La chasse au Nonos ! (le grand jeu de l'été )

[de caves en caves (suite)]

sur la droite ! un cliquetit devenu familier. ice et lems poursuivent leur course folle, toujours à quatre pattes.
la compétition est dores et déjà biaisée, mais les deux n'en ont nullement conscience !
cliquetis cliquetis (ça prend un s ça ou pas ? bah tant pis !). le rat semblait les narguer au devant. lems n'y voyait à présent plus goutte, car il ne traînait derrière eux que des cadavres. ice, accrochée aux braies de lems suivait le mouvement concentrée sur ce qu'elle avait en face de son nez ! l'arrière train de lems !
néanmoins, la douce et tendre dame ne perdait pas le nord, il en aurait été autrement sinon.

A ce rythme, nous allons finir à la taverne municipale mon ange ! et qui sait ce que les maires successifs de cette ville y auront entreposé !!

lems, se concentrant pleinement à avancer une main puis l'autre devant lui, souria à la remarque.

voyons voyons! pour sûr que Ethel y aura laissé quelques bouteilles de poire ! en plus, en ligne directe avec la cave de gilberg ! ces deux là se seront bien trouvés !

se retournant vers ice, pointant le doigt en l'air

mouais, ça c'est du tout cuit !

puis se ravisant, le visage obscurcit mais ne gommant pas son air joyeux

mais otto aura tôt fait de tout consommer en catimini l'air de rien ou ! ou alors il aura thésorisé au bar populaire.

se frottant le menton

Pourtant si cela avait été le cas, je m'en serais aperçu!
et hugo ? hum hugo, raffiné mais coquin aura sûrement tout transférer du bar populaire à la taverne ! et si, trop occupé à courir les jupons d'une certaine georgette, il avait tout laissé en place ! non non je ne veux pas le croire.
et ysa, ha ysa ! sûrement que tout aura été bien répertorié ! et conservé aussi

le ton de lems devint mielleux, à l'égal de son regard vers ice qui tôt fait le remit en place

allons, tavernier ! en avant et plus vite que ça ! crapahuter de la sorte avec vous me sied mais c'est qu'il fait soif. et je ne vois pas dans tout ça comment regagner la cave de jelubir et ainsi percer le secret de ses bubulles !

ah les bubulles ! pensa lems. nectar exquis qui met en émoi tous les sens en tout cas ceux de ma douce et tendre

les deux avançaient à taton dans le noir. le rat avait filé depuis belle lurette, mais embués des vapeurs d'alcool, lems ne perdait pas espoir. se redressant, sentant à nouveau un air frais courir sur le côté de la traverse, il aperçut comme une lueur à travers le mur. oubliant déjà les éffluves précédentes, ice entreprit de scruter le mur.

hum ! épais et pas une faille dans la pierre. mais alors que son regard se portait en hauteur
ho ! là mon ange ! nous ne sommes peut estre point perdus !
ice désignait ce qui semblait estre une fine grille plantée à quelques pieds au dessus du sol. malheureusement hors de portée. lems, guidant la main de ice, porta la bouteille à lucioles plus en hauteur.

hum !

cette vieille habitude de dire hum à tout bout de champ leur venait de leur voyage en touraine et ne les avait pas quitté depuis. D'ailleurs, si ils s'en étaient amusés au départ, ils n'y prêtaient guère attention depuis bien longtemps. et à se retrouver depuis quelques jours, l'habitude avait repris le pas.
lems s'arcquebouta dos contre la paroi. la position n'était pas vraiment assurée mais tout semblait aller de travers ! alors à quoi bon s'en inquiéter!

grimpez donc par ici ma dame voir si le repère de notre lascar ne se trouverait pas derrière ce mur. Il me semble voir de la lumière.

lems divagait plus qu'à l'accoutumée mais ice ne releva pas l'incohérence du propos.
remontant ses jupons, ce qui ne manqua pas d'émoustiller lems, ice enficha son pied dans les mains de lems afin de hisser plus haut. lems se concentra pour ne pas plier, non pas que la dame ait pris plus de poids que cela, mais seulement, plusieurs mois dans la campagne .... enfin il pensa que ...
pendant qu'il se perdait dans ses pensées qu'il ne savait plus si elles étaient à hautes voix ou simplement dans sa tête, il sentit une pression sur ses mains. ice avait lu dans ses pensées et s'était précipité sur lui, ne manquant pas de gravir la dernière marche qui n'était autre que la tête de lems.
puis de là haut, elle baissa la tête, et dit d'un ton détaché

tout va bien mon ange ?

lems se dit que ice avait encore lu en lui. alors, il ponctua

formidable mon coeur. je maîtrise parfaitement la situation. mais vous savez, le régime pain sec que j'ai subi ...

mais alors que ice avait déjà la tête tournée vers la grille, se hissant du bout des pieds sur les épaules de lems et aussi de sa tête un peu, se dernier sentit passer quelque chose entre ses jambes. quelquechose de gros et poilu !
il se mit à sautiller d'un pied sur l'autre ce qui ne manqua pas de déstabiliser ice du haut de son perchoir humain. un gros rat venait de leur gauche. il était passé que lems avait repris ses esprits mais trop tard !
ice se mit à crier essayant de s'aggripper aux pierres sentant ses appuis se dérober. le son aigu de ice retentit dans le boyau. puis tout se tut. lems avait repris ses appuis sous ice. Mais un grondement sourd se fit entendre ! ice sentait sous elle le mur trembler. lems sentit comme une vague lui courir sous les pieds.
dans un épouvantable bruit, le mur derrière lui s'effondra, engouffrant ice dans un nuage de poussière et la noyant dans un bruit effroyable

oups !! je crois qu'on aurait pas dû faire cela !
keuuf keuuf! ah vous croyez ? et bien pour notre peine voyons ce que
nous avons ici ! si nous ne trouvons pas votre rat mon ange, au moins nous pourrons noyer votre chagrin en toute quiétude !

