou gauche ??? 505 pigot ou 506 ?

Mathilde et Jelubir continue le long de cette grande courbe. les murs mêmes sont en biais ( ceux qui sont montés sur le toit de Saint-Pierre, au Vatican, me comprennent... ).
Soudain, une quantité impressionnante de cranes, empilés le long de la paroie, tombe sur eux.... berk.
Plus loin, intersection:
La courbe 503 ou un tunnel à gauche: 504.

Bragon et Maybee:

Tout en devisant, ils font une pause dans la cave de la défunte Brunnhilde.
Superbe demeure bientôt disponible, qu'on se se dise !!

un sergent de police et un douanier !
ca me rappelle cette petite scène délicieuse:
https://www.dailymotion.com/isotope68/video/xahax_ma-belle
Film à voir d'urgence, c'est un régal.... Bref.
la causette terminée, ils marchent, marchent, marchent.... jusqu'à buter dans une paroi épaisse: les remparts !
Droite ou gauche ??

Mentaïg regarda la silhouette de ses amis disparaître dans le tunnel, puis la lueur de leur lanterne.

Tiens, bizarre, se dit-elle. On dirait que ça décrit une courbe.

Elle haussa les épaules. Après tout, les souterrains pouvaient bien décrire toutes les courbes qu’ils voulaient, ça ne changerait pas la face du monde. Elle s’engouffra dans le passage qu’elle avait choisi, toujours avec moultes précautions. Elle jetait par moments des regards inquiets vers la voûte, peu encline à subir une nouvelle attaque de chauve-souris dérangée dans sa chasse aux insectes. Il ne s’agissait pas non plus de tomber sur Raspoutine ou un de ses acolytes.
Elle parcourut ainsi quelques dizaines de toises, et faillit donner du nez dans un mur. Le couloir s’arrêtait net.

Norf de norf ! Il ne pouvait pas continuer tout droit, ce tunnel ? Je suis sûre que ça m’aurait menée exactement ou je veux aller !

La jeune femme daigna cesser de surveiller la voûte, et explora les environs immédiats. Elle se trouvait en fait à une nouvelle intersection. A droite, un nouveau couloir ; à gauche, un second. Elle fit quelques pas dans l’un, puis dans l’autre, et revint à son point de départ.
Elle se mit à mordre furieusement l’ongle de son pouce droit, ce qui chez elle était signe d’une intense réflexion.

Vraiment, vraiment bizarre. On dirait … on dirait … oui, on dirait que ça décrit une courbe, là aussi, mais avec un rayon plus petit que la précédente. Mais alors ?...

Elle essaya de se représenter mentalement la configuration des lieux.

Si je comprends bien, ça fait comme deux cercles concentriques. Pfffff ! Ça me rappelle les leçons de géométrie du Père Pandiculère, à Champagné. Pas ce que je préférais, ça ! Les droites qui se coupent nulle part, les ronds qui sont des points côte à côte, et les troncs de cônes plus difficiles à piller que les troncs d’église... Bon, je m’égare, là… Donc, deux cercles concentriques, reliés par ce couloir que je viens d’emprunter, et qui en serait comme le rayon. Donc, avec un peu de chance, je vais trouver la suite dudit rayon de l’autre côté du petit cercle, en face de celui-ci par rapport au centre. Donc, que je prenne à droite ou à gauche, ça n’a aucune importance, CQFD.

Le Père Pendiculaire aurait été heureux s’il avait pu entendre une démonstration aussi impeccable.

Seulement, j’ai intérêt à bien suivre le mur extérieur si je ne veux pas louper l’entrée du rayon. Sinon, je peux tourner en rond ad vitam aeternam. Allez, assez rêvé, c’est parti !

[HRP] MdJ, le 505, s’il-vous-plaît[/HRP]

Lio s'avança dans le tunnel sombre, suivi de près par Aryan. Il faisait fort humide dans cette partie-ci du souterrain, et ça puait, une odeur répugnante, écoeurante, c'était abominable.

Baaah! Lio, ça pue encore plus qu'avant ici, t'aurais pu nous enmener autre part.

