Chez Omgirl38 - 81, rue des trois pilliers

Omi avait entendu frapper. Mais qui ça pouvait être?
Elle alla et ouvrit.
Quelle ne fut pas sa surprise de voir Elenchild, son ami le plus cher qu'elle ai eu et son nouveau parrain de bapteme. Elle savait qu'il n'allait pas trés bien aprés les évènement produits récemments.

Ohh.. Elen entre, je t'en prie. Ne reste pas dehors par ce froid. C'est sur que pour un mois de juin nnous ne sommes pas gatés. Je suis si contente de recevoir de la visite. Tu veut une tasse de lait chaud?

Plus que tout elle avait besoin de compagnie. Sachant qu'Elanion ne rentrerait jamais à Sancerre et que la compagnie masculine lui était fort agréable.

Alors Elen quoi de neuf? Sa va un peu mieux depuis la rupture? En tous cas si tu en ressent le besoin je suis présente pour toi.

Elen ne se laissa pas prier, il entra dans la maison si chaude. Essuyant ses godillots, il se tourna vers Omi. Elle avait la mine des mauvais jours, elle avait toujours cette mine depuis quelque temps. Elle ne lui parlait jamais d'Elanion, mais il avait vite comprit qu'il ne reviendrait jamais... Malgré tout pour elle, il espérait...enfin à moitié...

Elle lui proposa un verre de lait chaud qu'il refusa. Tout ce qu'il souhaitait c'était une présence rien de plus et qu'elle accepte de le faire entrer lui était un bonheur sans nom. S'installant confortablement dans un fauteuil, il écouta les questions sur son état avant d'y répondre.

Eh bien, je pense mieux vivre ma rupture que toi ta solitude. Tu ne m'en parles jamais pourtant je sais que tu ne vas pas bien... Certes, je ne suis pas au mieux de ma forme, j'ai perdue mon être aimé... Celle qui m'a empeché de mourir... M'enfin, comme on dit c'est la vie.

Pour ce qui est des choses neuves, je suis conseillé municipal depuis aujourd'hui, chargé de la douane. C'est une belle promotion tu ne trouves pas ?

Elle était restée debout à l'écouter. Elen se sentait mal à l'aise il tenta de lui lancer un regard pour la faire assoir à ses cotés. Comprendrait-elle ?

Omi écoutait attentivement Elen. Elle avait toujours adoré écouter les gens se confier. C'était trés rassurant de savoir que les gens vous font confience.
Elle avait vu le regard persistant d'Elen et y répondit en s'asseyant à coté de lui. Elle le sentait étrangement proche ainsi assis.

Quelle bonne nouvelle dis moi!! J'espère que ce poste t'apportera entière satisfaction et qu'il ne te prendra pas trop de temps non plus.
Et bien moi je mène une vie paisible et ne demande rien à personne.

Elle sentait son regard sur elle comme une caresse bienveillante. Qui était là à la foi pour la protéger et qui la submergée de bonheure intérieure. Elle en venait à penser que le non retour d'Elanion n'était pas si grave que sa.

Quelle pensée honteuse!! Sors de la toi vilaine...
Euh désolé Elen. Je divague surement.

Omgirl s'était enfin assise. Elen était soulagé, la voir debout le stressait un peu. Elle se trouvait donc à ses cotés, les mains posées sur ses genoux, elle semblait gênée. Il le remarqua assez rapidement, et fit mine de rien pour le moment. Elle était heureuse pour Elen et sa promotion puis elle parla d'elle et de sa vie paisible... Sans doute trop paisible.

Elle s'arrêta de parler et le silence s'installa. Elle était plongée dans ses pensées et Elen également. Il n'arrivait plus à détourner le regard qu'il portait sur Omi, il ne l'avait jamais regardé ainsi... Il ne la voyait plus comme une simple amie, mais peut-être... Non, il ne pouvait penser à cette chose là, pas dès maintenant... Tout à coup le silence s'évapora sans crier gare. Omi venait de penser tout haut...

Citation :

Quelle pensée honteuse!! Sors de la toi vilaine...
Euh désolé Elen. Je divague surement.

Elen la regarda étonné... A quoi avait-elle dont pensée ? Il ne se pouvait que ce soit... Sans réfléchir, il s'empara d'un de ses mains, le tenant fermement dans la sienne. Lui souriant, il lui répondit.