ice se remit sans mal de la chute qui avait découvert comme promis la cave de la taverne municipale ! et comme supputé, la cave regorgeait de bouteilles. certaines dataient de fort longtemps.

c'est fou tout de même ! qui l'aurait cru !

quelques bouteilles plus loin, chantonnant à tue tête dans le souterrain, ice oubliait l'énervement que lui coutait cet enfermement et lems oubliait sa clé!
tous deux s'engouffrèrent plus avant. plus ivres que morts mais pas loin du comas éthylique, se supportant mutuellement côte à côte, les deux compagnons avançaient vaillamment vers l'ouest.
Dans un sursaut de lucidité, ice fit remarquer qu'ils n'étaient pas les seuls à ne plus briller. les lucioles s'étaient toutes éteintes. lems leva la bouteille qu'il tenait à la main droite. puis la passant devant lui, il l'agita.

mais ! mais elles se sont liquéfiées mon coeur !

rhoooo, bougre de tavernier adoré ! c'est moi qui ai la bouteille à la main ! et en effet nos lucioles se sont endormies !

lems éclata de rire, observant le fond de la bouteille.
bah ! alors on peut boire sans risquer d'illuminer le fond de ce tunnel !
le passage remontait à peine, toujours aussi poussiéreux. aucune emprunte depuis longtemps. mais de toute façon il n'aurait pas fallu compter sur eux pour le relever.
les éclats de rire se firent entendre. les lucioles n'avaient plus d'importance, ni la maudite clé et le rat béni. déambulant de ci de là, ils ne se souvenèrent pas de grand chose.
néanmoins, ils s'endormirent dans de soyeux draps, bercés par le frais des caves. ils étaient lovés l'un contre l'autre, formant à nouveau le cocon tissé au fur du temps. le temps qui avait passé mais qui avait gardé intact leur amusement réciproque. Si différents et si proches à la fois.

[HRP] : ah et maintenant ? chez ysa ! bah voyons ! va t on pouvoir enfin dévoiler tous les secrets de notre ancienne maire ?

bon si des fois il y avait des choses trop compromettantes on file tout droit, enfin autant que faire se peut, au point n°12 sous la maison n°110. pourquoi ? bah ça faudra lire la suite pour le savoir ^^ [/HRP]

Citation :

Seulement, j’ai intérêt à bien suivre le mur extérieur si je ne veux pas louper l’entrée du rayon. Sinon, je peux tourner en rond ad vitam aeternam. Allez, assez rêvé, c’est parti !

Et Mentaïg reprit sa lente progression solitaire, suivant de la main droite le mur courbe, levant de la gauche sa lanterne le plus haut possible pour tenter d’y voir clair. Mais le plus haut possible, quand on mesure moins de 5 pieds sous la toise, ça ne fait pas bien haut… La jeune femme n’y voyait pas à deux pas devant elle, et en était réduite à se fier à sa main droite, un peu inquiète et l’estomac vaguement barbouillé de sentir toutes ces épaisses toiles d’araignées lui poisser les doigts.
Elle s’arrêta quelques secondes, essuya sa main contre le dessus de sa chausse, histoire de se débarrasser de ce gant de soie fort peu agréable. Elle calcula qu’elle devait avoir franchi environ le quart du cercle décrit par ce tunnel. Elle avait compté ses pas, et décida d’en faire autant avant de ralentir et de chercher plus activement une bifurcation.
Mentaïg reprit donc d’un bon pas.
D’un bon pas, mais d’un seul.
Le sol se déroba sous ses pieds, elle poussa un cri d’effroi.
Sa chute ne dura qu’une fraction de seconde. Elle n’eut pas le temps de se recevoir correctement, et tomba lourdement sur un sol caillouteux, où elle resta assise, étourdie.

Norf de norf de norf ! C’est bien ma veine !

Elle attendit quelques instants, soulagée de constater que sa lanterne ne s’était pas brisée dans la chute. Au moins, elle ne serait pas plongée dans le noir absolu. Quand les papillons qui lui obscurcissaient la vue se furent tous envolés, elle regarda autour d’elle.

Bon, me voilà dans un puits. Encore heureux qu’il soit à sec. Un puisard, plutôt. Et bien maçonné, ma foi. Ils ne faisaient pas les choses à moitié, les ancêtres.

Un frôlement à sa gauche la fit sursauter, elle se remit instantanément debout.

Aïe !!!

Mentaïg retomba plus qu’elle ne se rassit, enserrant des deux mains sa cheville gauche.

Mais c’est pas vrai, ça ! Manquait plus que ça ! Pu… naise ! ça fait mal !

Des larmes de douleur, et surtout de frustration aux yeux, elle se remit debout, prudemment cette fois, et tenta de poser le pied gauche au sol.

Norf non, ça le fait pas. Pfffff ! Je fais quoi, moi, maintenant ?

Le puisard n’était pas si profond. En levant très haut les bras, Mentaïg en atteignait presque le rebord. Si cette bête cheville ne s’était pas tordue sur les caillasses du sol, elle aurait pu sauter pour s’y agripper et s’aider des interstices de la maçonnerie pour remonter. Mais là …
Elle essaya, bien sûr. Mais en vain.
Luttant pour ne pas céder à la peur qui l’envahissait peu à peu, elle se força à garder la tête froide. Ce n’était pas la première fois qu’elle se trouvait dans une situation désespérée, aucune raison qu’elle ne s’en sorte pas cette fois encore.