Comment voulais-tu que je le sache ? J'ai pas l'habitude de visiter les souterrains de la ville moi.

Ils avancèrent encore quelques mètres jusqu'à être bloqué par un amas de choses immondes: bandages jaunâtres, chair en décomposition, membres humains rongés par les rats. Ils pouvaient y voir des vers et toutes sortes d'autres petites bestioles qui s'y faufilaient. Tous deux étaient dégoûtés, enfin c'est ce que Lio croyait avant qu'il n'entende Aryan éclater de rire.

Qu'est-ce que tu as toi ? Je trouve pas ça vraiment marrant moi.

Il y a un pénis tout ramoli là, dit Aryan en pouffant.

Tu ne crois pas qu'il faudrait plutôt chercher des indices au lieu de regarder ces horreurs! En plus, c'est crade et puant. Allez, viens! On continue.

Les deux amis contournèrent le tas en s'en éloigant le plus possible. Mais quand ils furent de l'autre côté, tout devint noir tout à coup. Ils ne voyaient strictement plus rien. Cela devenait inquiétant.

Laissez moi en paix !

Qu'est-ce que c'était ?

Je ne sais pas, on aurait dit une voix d'enfant, une petite fille.

Lio! Ca me fait peur tout ça.

Si ça peut te rassurer, moi aussi j'ai peur. Ne trainons pas ici! Avançons encore un peu.

Ils firent quelques pas, mais n'eurent pas l'occasion d'en faire plus. Le sol humide était tout à coup beaucoup plus pentu, tel un toboggan. N'ayant rien vu à cause de la pénombre, ils glissèrent tous les deux sur leur postérieur et atterrirent cinq ou six mètres plus bas.

Ca va Aryan ? Tu ne t'es pas fait mal ?

Non, ca va, je vais bien. Mais maintenant, je sais vraiment pas comment on va faire, les torches se sont éteintes pendant la chute. On ne voyait déjà presque rien avec, mais alors sans, c'est foutu!

Tiens mon bras. On va tout faire pour sortir d'ici. Essayons en allant vers la gauche, on verra ce que ça donne.

[hrp]A gauche donc...[/hrp]

Jelu et mathilde avancait alors tout droit enfin droit devant eux mais leur trajectoire était comme qui dirait quelque peu dévié...Non pas qu'ils avaient abusé des petites bubulles, bien au contraire. C'était le chemin lui même qui effecuait cette courbe, comme si ils faisaient le tour d'une place. Peut etre y avait il quelque chose de l'autre coté du mur...

Avancant tous droit (mais en courbe) Les deux personnes marchaient a la lumiere faible de la boite a lucioles (made in st aignan ). Quand tous a coup, le ur tomba sur eux ! Non ce n'était pas le mur mais plutot plein d'objects, plutôt étrange...

Mathilde vous etes où ? Vous allez bien ?

Je suis là de l'autre coté. Pouvez vous éclairez s'il vous plait? Je crains que je ne puisse pas voir ce qui nous est tombé dessus.

Jelubir éclaira donc l'endroit ou mathilde avait atteri sous le poids de ces objets mystérieux..

Et bien chere dame , je crois que nombre de personnes ont perdus la tête, si je puis me permerttre de m'exprimer ainsi...

En effet, une quantité importante de crane leur était tombé dessus. On se demande ce qu'il leur était passé par la tete...ou du moins ce qu'il en reste...

Apres s'etre remis de leurs émotions, ils continuerent a tourner....enfin a marché tout droit en rond, tout a fait logique....

[vers le 503 siouplait MdJ]

Messire Brag... Euh messire Melsius (c'est que je m'y tromperais) suivit donc le chemin en solitaire. Sa jambe n'avait pas l'air d'aller mieux, mais au moins pensa Melsius: la douleur ne s'empire pas... Après un petit 1/4 H de marche, il entendit de nouveau un bruit qui s'approchait de lui.