Je ne connais aucunes pensées honteuses. Avoir honte c'est seulement lorsque d'autres personnes partagent un évènement qu'on ne souhaite pas connaitre. Je n'ai pas honte de penser à toi non plus comme une simple amie, par exemple...

Ces mots avaient été dit sans réel réflexion, peut-être qu'en ayant tourné deux à trois fois sa langue dans sa bouche, aurait-il répondu autrement, maintenant c'était dit qu'elle en serait la réaction ?

En revenant de chez Nikolag, Marispa passa devant chez Omgirl. Bien qu'elle la connaisse peu, sachant qu'elle était amie avec Elenchild et Maelyss, qui étaient eux-même ses amis elle décida de frapper pour partager ses inquiétudes les concernant.
Elle avait vu Maelyss trés triste la veille au soir et avait appris leur rupture de la bouche d'Elen.
Aprés quelques minutes d'attente et sans réponse d'Omi elle reprit son chemin qui portait ses pas à la rencontre de Nikolag. Comme l'amour es impatient se dit-elle.
Elle croiserait surement Omi en taverne de toute façon.

Elen était encore là. Aprés ces évenements récents en taverne elle ne pouvait s'empécher de dires ses craintes à haute voix.

Elen écoute moi, je ne sais pas si cela va etre possible. Je crains que Maelyss ne dise des choses méchantes à mon égard, qui sont bien sur infondées. Soit elle a du ressentiment mais elle a décidé de mourrir, pourquoi me pourrir la vie moi qui veut une vie paisible à Sancerre?
Je ne comprend pas. En tout cas je n'espère pas qu'elle raconte des choses de la sorte cela me décevrait beaucoup de sa part. Nous n'avons rien à nous reprocher, enfin moi rien et je me sens mal car j'imagine pleins de choses....
Que dois-je faire? Me sentire coupable de quelque chose que je n'ai pas fait? Voir le regard des gens peser sur moi?
Di smoi quoi faire je t'en prie.

Omi se retourna et se cacha la tête dans ses mains pour pleurer, doucement pour qu'Elen ne s'en appercoive pas. Elle se sentait un petit peu décue du comportement de son ancienne amie. Mais en ce moment il ne fallais pas se lamenter sur son sort. Maelyss avait attenté à ses jours...

Les mots attenter à ces jours lui firent rappeler ce moment affreux. Cette vision de Maelyss allongée sur le sol inerte. Cette non illusion qu'il aurait aimé ne jamais vivre. Ces mots furent comme un nouveau coup de poignard dans son âme. Son esprit se fissurait, sa faute... sa faute. Ses yeux tentaient de sortir de leur orbites, pourquoi lui avait-elle parlé de ça ? Ce n'était pas le moment, non pas du tout le moment.

Il se prit le visage dans les mains. Il savait que Omi avait besoin de réconfort, il savait qu'elle avait besoin de lui, mais il se retrouvait pétrifié par la terreur, cette image figée devant ses yeux. C'était la deuxième fois qu'il provoquait la mort... La mort, ce mot là revenait trop souvent autour de lui. Omi, elle attendait du réconfort, pouvait-il en donner ? De plus méritait-il vraiment de l'avoir comme amie, voir plus...

Il tremblait de tout part, il avait des spasmes violents.

Je suis un monstre... je suis un monstre...

Relevant la tête, il vit le visage apeuré de Omi. Dans sa tête ce fit tilt. Il fallait qu'il reprenne le dessus, il fallait qu'il soit fort. Oui, c'était un monstre, mais devait-il se laisser aller à la folie ? devait-il se laisser aller dans ses bêtises ? Il devait se reprendre et à défaut de ne pouvoir réparer ses erreurs, éviter d'en faire de nouvelles.

Ses tremblements s'estompèrent, ses yeux reprenairnt des formes naturelles. Il ne pouvait sourire, mais il pouvait maintenant la prendre dans ses bras. Un geste de mise en confiance. A ses oreilles quelque mots.

C'est moi qui porterait toutes les charges... Comme avec Gayala, c'est moi le fautif et personne d'autre. Si quelqu'un ose dire du mal de toi, je serai là pour leur rappeler le vrai coupable.

Quant à nous, prenons notre temps, s'il doit se passer quelque chose, n'allons pas trop vite en besogne. Je ressens quelque chose pour toi, est-ce de l'amour ? Je ne sais pas, mon esprit est malade en ce moment, mon âme est tourmenté et beaucoup de questions je me pose. Mes sentiments pour Maelyss sont toujours fortement présent, et je pense resteront éternellement dans une partie de moi. Je ne peux l'oublier et ne dois pas l'oublier.