Je ne sais pas trop où sont tous les autres, mais Jelu et Mathilde ne peuvent pas être très loin. Si mes supputations sont exactes, ils doivent suivre le plus grand des deux cercles, et se diriger peu ou prou vers moi. Peut-être aussi y en a-t-il d’autres dans le coin. Et puis je dois bien être sous la maison de quelqu’un, aussi. Quoique ce quartier soit un peu à l’abandon, avec toutes les histoires de fantômes qui s’y racontent… Et puis, il y a Raspoutine… Norf de norf, si c’est lui qui m’entends le premier, je ne donne pas cher de ma peau. D’un autre côté, si je reste là sans rien faire, elle vaudra encore moins cher… Tant pis, je tente.

Elle se releva, mit les mains en porte-voix, et cria de toutes ses forces.

A l’aide ! A l’aide !!!!!

n'est il pas vrai que sancerre se trouve au milieu du royaume de france ?
si pourquoi ?
et bien, je comprends mieux pourquoi tant de vins se cotoient ici, perdus qu'ils ont été lors des nombreuses visites que suscite le berry
rendez vous compte mon coeur !
de quoi ?
que nous avons voyagez depuis l'est vers l'ouest sous la ligne médiane du royaume et goûté à ce qui se fait de mieux !
oui mais et les bubulles ? ne se situent elles pas plus au nord ?
je ne suis pas jelubir. mais plutôt que de parler, prenez donc vostre chasles.
mon chasles ? mais, ce n'est pas le mien !
ah! si c'était le mien je puis vous l'assurer mon coeur, cela se saurait !
mais mais alors ?
alors quoi ?
ben, si ce n'est le mien, ni le vostre, à qui est ce ?
vous avez l'art de me poser questions auxquelles je ne puis répondre ! voilà que nous étions dans un boyau sorti d'un bouge immonde perdu dans les entrailles de Sancerre, que nous nous sommes au sec et entourés de draps soyeux ...
de draps soyeux !?!
lems regarda autour de lui. et il n'y a pas que les draps de soyeux ici !
ice remonta machinalement l'étoffe sur ses épaules dénudées, observant également les alentours. la mémoire lui revenait peu à peu et pourtant !
rhoo ! mon ange ! ne me dîtes pas que nous soyons là où nous ne devrions pas estre !
mais comment voulez vous que je sache où nous soyons? si ce n'est dans douces soies que nous choyons. A croire que nous avons chu, sans avoir su sur quoi nous chumes ! à part dire que nous soyons où nous sommes
rhooo ! lems, est ce le moment de faire de l'esprit ?

ice remonta les bretelles de sa robe puis décida d'aller de l'avant.
par ici mon ange ! un escalier qui répondra j'en suis sûre à nos questions, en somme ou en soie.
lems se releva en souriant. et bien en tout cas cette cave m'inspire, m'inspire ce qui ne saurait etre défini, mais elle m'inspire !

ice avait bien une idée. elle connaissait ce travail. ils étaient dans un atelier, un atelier de tisserand. et elle savait bien de quel tisserand ou plutôt de quelle tisserande il s'agissait.
la voyant confuse, lems arrêta sur le champ. il suivit à pas feutrés la douce et tendre dame de son coeur.
mais qu'est ce donc tout ceci ? enfin cela n'a pas de sens mon ange ! tous ces souterrains reliant les maisons des principaux personnages de la ville !
replaçant sa méche venue descendre sur son front, ice remua le bout de son nez
il y a quelquechose de louche dans tout ça mon ange, je le sens !
de louche ? voilà de simples coïncidences qui se cumulent mais de là à y ....
non non, il y a quelque chose, na! je vous le dis, je le sens et il n'y a rien à y redire !

ice regarda lems de son regard tendre, elle lui sourit amoureusement et, fini d'estre conqui, il acquiessa d'un sourire vers la dame.
alors vous savez où nous sommes ...
ce tissu et cette façon d'assembler oui ! nous sommes chez ysa !
chez ysa ? bigre ! nous sommes plus au nord que je l'aurais cru. mais et pour ma clé mon coeur ?
votre clé attendra mon ange ! il me faut en savoir plus. sortons d'ici et plus vite que cela !

lems, absent depuis trop longtemps, ne dit mot. ice, d'un pas décidé sortit de la demeure de ysa puis se rendit en mairie. elle essaya de voir mentaig et de lui faire part de ses inquiétudes au sujet de ces tunnels. son sixième sens avait encore joué. mais la maire était absente.
rien à faire ! ice entra dans le bureau et chercha un papier. elle avait bien entendu parlé finalement de quelques souterrains lors de conseils, mais absorbée dans sa tâche de tribun entre autre, elle n'y avait pas prété gare.
un préposé se tenait non loin. ice interrogea l'homme.
où est dame mentaig ?
ben, c'est que ... je ne l'ai pas vu aujourd'hui.
que savez vous des souterrains ?
des souterrains? ma bonne dame, pas grand chose. ah si ce n'est que ma dame le maire s'est compoirtée bizarrement ces derniers jours. Enfin j'avais noté une conversation entre elle et dame gayala à propos d'un problème de cave et souterrain.
gayala ? vous estes sûr ?
aussi sûr que je vous vois.

allez lems c'est la seule piste que nous ayons !