Pas encore! pensa t-il, décidément c'n'est pas ma veine aujourd'hui! Qu'est-ce que ça va être cette fois, un lapin enragé? Il pouffa de rire à sa propre remarque.Cette fois-çi, notre sergent s'approcha avec sérénitude de cette nouvelle présence... En effet, il pensait que ce serait de nouveau une personne Sancerroise qui était non loin de lui, ces galeries avaient l'air de tellement se croiser...

Il marcha donc tranquillement quand... Non!! Mais je rêve, il n'y a vraiment que moi pour tomber sur des monstres pareils!! Et oui! Notre sergent n'en croyait toujours pas ses yeux, mais c'était bel et bien un lapin avec des crocs énormes et de la bave qui sortait de sa gueule qui était devant lui! En apercevant Melsius, le lapin poussa des rugissements encore plus terribles que ceux d'un chat! Pris de panique, il coura aussi vite que possible, le lapin le poursuivant à une vitesse extraordinaire! Mais heureusement, notre sergent fut le plus rapide et réussit à semer cette bête du diable!

Il continua encore à marcher en boitant avec sa jambe, qui cette fois-çi lui faisait un mal de chien... jusqu'à arriver à une nouvelle intersection.
Tout en regardant les chemins qui s'offraient à lui, il buta sur quelque chose.. Surpris, il sursauta s'attendant à un piège ou à quelque serpent venimeux... Mais cela en fut tout autre: il avait buté sur un pantalon de couleur verte. Il regarda un peu plus loin, et vit des restes de repas et des bougies consumées...

Je ne dois plus être très loin de quelqu'un pensa t-il, qui que cela puisse être, je ne vais certainement pas tarder à être fixé...

Il allait prendre le chemin de droite, quand il entendit une voix non loin de lui. Il regarda à sa gauche et vit dame Alyocha qui lui faisait des grands signes avec ses bras... Melsius lui rendit, et décida conformément à ce qu'il avait décidé auparavant, de prendre à droite..

(501 MJ siouplait)

[de caves en caves ...]

sitôt la bouteille de poire finie, et les petites lucioles à l'abri, ice et lems continuèrent. Mais l'éboulement qu'ils contemplaient devant eux devait avoir deux effets, tout à fait différent !
ice faisait une moue pas possible, moue qu'il ne lui connaissait guère par le passé mais qu'il avait appris à diagnostiquer durant son voyage de retour avec bragon : pas bon signe du tout !

mais alors qu'il souriait intérieurement en repensant à tout cela, lems poussa un énorme cri !

ma clé ! ma clé, où est ma clé ?

ice regarda lems d'un drôle d'air, se demandant ce qu'il lui prenait ! il faut dire que la descente de la bouteille de poire fut assez fulgurante pour faire perdre la tête à n'importe quel tavernier !

toutes ces histoires de reliques et autres mystères c'est bien beau mais et ma clé ma douce ?

prenant un air de circonstance, ice ajouta

ah oui vos clés mon ange ! et bien rebroussons chemin et voyons cela de plus près. espérons seulement qu'une quelconque créature dans ses souterrains n'ai décidé de l'ajouter à son trésor.

l'effet conjugué de la poire et d'estre aux côtés de ice fit éclater lems d'un grand rire qui résonna dans le passage.

et bien soit ! retournons donc d'où nous venons ma douce et tendre.

Alors qu'ils arrivaient près de la cave de gilberg, le pas à peu près alerte, lems scrutait les lieux avec ce qui restait de lucioles non encore imbibées d'alcool. quand il vit un reflet dans la pénombre, il reprit espoir.

oui c'est ma clé !

alors qu'ils activaient le pas, un gros rat arrivait en face. redoutant ce que ice ait dit plus tôt, lems se lança d'un pas frénétique vers l'objet convoité. le rat semblait faire fi de leur présence et avançait aussi dans un petit bruit de pattes qu'en d'autres lieues il aurait fuit. ice se tenait un peu en retrait amusée de voir lems courir après sa clé alors qu'il pouvait à loisir regagner sa demeure par la sienne.
tandis que lems courait, le rat progressait vite

nooooon !!