Elen lui caresse le visage et le regarde avec douceur et tendresse.

Tu es si belle, mais un sourire manque sur ce visage, promet moi de me sourire bientôt...

Ici, comme sous la porte de chacune des autres habitations de Sancerre, une lettre officielle fut glissée par la main tremblante de Terry, le visage livide, le coeur battant un peu trop vite, à cause de la course qu'elle faisait, mais aussi en raison de ses craintes.

Citation :

Chers amis,

Depuis quelques jours, des rats sont retrouvés morts un peu partout, dans nos rues, nos maisons, et ce sans raison apparente.

Dame Mentaig et moi-même pensons que tout cela n'augure rien de bon, et qu'il est envisageable que nous ayons à faire aux prémices de la peste. Rien n'est encore certain, donc nulle raison de vous mettre à paniquer, mais mieux vaut prévenir que guérir.

C'est pourquoi je vous invite toutes et tous à vous rendre au domaine de Baugy afin de vérifier que vous n'êtes pas malades.

Vous n'êtes pas sans savoir que si jamais il s'agit bien de la peste, celle-ci se propage à une vitesse folle, et que les rats morts sont vecteurs de contamination. Aussi, je vous conjure de ne les toucher sous aucun prétexte si vous en voyez. La milice a été avertie et traitera les cadavres d'animaux avec la plus grande prudence, les jetant au feu sur le terrain de soule qui a été réquisitionné à cet effet. Prière donc de ne pas vous rendre là-bas, sous aucun prétexte.


Terwagne,
Maire de Sancerre

(HRP : Pour savoir si vous êtes contaminé, il vous suffit de vous inscrire sur ce forum et de suivre les instructions dans l'Antre de la puce. Le RP quant à lui se déroule sur la gargotte (ICI).

Bon amusement à ceux et celles qui participeront.)

Omi avait de la peine. Ses choix faisaient du mal à des personnes qui avaient compté un jour pour elle.
Mais son coeur n'été jamais de bon conseil. Malgrés tous il a toujours proné sur sa raison.

Aujourd'hui il faisait un beau soleil, sans nuages et elle avait envie d'aller se promener. Mais sans compagnie cela ne lui plaisait pas du tout. Elle pensa à Elen. Elle épérait le trouver en taverne pour qu'il puisse l'accompagner. Pour qu'ils puissent partager leurs joies et leurs peines. Pour vivre tous simplement un bon moment ensemble sans penser aux autres ni a tous ce qui leur faisait du mal.

Son amour naissant pour lui commencait à devenir pesant en sachant son passé et ce qui été en train de se passer en ville. Mais elle voulait prendre le risque. C'est avec lui qu'elle voulait continuer son chemin ici à Sancerre. Avec lui qu'elle voulait partager les moment de joie et les moments de peine.
Elle hésitait à lui faire une déclaration mais se dit que les évenement recents le concernant n'étaient pas propices à une belle déclaration damour.

Elle prit quand même un morceau de papier et une plume pour commencer à écrire.

Citation :

Cher Elenchild,
Mon coeur est à toi, mon âme t'appartient...
Je veux partager des moments uniques..

Non c'est nul, je n'ai pas l'inspiration. Si cela doit se passer cela se passera mais je ne lui écrirait rien.

Elle ne savais pas si c'été partagé et si il été pret à s'investir dans une ènième relation. Tant pis elle attendrais un moment plus propice.

Elen n'allait vraiment pas très bien, il vivait des moments difficiles beaucoup de gens ne l'aimaient guère, beaucoup le détestaient même. Des amis il gardait, mais certains lui reprochait beaucoup de choses. Seule Omi et quelques autres était vraiment là pour le soutenir, avait réellement comprit qui il était. Omi qui était une ancienne grande amie de Maelyss... Elle le fit entrer, il était en larme. Le sort s'acharnait sur lui, il n'avait pas été vertueux et dieu le lui signifiait par de nombreux messages.