ne comprenant pas vraiment le soudain retournement de situation, lems emboîta le pas de ice et tous deux se dirigèrent vers le n°110 proriété de gayala. la porte était fermé, mais ice demanda à lems de la faire céder. consciencieusement, ce dernier fit sauté les ornières de la porte et la bascula légèrement sur le côté. Puis ils s'engouffrèrent dans la demeure prenant tout de suite la direction de la cave.
alors une cave et un souterrain à nouveau qui partirait !
lems, alors que ice avait avancé dans la mairie, avait fait un détour par son ancien bureau. il était déserté à cette heure indue mais une pointe de nostalgie le pinça au coeur. il n'avait pas le temps de s'en trouver à redire qu'il prenait une lanterne sur un coin de bureau, là où ice lui avait indiqué et qu'il rejoignait la dame.
lems, la lanterne ! vite. par ici. lems était complètement décroché. Mais il avait déjà vu ice dans cet état là, une fois. Elle était comme en prise avec un esprit. il ne s'en était jamais ouvert de peur de finir sur le bûcher mais il prenait cela très au sérieux.
ice eut tôt fait de découvrir le passage que gayala avait pris soin de dégager. Puis ils passèrent en hâtant le pas dans l'étroit boyau.

[HRP]en route route pour l'entrée 12. vous voyez j'y suis arrivé. comment ça tiré c'est par les cheveux ? pas du tout ![/HRP]

Melsius suivit donc le chemin de droite...

Quelle obscurité pensa t-il, heureusement que j'ai ma torche. Fier et encouragé d'avoir esquivé ce maudit lapin, notre sergent était très sûr de lui.
Il s'apprêtait déja dans sa tête à raconter ses aventures épiques, dignes d'Ulysse, d'Hercule!

Il marcha même en sifflant, quand tout à coup! Il aperçu devant lui un tunnel qui partait du plafond et qui remontait vers la surface!

Melsius l'examina de plus près: Mais où est-ce que ce trou peut bien con... A peine eut-il prononcer ses paroles que le voiçi précipité au fond d'un trou qui celui-çi était à ses pieds!! Il chuta pendant quelques secondes jusqu'à ce que... Boum! Jusqu'à ce qu'il se coince en travers du puit...

Et oui, notre sergent a échappé à une mort certaine..

Mais il ne l'entendait pas de cet oreille.. Ah!! Fichtre!!! J'ai l'air malin comme ça!! Melsius réfléchit quelques secondes et enfin prit une décision qui cette fois-çi relevait plus du pathétique que de l'épique...

Hey!! Il y a quelqu'un!! Melsius criait à plein poumons! Je suis coincé au fond d'un puit!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Aidez-moiiiiii!!!!!

Continuant leur route en marchant droit mais sur une route qui tournait, jelubir et mathilde s'ennuaient ferme. Leur seule animation, fut le manque de tomber de mathilde , qui n'avait pas vu le caillou devant elle, ce qui leur vallut un bon fou rire. Ce qui enlevait leur enthousiasle était moins le fait de n'avoir rien trouver que d'avoir l'impression de tourner en rond...

Faisant semblant de trouver cela passionant, leur conversation s'arretait a parler du cour actuel de la bourse et des pris des diverses denrées...tout ça était biensur fort interessant...

Mais le silence avait fait place a un cri... etrange, il connaissait cette voix...

Citation :

A l'aide ! A l'aide !!!

Jelubir, tu as entendu?

Oui , on aurait dis la voix de notre charmante bourgmestre.

Mentaig? Elle est peut etre en danger.Il faut la retrouver.

Certes, mais faisons attention. Sii c'est l'ouevre de Raspoutine, il est peut etre encore dans les parages.

Ils prirent donc le chemin tout droit (qui avait l'air de tourner en rond). Ils avaient en fait tirer a piler ou face, ne sachant d'où la voix de mentaig provenait. Ils se mirent donc a courir, afin de se rapprocher de leur amie, en esperant que rien de grave ne lui soit arrivé.

[MdJ, vers le 601]

Bragon et Maybee prirent donc à droite, redescendant les remparts, le chemin semblait de plus en plus long, d’autant plus que le bandage de la jeune femme ne cessait de se défaire.

- bon ! je vous le resserre !
- de quoi ? la vis ?
- non, votre bandage !

Maybee se laissa donc faire, cette fois-ci il tiendrait bon.
Ils firent donc un petit bout de chemin lorsqu’ils décidèrent de faire une
petite pause réconfort. Ils sortirent donc de quoi boire et manger (notez
l’ordre), mais des bruits feutrés, commencèrent à se faire entendre, à croire que l’odeur des reliefs avait attiré une population que la douanière abhorrait.
ils remballèrent donc pain, cochonnailles et bouteilles, attendant que leur
première impression se précise.
- aaaaah, non c’est pas vrai, il ne manquait plus que ça ! des rats !!!!

Bragon se saisit alors de Faucheuse, et, alors que Maybee ne savait plus où se mettre (même pas moyen de se réfugier dans les bras de son
Aimé), il saigna quelques rongeurs, dispersa les autres, et ils se mirent à
courir pour leur échapper. Ah oui… Bragon en prit un ou deux au passage
« pour son dîner » (biiiiirk).
Ils se retrouvèrent alors à bout de souffle devant une énième bifurcation, Maybee ressortit son plan et commença à noter :
- alors : nous avons devant nous deux boyaux, l’un menant plutôt à l’ouest,
le second au sud.
- oui, et regardez là ! il y a deux trappes également, l’une doit mener au
dessus, sur les remparts, quant à l’autre…

Maybee regarda Bragon de son air le plus pathétique possible (et attention c’est du travail !)
-mon Aimé, j’ai vraiment l’impression de tourner en rond, que l’on ne va nulle part et que ce qu’on fait ne sert à rien, à part débusquer des rats et des taupes géantes c’est tout ce que l’on arrive à faire… si cette trappe mène dehors allons-y, j’ai besoin d’air frais, nous verrons après.