le rat était plus rapide. il arriva sur la clé et contre toute attente, il prit l'objet et repartit dans la direction opposée tandis que lems s'étalait de tout son long dans la poussière.

ice ne put s'empêcher d'éclater de rire mais aussitôt de venir aider lems à se relever. un regard, une décision
ils partirent en toute hâte à la poursuite du vilain chapardeur. Ils méditeraient plus tard sur la capacité pie esque d'un rat dans les souterrains de Sancerre !

viens par ici bougre de bougre

et ice de rire auprès de son bien aimé qui l'attirait encore dans de bien pittoresques aventures.
le rat prit sur la gauche après la cave de la cave de la garnison.

activez le pas mon coeur, ou sinon nous perdrons sa trace !

ne sachant si c'était la course ou la situation caucasse de voir son bien aimé courir après un rat lui ayant volé sa clé, un enchantement de rire contenu suivait lems.

oui mon ange, je suis juste derrière vous !

le rat se faufilait le long de la paroi. une ouverture à droite mais il continuait tout droit. il finit sa course entre deux pierres ! fichtre !!
lems s'agenouilla et commença frénétiquement à essayer de desceller les pierres en maudissant ce fichu animal.

Ah tu crois m'échapper ! que neni mon gaillard !

et une pierre, puis deux, suffisamment pour un passage. Lems se faufila pour arriver ... pour arriver dans une cave ! et quelle cave ! il oublia le rat parti avec sa clé. alors qu'il se retournait pour voir si ice voyait la même chose que lui, il se frappa la tête de la main droite

mais quel idiot ! ice ma douce et tendre !

ice de son côté avait exploré le renfoncement un peu plus tôt sur la droite. ces souterrains avait tôt fait de l'énerver que maintenant elle s'était prise au jeu !

pourtant sur la droite, une fois de plus, elle du renoncer : un éboulis ! et pas moyen de passer ! elle décida de rejoindre lems dans sa folle course, le visage fermé, précurseur de beaucoup de choses. Elle arriva devant les deux pierres déscellées et attendit lems en tapotant du pied
quand celui apparut, la tête entre le mur, elle s'exprima d'un grand :

mon ange, quand vous aurez fini vos divagations, serait il possible que nous sortions de cet endroit ... qui commence à me taper sur le système !!

appréciant la situation, lems fit son plus doux sourire à la douce et tendre dame et lui lui rétorqua

mon coeur, il faut que vous veniez voir cela ! de quoi vous ravisez de votre jugement. sisi je vous assure.

lems était parti depuis longtemps mais il savait y faire pour piquer la curiosité de la dame. Et elle dans sa grande complicité avec l'homme, elle plongeait tête baissée dans le piège de lems

comment ça ? qu'est ce donc ? poussez vous de là que je m'y mette !

lems obtempéra tout en aidant ice à passer, sourire aux lèvres

devant eux était une cave remmplie de haut en bas de toute sorte de vin et autre alcool. ice prit la bouteille de luciole à lems et passa contemplative en revue la réserve !

hum ! et bien, y en a qui ne se prive pas !

puis réfléchissant un peu

voyons, nous avons pris à droite après la garnison, puis en remontant légèrement, nous sommes, nous sommes dans la cave du poste de police de sancerre !!
rhooooo, je comprends maintenant pourquoi bragon tenait tant à ce poste !! il va m'entendre celui là ! et lui de me dire qu'il voulait s'investir pour la ville de Sancerre et ceci et cela ! Rhooo, ça il va m'entendre, na !
remarque, observant de plus près, il a pas mauvais goût le bougre. lems, venez voir cela de plus près !

lems sursauta à l'annonce de son nom. il avait devancer ice en prenant bonne bouteille et en passant déjà le nez au dessus du goulot !

oui mon coeur, vous avez raison. je vous soutiendrais dans une action de représailles à l'encontre de notre vieux crapaud !

