Au 13 place du Duc Thierry, chez Jean Bisac

Citoyen présent Nombre de messages : 31 Date d'inscription : 22/04/2009

Bisac qui venait tout juste d'acquerir cette modeste maison, poussa la porte et commenca l'inventaire.
Mais, tout d'abord, il accrocha sur le côté droit de sa porte une petite pancarte:

Citation :: Sieur Jean Bisac

Reprenant son inventaire, il lui fallait :

Citation :

Lorsque ceci fut fait, Jean sortit et alla chercher tout son materiel.

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Environ, une 30 minutes plus tard, Bisac revint avec tout son matériel chargé sur une charette, elle-même tirée par une vieille mule. Jean avait put, à peu près , tout trouvé, sauf les 2 tapis. En effet après avoir écumé toute la ville, rien, pas un petit marchand à la sauvette qui aurait put, pour quelques écus, lui vendre un tapis. Il avait donc trouvé deux vieille carpettes qui dataient d'une autre âge.
Après avoir garé sa charette, Bisac commenca décharger le contenu de la cariole et déposa tout en vrac dans sa maison. Et ce n'est que 20 minutes plus tard, lorsque il eut tout déchargé qu'il commenca l'amménagement intérieur. Il déposa la grande table de bois au centre de la piece et disposa autour de celle-ci les deux bancs et trois tabourets.
Puis à la force de ses petits bras ( autrement dit avec la force d'un molusque) il placa l'armoire contre le mur qui faisait face à l'entrée et y disposa à l'intérieur les assiettes, les couverts, les chopes et la carafe. Il mit ensuite sur le sol de la pièce principale un des deux tapis.
Passant dans la seconde pièce qui lui servait de chambre, il y ammena le lit (non sans avoir essayer toutes les possibilités pour passer le lit par la porte avant de comprendre que cela serrait plus partique en le démontant), donc il mit dans la chambre le lit, le bureau, la chaise et une des trois étagères, dans laquelle il placa les parchemins, les plumes et l'encre. Il déposa sur le sol de la chambre l'autre tapis, et mit sur le lit les oreillers, les coussins, ainsi que les couvertures.
Puis, il accrocha un drap qui servirait de séparation entre la salle d'ablutions-latrines et les chambres.
Revenant dans la pièce principale il positionna juste à côté de la porte l'autre étagère dans léquelle il mit les draps et couvertures de rechanges.
La dernière étagère qu'il déposa sur le mur qui faisait face à la cheminée servirait de garde-manger. Quant à la cheminée justement, il y mit un chaudron.
Sortant de sa besace la miche de pain pour le lendemain, il la mit dans le garde-manger entre les bouteilles de vin ( un peu de vin en passant, ça peut pas faire de mal...) et d'eau (bien sur...)
N'étant pas mécontent de son petit travail, il sortit une bouteille ( de vin)du garde-manger et commenca à la boire...

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Après avoir finit de cuver son vin, Bisac se leva et prit appuis sur la table, il avait la tête qui tournait, reprenant peu à peu ses esprits il alla dans la petite pièce ou il faisait ses ablutions et s'asperga le visage avec le l'eau. Lorsque il eut totalement reprit ses esprits, il passa dans la pièce principale, prit sa pioche et sa pelle et partit en direction de la mine afin de travailler.

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Il était déjà presque 17 heures quant Bisac rentra chez lui. Il introduit la clef dans la serrure et ouvrit la porte, déposant ainsi sa pelle et sa pioche dans un coin de la pièce. Passant ensuite dans la seconde pièce il prit sa plume, un parchemin et de l'encre et revint dans la pièce principale, il y serait mieux pour écrire. Il s'assit donc sur un des tabourets, prit un chandellier et commenca la rédaction de sa lettre. Quelques minutes après, il plia le parchemin et scella la lettre avec la cire de la bougie et déposa la missive dans la un tiroir de la grande armoire qu'il ferma à clef. Cette clef, il la mit dans une de ses poches.
Jean se leva ensuite, sortit devant sa maison et commenca à donner un coup de balais.

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Bisac qui revenait d'une entrevue avec le conseiller du comte était tout heureux d'avoir put acquerir un champ, c'est ainsi qu'il sema les quelques pousses de ses légumes et après les avoir arrosées il les laissa pousser tranquillement. Jean rentra ensuite dans sa modeste maison et prit : une plume, du papier et un encrier. Il s'assit à la table de la pièce principale et commenca la rédaction de sa lettre destinée aux frères franciscains du convent de Bruz.

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Bisac qui s'ennuyait ferme chez lui, voulut faire un petit tour dehors mais lorsque il remarqua que la nuit était tombée, il changea d'idée. Il faut dire que Jean Bisac n'était pas la personne la plus courageuse qui existait, le fait même d'aller se promener la nuit ne l'enchantait guère tant il craignait les mauvaises rencontres. C'est pour cela que Bisac tira le verrou de sa porte et s'enferma ainsi dans sa maison. Tirant ensuite les rideaux des fenêtres il prit une bonne bouteille et s'assit confortablement avant de commencer à boire. Lorsqu'il s'ennuyait, Bisac s'ouvrait une bouteille et buvait jusqu'a ce que la bouteille soit vide. C'est ainsi qu'il but tranquillement durant une bonne partie de la nuit avant de tomber dans les bras de Morphée...
Sleep

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Bisac qui avait but la nuit dernière n'était pas vraiment au sommet de sa force. Malgrès tout, son champ avait besoin d'être travaillé et ses légumes récoltés. C'est ainsi que Jean prit sa pelle et alla derriere sa maison. Il commenca à travailler, et continua pendans un moment...(pas rapide le type ...)

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Bisac dont l'idée d'ouvrir une herboristerie avait germée dans l'esprit d'Ysabeau et le sien, se leva tout heureux. Après avoir demandé l'accord, ou plutôt l'avis du maire, Jean sentait que son projet allait surement aboutir.
Il commencerait la création de l'établissement dès aujourd'hui, après avoir fait l'état des mines ainsi qu'un petit tour au conseil ducal.
C'est ainsi que le CAM, sortit de chez lui, ( non sans avoir mangé une demi miche de pain précédement), ferma sa demeure, prit un baton de marche et prit la direction du chateau.

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Jean qui venait de mettre un peu d'ordre dans sa maison. Maison qu'il venait d'ailleur de rebaptiser "presbytère de sancerre". Ceci fait, il sortit sur la pas de sa maison et devant le soleil qui pointait il eut envie de faire un tour dans le village. Ni une ni deux, le diacre tourne la clef dans la serrure, brosse d'un revers de main sa soutane et part en direction du village.

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