Ils remontèrent donc sur les remparts, se saoulèrent de cet air frais qui leur avait manqué, ils en profitèrent également pour admirer la vue de Sancerre, Bragon se demandant ce que pouvait bien faire Pasiphaé (il
va finir par l’épouser, je le vois venir comme une vache au milieu d’un
couloir. quoi ?! c’est moi qui poste, je dis ce je veux et ce que je
pense, na !).
Puis ils redescendirent, ils avaient décidé qu’ils mèneraient à bien leur mission malgré tout. (et puis on ne va pas laisser Gallup et Amélia arriver comme ça, tranquilles, et sauver tout le monde, nomého, en plus je suis sure qu’ils ne vont même pas essuyer une attaque de rat ou de taupe géante et autre lapin enragé… il n’y a vraiment pas de justice !)
Se demandant où pouvait bien mener l’autre trappe, ils décidèrent de l’emprunter (et après on vous la rend ! enfin, si vous êtes sages)


[Donc on prend la trappe magique qui nous emmène place Saint
Père]

Gallup déplia le denier message transmis par Mentaig....
- Donne moi un peu de lumière s'il te plait...

- Mais , il est tout gluant ?? s'exclama Amelia, intriguée...

- euh... oui... cette fichu taupe messagère avait avalé le parchemin, il a fallu ouvrit le bestial pour l'y récupérer d'dans...
Simon remarque l'air effaré de sa tendre.
- te bile pas ma poule, à toute chose malheur est bon, je t'en ferai des pantoufles fourrées pour cet hiver...

Bien : alors.... d'après le plan et les derniers relevés transmis...
A droite... arrivé dans l'ancienne crypte de saint-Père, on prend à gauche, on suit le périf jusqu'à la première à droite, et encore à droite....
on va la rattraper si on se depeche...

Attend puce, je prend la lanterne qui est lourde, et je te confie la carte...

Ils s'avancèrent, la pénombre se refermant derrière eux, les manches frottant pas instant sur les parois suintantes; la lueur de la lanterne se miroitant dans les quelques flaques d'eau qui émaillaient le parcours, des myriades de petites lumières dansaient et tournoyaient autour d'eux...

- Voila la salle, à gauche maintenant.....
puis prend la première à droite....

- merci gepehesse....

- pourquoi tu m'appelles comme ca ??

- chai pas... j'aime bien !!!

Ils continuèrent à avancer dans le noir.

Bon Lio tu avances !

T'es drôle toi, je te rappelle qu'on est dans le noir et tu me demandes d'avancer plus vite ?

Aryan continua d'avancer en bougonant. Elle releva la tête et se cogna contre le planfond.

Aïeuh ! Tu n'as pas entendu un appel à l'aide Lio ?

Si, si. On devrait se dépêcher !

Ils augmentèrent l'allure. Jamais ils ne marchaient droit. Un coup ils allaient à droite, un coup à gauche. Aryan eut l'impression de suivre une courbe. Ils s'arrétèrent tous deux.

Lio !! Bonne nouvelle ! j'ai de quoi rallumer les torches !!

Aryan alluma les torches et ... remarqua qu'ils étaient au poitn de départ !

M'enfin ! C'est pas possible ça! On ne sortira jamais d'ici. Allez Lio on essaie à droit cette fois!

[hrp]Mdj, on va à droite ![/hrp]

- merci gepehesse....

- pourquoi tu m'appelles comme ca ??

- chai pas... j'aime bien !!!

Amélia fit la moue. Drôle de mot tendre qui rime avec bougresse. Avec déesse aussi... Amélia hocha la tête, moui c'est déjà çà.
Ils tournèrent encore, et encore et encore. Amélia restait concentrée sur la carte et en plus ça lui permettait de pas trop regarder autour, ni devant, ni au dessus. Bref, elle gardait les yeux rivés sur la carte.

- Dis. Tu n'entends pas quelque chose?

Simon tendit l'oreille et fronça les sourcils.


- Oui on dirait Mentaig! On touche au but.
Tous deux accélérèrent le pas; la voix se faisait de plus en plus proche.

- Mentaig, tenez bon, on arrive!!!

Enfin ils la trouvèrent.... au fond d'un trou!! Simon tenait la torche au dessus du puisard.

- Ca va en bas?

Mentaig lui répondit qu'elle avait la cheville tordue.

- Attendez je vous lance une corde (ben oui Gallup il est super beau, super fort, il a toujours une corde sur lui!!).
Mentaig s'accrocha et tenta de monter comme elle put. Amélia tenait la corde et Simon couché au sol tendait ses bras au dessus du trou pour tenter d'attrapper la malheureuse.

- Ca y est je vous tiens!!!
- Non Gallup ça ce sont mes oreilles!!!!!!!!!! Aieuhhhhh!!!
- Hum... pardon... j'ai mal visé.

Simon se pencha un peu plus, au risque de tomber (quel courage!) et finit par attrapper cette fois sous les bras et à la hisser hors du trou (un dieu moi je vous le dis!).

Tous trois tombèrent à terre épuisés.

- Mentaig, heureuse de vous revoir!
- Et moi donc!!!
- Bon on fait quoi maintenant?
- rien du tout! Pour l'instant on va essayer de panser la cheville de Mentaig, ensuite on verra!

LE SEPTIEME JOUR: BLEUWENN SE CASSE LA JAMBE AU RAS DU COUDE


La carte du jour:
Au menu, casse croute, Rat en croute et taupes en gélées.


AU NORD:

Lems et Icefly ont prit vraiment le chemin de plus tarte en passant par le 110. Cette portion est.... hem !!!