Elle était bouleversée de le voir comme ça, chaque soir quand il se quittait elle était anxieuse. S'inquiètant de savoir si il rentrerait bien dans sa chambre. Il ne voulait jamais rester, pensant que c'était trop tôt, ne voulant point entendre de nouveau les gens dirent, voilà il s'en fait une autre. Il les avait toutes vraiment aimé... Ce soir là fut de trop pour Omi qui décida de lui révéler réellement sa flamme qui brulait pour lui. Il en fut surpris et ce fut une bouffée de chaleur. Un moment de passion en ce moment il en avait peu. Il la regarda de son oeil, car l'autre était maintenant caché par un bosse atroce. Elle était devant lui à attendre sa réponse.

Il voulait lui répondre, et ses lèvres bougeaient mais aucun son ne sortait, trop émue sans doute. Il voulait lui dire oui, et vivre cette nouvelle idylle espérant que cette fois ce serait enfin celle qu'il cherchait. En son coeur brulait une nouvelle lumière pour cette jeune fille magnifique. Elle semblait si stressée à attendre une réponse. Il n'arrivait plus à bouger la douleur l'en empêchant. Il réussit à trouver la force de lui répondre.

Je t'aime...

Ces trois mots suffiraient, ces trois mots étaient sa réponse. Il ne pouvait en dire plus, la force lui manquait et ses larles redoublaient. En quelque sorte il voyait par cette déclaration, une sorte de trahison envers Maelyss. Mais, ils n'étaient plus ensemble pourquoi se soucier encore d'elle qui le traitait dorénavant comme un moins que rien ? Ce n'était pas dans sa nature. Il pleurait de peine et également de joie, car Omi l'aimait comme lui l'aimait.

Omi se mit à pleurer de joie surement et de la fin de l'attente dans laquelle la plongeais le fait de ne pas savoir si ses sentiments étaient partagés.
Elle se sentit beaucoup mieux d'un coup. Elle prit la tête d'Elen dans ses mains et l'embrassa doucement pour ne pas le blesser.

Sa y est, tu es chez toi maintenant, je veux que nous vivions ensemble pour le reste de nos vie. Tu es celui que j'attendais...
Tu me comprend, tu es ma moitié, je te veux pour l'éternité.

Elle se blottit dans ses bras bleuis par l'attaque et se reposa quelques secondes pour qu'ils fusionnent un instant.
Elle pensa aussitôt qu'il fallait qu'elle achète de nouveaux couvert, un armoire plus grande pour ses affaires.
Elle voulait à tous prix prendre soin de son amour. Elle était si contente.

Elle lui murmura doucement: je veux une pantère maintenant.

Elle se mit à rire et s'enfui dans la cuisine pour préparer quelque chose à manger.

Elen la vit s'esclaffer de joie, elle était maintenant si heureuse... Elle avait le chic pour passer d'un état d'humeur à un autre en un clin d'oeil. Elle l'aimait vraiment beaucoup, il ne s'en était pas rendu compte avant. Il souriait de la voir devenu si joyeuse, lui restait quelque peu triste, mais il n'avait plus peur de l'avenir. Il savait que quelqu'un l'attendrait et pourrait partager ses tourments.

Pendant qu'elle s'affairait à diverses choses et après qu'elle lui ai murmurer qu'elle voulait une panthère, il tenta de se relever le sourire toujours aux lèvres. Il souhaitait la suivre dans ses ébats joyeux et l'embrasser surtout. Mais lorsqu'il mit pied a terre, une douleur atroce le fit se rassoir dans le fauteuil. Il gardait pourtant le sourire et même un rire fit son apparition.

Ah aha ha... une panthère, je t'offrirai ce que tu veux mon ange... car je t'aime et moi aussi je te veux pour la vie... Je te veux à moi tout seul. Oui, cette fois je sais que tu es celle que je cherchais.

Il s'était a la fin parlé pour lui-même, mais l'avoir dit tout haut, il s'en fichait. Il retrouverait le sourire avec elle.

Omi sentait un regard sur elle. Elle se redressa et vit son ELen en train de la regarder dormir. En se reveillant, la première chose qu'elle avait vu été son magnifique sourire. Il la rendait tellement heureuse.
Elle se mit à rire et alla en direction de la cuisine pour préparer le déjeuner. Ce serait du pain avec du jambon cru. Il n' y avait plus rien dans son cellier. Elle devrait aller faire les courses.

Tien Elen voila un peu de nourriture. Je vais changer tes bandages, puis je dois aller faire des courses. Viens avec moi s'il te plait, cela te feras voir du monde et tu iras un peu mieux. Tes blessures guérirons plus vite a la lumière qu'enfermé chez nous.
Eh et une autre chose. Tu es ici chez toi alors fait en sorte de te sentir chez toi car sinon tu va faire le ménage, la cuisine et tout plein de choses pour que tu comprene qu'ici c'est chez toi.