il semble que déjà la bouteille que lems tenait en main était déjà entamée.
d'ailleurs, en parlant de nostre viel ami, je me fais du souci pour lui. lems s'était assis, enfin était tombé sur le postérieur une larme à l'oeil ayant sous estimé la liqueur précédemment ouverte.
ice regarda lems, d'un air acquiesseur

oui et bien si c'est comme ça, nous allons prélever un peu de leur butin et nous réfléchirons ensemble à des représailles. et par ici la bouteille vous !

assis ensemble, devisant et dévissant à tour de bras, les deux restèrent ainsi un long moment. ils échangèrent leur point de vue sur la qualité du breuvage. ice, depuis qu'elle avait rouvert le havre était passé maître dans l'art du bon alcool. ses goûts différaient de ceux de lems mais finirent par se rejoindre sous l'effet d'une concorde vaporeuse.
et puis il était si bon de se retrouver ensemble enfin tous les deux. Elle l'avait suivi dans ce boyau comme elle l'aurait suivi aggripée aux pattes d'un rapace si il le lui avait demandé !
ils étaient bien là tous les deux mais la mission n'était pas finie ! retrouver les clés !
justement, c'est à ce moment là que nostre fameux rat décida de remontrer le bout de son museau. les yeux de lems brillèrent un peu plus

làà !! làà ! viens pas ici !

ice, rigolant, se relevant tant bien que mal, décida de suivre lems à quatre pattes. lui de son côté n'avait pas attendu.
Voilà que les deux, ivres, pourchassaient leur rat dans les dédales des entrailles de Sancerre.

[HRP] la suite arrive . bon quoi au programme ? une cave ! ça par exemple ![HRP]

M'sieur Hugo c's'rait pô le Sieur Bra..euhhh*Alyocha réfléchit* j'veux dire le Sieur Melsius là-bas, bin l'homme qu'on a rencontré taleur des fois non?

Hugoruth tourna la tête

Ah oui, c'est bien le sergent Melsius... Tu vois, tu es déjà chez toi ici, tu reconnais déjà les gens dans une semi-obscurité.

Le ventre du bailli grogna un peu.

Diantre mais tu as bien raison de réclamer à manger... Mon ventre crie famine [Famine!!!!!!!!!!!!!!!!!!!].

Tournant la tête autour de lui

Enfin, pas grand chose à grignoter à part des rats... Je propose de continuer tout droit, nous trouveront peut être quelques vivres ou mieux, une cave pleine de bouteilles de poire!

[Tout droit, vers le 507 !]

Bragon s'inquiétait de la situation. Maybee saignait un peu, ce qui n'était pas très grave, mais son esprit semblait ailleurs. Comment pouvait elle être si différente d'un moment à l'autre? . Bragon pressait le pas, trainant presque la menue douanière. Arrivés sous la cave de Maybee, celle ci montrait une grille de taille modeste. Bragon essaya de la soulever avec l'aide de « Faucheuse », mais la grille était hors d'atteinte. Il Hissa donc la douanière sur ses épaules. Elle réussit à soulever la trappe, puis à se hisser à l'intérieur, laissant Bragon au fond du trou.

Le viel homme entreprit de compter les poils de sa barbe le temps que Maybee fasse toilette, et panse sa plaie.

Maybee revint promptement, radieuse et souriante. Elle se glissa du trou dans les bras de Bragon. Ils reprirent alors leur progression. Sous le numéro 50, Maybee du refaire son pansement qui glissait. Bragon n'osant se proposer de le serrer, craignant de blesser plus la douanière.

Maybee ressortit son plan, l'encre... s'appliquant à tracer cette nouvelle bifurcation.

« et maintenant? Qu'est ce qu'on fait?


Prenons à droite, évitons la sinistre. »

Oh mais vraiment, tu es sûr de vouloir descendre là dedans ?

Amélia se tenait fermement à l’échelle que les charpentiers avaient installée à la demande de Simon. Elle n’aimait pas ce genre de situations, elle détestait même ce genre de situations. Mais l’animal était têtu et il n’était pas question pour Amélia de le laisser descendre seul dans ce trou.
En dessous d’elle, Simon descendait aussi. Les jupons d’Amélia lui retombait légèrement devant les yeux.