Alors .... une intersection... 701 ou 702 ??


AU CENTRE-SUD-EST: tout le monde est la ??? cool....

Mentaig marine toujours dans son jus....

Gallup et Amelia sont en route pour la rejoindre... courage Mentaig !!

Bragon et Mentaig(note d'un correcteur de passage: il n'y à rien entre Bragon et Mentaïg. Il s'agit bien sur de Maybee... Mais il semblerais que le Maitre capé vue d'ici est une dent contre eux...signé, le B. masqué.) on suivit le même chemin, et descendent dans le puit... ils se guideront aux "voix"....

Jelubir et Mathilde se rapproche, les appels aussi !!! une intersection...
à droite, un boyau qui part.... la maçonnerie semble très ancienne...
devant, les appels pressant... à gauche, un tunnel qui repique vers le centre de la "toile" ... 703, 704, 705 ?? on reste ensemble ou on se sépare?



Lio et Aryan avance le long d'un cercle, tombe sur une nouvelle intersection, qui n'était point la avant un chemin par à droite.... au fond, des bruits de pas, une lueur, des brides de conversations !!!
"...tine.... rages...." Mais de qui ?? donnez les noms vous donnera la lumière !!


PLUS HAUT:

Hugoruth et Alyocha delivre Melsius...
il est mal en point....

Quelle décision vont t-il prendre ???


Et je rappelle l'indice:

" Sous sa miséricorde elle sera"....
On doit parler de la relique oui, mais sous la miséricorde de qui ?? un lieu à Sancerre ??

A l’aide ! A l’aide !!!!!

La jeune femme répéta plusieurs fois son appel. Elle commençait à désespérer d’être entendue, quand une voix perça l’obscurité.

Mentaig, tenez bon, on arrive!!!

C’est Amelia !

Elle avait reconnu aussitôt la voix de la forgeronne, et se doutait bien que Gallup ne devait pas être loin. Jamais il n’aurait laissé sa chère et tendre descendre seule dans les souterrains de Sancerre, alors qu’on savait pertinemment que Raspoutine et d’autres rôdaient dans les parages.

Par ici ! Je suis tombée dans un puisard : faites attention où vous mettez les pieds !

Elle leva sa lanterne le plus haut possible pour guider ses amis. Bientôt, la lueur se fit plus vive, et elle vit au-dessus d’elle les visages penchés d’Amelia et Gallup.

Ça va en bas ?

Mentaïg poussa un soupir de soulagement.

Ben pas trop, Gallup. Sinon vous pensez bien que je ne serais pas restée là-dedans. Une cheville dans le sac. Je me suis reçue en porte-à-faux sur les cailloux.

Attendez je vous lance une corde.

Prévoyant, l’ami Gallup ! Il ne se déplaçait pas sans tout un attirail qui, somme toute, s’avérait utile. En unissant ses efforts à ceux des deux autres, Mentaïg fut enfin hissée hors du puisard, et elle se laissa tomber sur le sol, soudain épuisée.

Mentaig, heureuse de vous revoir!

Amelia lui souriait, et Mentaïg se sentit rassérénée.

Et moi donc !!! plussoya-t-elle.

Bon on fait quoi maintenant?

Rien du tout! Pour l'instant on va essayer de panser la cheville de Mentaïg, ensuite on verra!

Pas trop rassurée à l’idée de laisser sa cheville aux bons soins d’une néophyte, Mentaïg laissa néanmoins Amelia mettre en place, sous ses indications, un bandage bien serré, qui lui permettrait de reprendre les recherches. Pour rien au monde elle n’aurait voulu abandonner alors qu’elle sentait qu’on approchait du but.

Je suis sûre que le Père Nicieux n’aura pas bêtement enterré la relique n’importe où, dit-elle. C’était un moine, un religieux, un croyant. Il l’a forcément confiée à quelqu’un en qui il avait toute confiance, en qui il avait foi, au sens premier du terme. Il faut qu’on trouve un lieu sacré, genre crypte d’église ou ossuaire de moines, avec dedans l’effigie d’un saint. Une statue, peut-être, ou une gravure, une icône quelconque…

Elle tenta de discerner, dans la vague lueur des deux lanternes, l’impact de ses propos sur ses deux compagnons.

Quand je suis tombée dans ce puisard, j’essayais de me diriger vers le nord-ouest, sous la chapelle de la rue de l’Abbaye. On y va ?

Alors que jelubir et mathilde courait pour rejoindre mentaig qui n'avait pas l'air en pleine forme, il s'arrêtèrent a l'intersection. Ils écoutèrent, mais n'entendirent plus de cris. Ils perçurent tout de même au loin une conversation. Peut être des Sancerrois, qui sait. Mais le doute envahit mathilde, qui pensait que cela aurait bien pu être Raspoutine.

Alors , pour essayer , elle cria:

Mentaig! c’est Mathilde! tu vas bien ?

A ses cotes jelubir fit un bond, surpris par le cri de mathilde. Il pensait que la dame se reposait un moment, mais en fait pas du tout. C’était surtout lui qui était bien content de reprendre sa respiration.

Mathilde vous m’avez fait peur !

Quand alors quelqu'un répondit :

Oui je vais bien, Gallup et Amelia sont avec moi !

Et oui, malgé la distance, mentaig avait pu leur répondre, et ils avaient pu se rassurer. Mathilde et Jelubir se concertèrent pour choisir la direction qu’ils allaient prendre. Ils avaient déjà supprimé le chemin de devant, car c’était par la que ce trouvait Mentaig. Ils restaient donc deux choix possible. A leur droite, se trouvait sans doute un autre chemin qui tournait en rond, et il mènerait sans doute de l’autre coté, par là où ils avaient commencé. Ils prirent donc le chemin de droite . Celui ci semblait remonté vers le nord.