Elle lui apporta la nourriture en riant, lui déposa un baiser sur le front et se mit en quête de bandages et de désinfectant pour les bleus de son nouvel amant.

Elle revint quelques minutes plus tard et les lui appliqua avec soin en faisant attention de ne point l'esquinter encore plus. Il mangeais la nourriture goulument et elle avait quelques difficultées à lui bander le visage.

Allez mon glouton de compagnon, prépare toi, on sort.

Sur ces dernier mot, elle fila dans sa chambre se vêtir de quelques habits legers.

Omi vit entrer Elen dans sa chambre. Elle eu un mouvement de recul, puis resta plantée là comme un piquet vetue seulement de braie. Elle cherchait depuis tout à l'heure un chemisier pour aller avec ses braies. Elle ne savait d'ailleur toujours pas comment s'habiller.

Tien Elen puisque tu es la. AIde moi à choisir s'il te plait. La chemise rouge ou bleu turquoise?

Aprés reflexion, elle se dit que c'était vraiment chipoter pour rien. Cependant elle attendais toujours la réponse.

Elen se mit à rire, pas un rire moquer, mais un vrai rire de joie. Ca faisait longtemps qu'il n'avait pas rit de la sorte. Elle était si amusante, si joyeuse, si innocente. Il regarda les deux chemisiers et réfléchit quelque instant. Décidément les deux chemisiers etaient parfait, il finit par lui indiquer la chemise rouge.

Celle-ci est je pense celle que je préfere. Tu devrais la mettre, elle ira à ravir avec tes braies.

Avant qu'elle ne commence à s'habiller, il la prit par la taille et l'embrassa avec passion.

Elle se laissa faire puis enfila rapidement son chemisier.

Voila, je suis prête, allez, allons chercher te affaires à l'hotel. Puis nous ferrons quelques courses. Suis moi.

Elle prit un sac, puis la clé de leur maison. Elle le prit par la main et ils sortirent en se regardant d'un air complice.

Elen se laissa emporter par l'espiègle Omimi. Enfin dehors, les rayons de soleil éclatèrent sur leur visage radieux. Elle avait décidé de l'emmener faire des courses, elle qui l'aimait depuis le premier jour et lui qui n'avait pas vue cet amour si fort.

Ils se regardait complice marchant la main dans la mains vers le marché de la place de la halle. Déjà beaucoup de monde s'affairait devant les étalages, des gens de tout horizon ou d'ici. Certaines personnes les connaissaient et furent surpris de les voir bras dans les bras ou encore le voir boitillant alors que d'habitude il semblait si en forme. Tour à tour chacun leur disais bonjour et eux vagabondaient sans les voirs.

Tu as besoin de quoi mon coeur, car a marché, on va rater le marché hihi

Ils avaient marché longuement tout le long de la journée. Main dans la main, bras dans les bras. Des câlins par ci d'autre par là. Un baiser assis sur un banc dans un parc apaisant. Puis le soir approchait il fallait rentrer. Elen laissa Omi, il avait une course urgente à faire. Des fleurs pour elle.

Il avait mit plus de temps qu'il ne le pensait. La rencontre avec Maelyss avait été prolifique pensait-il. De retour devant chez lui, il entra le sourire aux lèvres heureux de retrouver sa petite femme chérie. Elle devait l'attendre avec impatience, sans doute même un peu énervé de son absence prolongé. Afin de lui faire une surprise, il garda caché le bouquet derrière son dos. Puis, il cria.[/i]

Mon amour, je suis rentré !

il n'avait plus qu'à attendre la réaction. Elle ne devrait sans doute pas tarder.

Omi été à la cuisine en train de leur préparer à diner quand elle entendit Elen rentrer. Elle leva à peine le sourcil quand il cria qu'il été là.
A vrai dire elle se demandait ce qu'il avait bien pu faire tous ce temps dehors.
Elle lui cria à son tour:

Je suis à la cuisine je nous prépare un canard au sancerre avec des pommes de terres. J'ai pris la recette dans le journal, c'est dame Ysabeau qui l'a écrite. Tu m'en diras des nouvelles.
Puis dis moi tu été ou tous ce temps?

Elle se remit aux fourneaux et attendit un réponse de son tendre amour.