Mais oui ma caille, lui répondit-il en reculant légèrement sa tête. Il faut vraiment descendre. On n’a pas eu de nouvelles de Lio et d’Aryan. Avec la possible implication des Spadassins dans l’attaque de l’Homme des bois, je suis très inquiet.

Simon descendait avec précaution, mais n’y voyait goutte. C’était Amélia qui tenait la torche. Simon prit des gants afin de ne pas la vexer.

Ma colombe, sans vouloir t’embêter, pourrais-tu s’il te plaît tendre le bras afin de m’éclairer ?

Crispée, Amélia n’osait lâcher son bras. Elle ferma les yeux, respira un grand coup et lâcha son bras droit tout en se tenant bien serrée contre l’échelle.

Merci ma poule. Tu es vraiment une grande aventurière !

Simon soupira en secouant la tête. Bon la pauvre ne pouvait pas avoir toutes les qualités non plus. Elle était déjà si belle, si douce (ben quoi c’est moi qui écrit !) hum.. donc si douce, si tendre, bref une perle ! (hum on s’éloigne du sujet…)

Enfin Simon posa un pied au sol et aida Amélia à finir de descendre, lui collant une légère tape sur les fesses au passage. Il saisit la torche en lui déposant (quand même!) un léger baiser sur les lèvres puis ouvrit la carte qu’il avait plus ou moins réussi à établir de ce qu’il connaissait des sous sols de Sancerre.

Bon nous sommes ici, sous la place Saint Père, entre le numéro 28 et le numéro 62. Aux dernières nouvelles Mentaig semblait avoir une piste. Nous devrions la rejoindre. Tu viens ?

Amélia regarda devant elle le trou béant et tout noir où Simon semblait vouloir s’engouffrer. Elle regarda son amoureux d’un air inquiet puis craquant à nouveau devant ses beaux yeux elle s’efforça de lui faire quelque chose qui ressembla plus ou moins à un sourire. Décidément, l’amour ça fait faire n’importe quoi…
Simon lui prit la main et ensemble ils avancèrent.

(VERS LE 41)

LE SIXIEME JOUR, ON A FINI LE PACK


La carte du jour:




LES PERDUS:

Lio et Aryan prennent à gauche, dans le noir.... ils montent, puis suivent une courbe, et redescendent, et.... mais... ils sont au même endroit !
Damned !! au loin un cri dans la pénombre, des appels à l'aide...

La faut prendre une décision, droite ou gauche ???

AU SUD-EST:

Mentaig avance vers le nord le long de la courbe qui oblique vers l'est et le sol se derobe...un puisard ! une chute de deux mêtres, la cheville qui se tord, la lampe n'est pas cassée.... Mentaig appelle tout ce qu'elle peut !!

Jelubir et Mathilde eux suivent la courbe au sud, un intersection, et ils entendent aussi le cri de Mentaig qui semble provenir du 601 ou du 602 ??



AU CENTRE:

Melsius s'avance crânement, et aperçoit un tunnel qui part du plafond et remonte vers la surface, il s'approche le nez en l'air et tombe dans ce qui est en fait un ancien puit condamné.
il reste miraculeusement coincé en travers.
Appelle lui aussi !



Hugo et Alyocha avance, mais trés vite bute sur un amoncellement: la galerie est effondrée, mais un courant d'air passe: un trou de 20 cm, il y a une salle que l'on distingue mal derrière les deux mètres de gravats....
on y distingue même le visage d'une statue, mais rien à faire, ca passe pas... et un cri, melsius !!!

A L'OUEST: Lems et Icefly vont de caves en caves, de chaies et chaies, de millésimes en cépages....

A LA SURFACE:
Alertés par taupes des récents évènements, Gallup et la divine Amélia s'apprête à une descente vertigineuse le long du puit, place saint Père...


Tout à l'ouest:

Bragon et Maybee prennent à droite, et rescende le long des rempart.... une attaque de rats, et c'est la trappe pour ressortir... ou continuer... Pigot 604 ou 605 , ou trappe pour aller directement place Saint-père ?
( désolé, ils postent toujours en même temps que moi !!! )