Avant de continuer leur recherche, ils firent une pause, afin de grignoter et de se désaltérer. Les souterrains n’étaient vraiment pas pratique et leurs yeux commençaient a être terriblement fatigué..

[ MdJ, vers le 705 ]

descendant par la cave de gayala

ice traçait le chemin lanterne bien devant elle. elle semblait voler sur le chemin qui d'une ne sentait pas bon et de deux était un peu, comment dire, vaseux.
splash, sploush, sploush

vous venez ou vous rêvassez mon ange ?
vous savez sur quoi ou dans quoi on est en train de marcher ?
non mais je me doute ! vous m'aurez fait tout faire vous alors !
en parlant de cela, vous savez si nous retrouverons mes clés parce que ...

lems !! rhooo, vous ne croyez pas que j'ai déjà assez avec ces souterrains ! et puis je vous ais déjà dit que n'auriez qu'à passer par chez moi. et vous aurez le droit de vous y arrêter aussi.
oui, pour sûr mais c'est que je les aimais bien moi ses clés ...

ice avançait d'un pas décidé.
vous avez entendu ?
quoi ?
comme un appel !
nan ! vostre esprit vous joue des tours, mon coeur. il n'y a rien ici, que de la boue et des os. des os!!!

rhooo. allez zou plus vite !

ice et lems prirent à gauche. les voix entendues n'étaient que dans la tête de ice, elle était persuadée que ses amis couraient un danger.

[701]

Citation :

M'sieur
Melsius Hugo et moi on est là, on va vous aider, z'auriez pô vu Gingle?
C'est ma souris, elle a autour du cou un ruban rouge...euhhh...

Un soupçon d'espoir commençait à revenir à l'esprit de Melsius...

Je suis désolé mais je n'ai pas vu vostre...

Melsius venait de s'évanouir, il était à bout de force, encore quelques minutes, et il lâcherait certainement prise...

Aryan et Lio continuaient à avancer dans le noir sans trouver le moindre indice.

On la trouvera jamais cette relique, dit Lio.

Il faut continuer à chercher, c'est important. Mais j'ai l'impression qu'on arrête pas de tourner là, t'es sûr qu'on tourne pas en rond ?

J'en sais rien, on est complètement perdu et en plus on ne voit strictement rien.

...tine.... rages....

Chuuut! Tu as entendu ?

Oui, mais c'est qui ? On a encore vu personne depuis qu'on est rentré dans les souterrains.

On dirait la voix de Mathilde... oui, oui! C'est bien elle.

Bien. Ecoutons sa voix et essayons de la rejoindre. Elle saura peut-être nous dire où on se trouve.

Ils avancèrent donc dans la direction de la voix en faisant le moins de bruit possible pour pouvoir écouter.

Le maitre du jeu est désolé, mais ce soir il est out of order...
il a passé la journée au resto, trainant une migraine épouvantable car il s'est couché à 2 (3 ?? ) heures et a du se lever à 6 heures, à fait de la route, bu du vin blanc plus que moyen ce qui arrange pas les choses, mais bu un cabardés absolument somptueux ( et avec le magret de canard il était copain comme cochon ), bref... c'est 2 dolipranes 1000 par le gosier, celui des gamins en suppôt, un peu d'ibuprofène pour faire bonne mesure et aux plumes avec un maalox.

A demain et désolé, mais la, j'y arriverai pas....

Dans la moite pénombre des souterrains, deux corps se frôlent, se touchent ( et pis c'est tout, c'est pas le lieux d'abord).

Bragon... Et si nous réfléchissions un petit peu??Histoire de profiter de cette capacité nouvelle.

Ah ben oui, ce serait peut être utile, parce que les bêtes de tout poils, ce n'est drôle qu'un instant. Mais ne vous faites pas plus sotte que vous n'êtes, ça ne prends pas.
Que savons nous?

L'indice.... « sous sa miséricorde »... Sous la maison de Misérificelle? Non, elle n'était pas là du temps du père Nicieux, c'est impossible.

Reste la chapelle...Il me semble qu'il y a une entrée direct là bas.... On pourrais ressortir et y filer tôt drêt.

Ce qui nous permettrais de respirer un peu d'air frais. Mais pas de détour auprès de votre Pasiphaé!!

Mais non, je vous tiens par la main, je n'ai pas d'envie particulière de vous lacher pour cette vache, aussi gentille puisse t elle être. Vous avez d'autres charmes que ses yeux profonds au fond desquels on touche le néant. (concept à développer... Toucher le néant ne rime à rien, alors que le néant touchant oui... Vous me ferez 200 lignes sur le sujet.)

Allons -y dirent-ils en coeur, direction les souterrains sous la chapelle!

La suite Rp demain, on est dans la chapelle et on cherche, j'editerai

(nan tant pis, je le fais! na! vous fignolerez, parait que je ne développe pas assez!)
(j'ai juste corrigé les fautes et refais la mise en page, na! dire que j'me suis levée tot exprès..., du coup je vais prendre mon Hugo, euh.. Bailly et déchiffrer la phrase sous la statue... et puis franchement, MDJ, vous me reverrez vos cours de grec... ça ne veut pas dire grand chose... enfin ça se déchiffre...)

Bragon et Maybee s'extirpèrent tant bien que mal de leur boyau afin de rejoindre l'air libre... Une fois libérés, ils s'époussetèrent mutuellement (pour les épousailles faudra repasser) et d'un sourire se ruèrent main dans la main en direction de la chapelle.

La porte en s'ouvrant faisait un bruit sinistre, sur la droite (c'est pour conjurer le mauvais sort). La chapelle s'ouvrait devant eux.

Il fait aussi sombre qu'en bas la dedans! Allumons une torche!

Bragon battit le briquet, souffla l'amadou, et la torche s'alluma. Maybee du haut de ses quatres coudées la hissa sur le porte torche grillagé et commenca à regarder alentour.

On ne voit pas une trappe ici... rien... que dalle!

Pourtant il doit y avoir quelque chose... "sous sa miséricorde" c'est là... cherchons!

Bragon se mit à quattre pattes et inspecta chaque joint de chaque dalle. Maybee se mit à l'imiter. Ils cherchèrent un moment, quand, se rapprochant leurs tête se heurtèrent.

Aîe!

Ah ben tiens, on regardait la même dalle là!

Et du coup, choc occiputal

au quoi?

au sommet de la tête

le xiputal.... connaissais pas...

Leurs regards se croisèrent, lumineux, et... et... un petit reflet vert dans les yeux de Maybee...Bragon retourna la tête, regardant un peu plus loin...

Là!!! regardez, un bout de tissu coincé entre les deux dalles!!!

Bragon fit glisser "Faucheuse" à ses mains, et de la pointe essaya de lever la dalle....

Ca ne bouge pas... Il faudrait autre chose...

Et si on cassait la dalle???

Pourquoi ça?

J'ai faim.

HUITIEME JOUR: Dentiste le matin, fait plus le malin.

Bon, la carte ont s'en passe, on est tous empilé en vrac, les uns dessous, les autres dessous.

SAUF AU NORD:

Melsius est au dispensaire, avec une infection qui se déclare sur le gros orteils, ou autre, au choix. Il a toujours le pantalon vert d'Homme des bois avec lui.
Hugo et Alyocha l'on accompagné, mais s'apprête à repartir ... ou ???



Lems et icefly tournent, tournent, tournent.... et sont face à l'étrange et le surnaturel: le fantôme bien réel de Balsac747 !!!
Imaginez le dialogue entre le provocateur Balsac et le poète Lems, qui ne se connaissent pas ( Icefly , tu aideras !! )....


EN SURFACE :

Bragon et Maybee sont entrer dans le chapelle.... sil elle semble trés récente, le dallage est ancien, et certaine partie semble être de récupération.... sur un pilier juste à coté de la dalle, une statue les regarde avec insistance avec inscription étrange: "בעיניים שאתה לא תגע בשום דבר אבל האמת" !!
De l'hebreu ! et si c' était un indice pour ouvrir cette fichue trappe ??

( hem: sous la statue, c'est marqué "made in china", et derrière:
"μέσα στα μάτια μου είναι ο δρόμος" )




SOUS LE DESSOUS:
Devant une porte en fer forgé, Jelubir et Mathilde ont le coeur qui bat: derrière la grille épaisse se trouve une salle, et dans le fond, on distingue des statues.

Gallup et Amelia arrive, en portant Mentaig souffre, la cheville gonflée comme une vache sur le point de veler, tandis qu'Ary et Lio arrive par la gauche, tout heureux de ne plus être perdus....

Bon, on rentre ??? argh !!!! la grille est fermée !!! et derrière, des lueur étranges !!!! il y a quelqu'un !! on entend des jurons !


POUR DES RAISONS TECHNIQUES: IL FAUDRAI EN FINIR DEMAIN, EN DIRECT LIVE DE PREFERENCE... QUI PEUT ETRE CONNECTE DEMAIN SOIR APRES 20H30 ???

Melsius retrouva peu à peu ses esprits. Dame Alyocha et Messire Hugoruth le regardait avec des yeux plein de compassion..
Notre sergent se demanda quelques secondes où il pouvait bien être.

Je suis.. je suis.. au dispensaire?!! Mais qu'est-ce que, que s'est-il passé?

Ses deux compagnons n'eurent pas le temps de répondre que Melsius leur coupa laparole. En effet, il se rappellait maintenant de tout: les souterrains, larelique, le puit, le sauvetage, la douleur..

Melsius s'exclama tout aussi distinctement que calmement: Mes amis, je vous remercie de m'avoir sauvé la vie... Je vous dois une fière chandelle que je ne suis en aucun cas près d'oublier, soyez-en sûr..

Messire Hugo et dame Alyocha sourirent. Tout à coup, une dame arriva et dit: Bonjour sergent, vous avez bien dormi? Je suis désolé de vous annoncer cela mais une infection s'est déclarée sur votre jambe droite.

Ma jambe droite?! A oui, fichtre!! C'est ce satané rat qui m'a mordu!!

La dame reprit: Oui sergent, je me doutais que cela n'avait pu être provoquer que par un animal vu les morsures sur votre jambe... Par contre, ça devait être un sacré rat dites-moi!

Oh oui! Vous ne savez pas à quel point vous parlez justement...

Quoiqu'il en soit sergent, vous aviez cela sur vous: l'infirmière lui tendit les braies vertes qu'il avait trouvé dans les souterrains.

Oui, merçi, pendant que j'étais évanoui, je me suis rappellé que ces braies appartenaient à notre ancien Bourgmestre Homme des bois..

Melsius se tourna alors vers Alyocha et Hugo et leur dit: Mes amis, je ne sais pas si ma blessure va me permettre de continuer les recherches, quoiqu'il en soit, je vous prierais de continuer. Un homme infirme ne sert plus à rien, mais vous, vous pouvez être encore d'une grande aide.


Sur ces paroles pleines de sagesse, notre blessé attendait leurs réponses...



(HRP: I can Master)