Chez Omgirl38 - 81, rue des trois pilliers

Aussitôt qu'il le lui ai dit, elle se posa sur ses genou tout en le regardant tendrement. Cela faisait un petit bout de temps qu'ils e s'étaient pas retrouvés ainsi.

Je suis là. Mais je te signale que j'ai un gateau au four, je devrais donc me lever de temps à autre. Sinon tu mangera du brulé.

Elle se mit à rire. Et elle pensa aussitôt à la tête qu'il pourrait bien faire si il mangait du gateau tout noir.

Elen fit une mine grave lorsqu'il s'imagina manger du brulé. Mais en même temps, il voulait la garder à coté de lui. sentir sa respiration, ses battements de son coeur, sa peau fraiche. Bref, l'avoir à ses cotés. Il se mit à lui caresser les cheveux et lui remonter une mèche rebelle qui lui cachait son jolie minoi.

Qu'est ce que tu veux faire après le mariage ? Je sais que Sancerre commence à te peser, un petit voyage nuptiale te tenterai ? Prendre une semaine ou deux loin d'ici tout les deux ? Je veux que tu sois heureuse alors je ferai tout pour que tu le sois.

Cette idée de voyage de noce est une trés bonne idée. Je serais vraiment ravie que l'on parte un peu tous les deux, rencontrer de nouvelles personnes puis voir de nouvelles contrées. Quelle bonne idée.

A cette pensée elle se sentit toute euphorique. Cette idée lui plaisait vraiment beaucoup.

OU croit tu que nous pourrions aller?

Elen était content que l'idée lui plaise. Il ne savait pas trop où aller également, mais il se doutait qu'il irait vers le sud. Regardant Omi dans le syeux et avec son sourire habituelle, il réfléchissait.

Eh bien une ville en particulier... je n'en ai pas vraiment. Mais, nous pourrions aller simplement la où le vent nous portera ne crois-tu pas ?

Extremement decue de la tournure qu'avait prit les évenements, elle s'affairait à debarrasser tous ce qu'elle avait construit. Les tables, les chaises, les serviettes et les differents mets qui étaient entreposées. Personne n'été venu. Elle savait maintenant sur qui ils pouvaient compter, quelques rares personnes.

Elle y pensait de plus en plus souvent à changer d'endroit. Maelyss avait tout périmé, toutes les relations qu'ils avaient battis ici ont été effacées en un rien de temps. Elle lui en voulait pour ca. De toute facon ils ne resteraient pas éternellement ici. Elle pensait parfois que la fuite vers une nouvelle vie vallait mieux que de se battre ici contre les préjugés que certaines personnes avaient encré.

Des gens lui manquerait et elle le savait mais un meilleur avenir les attendaient ailleurs, là ou ils pourraient vivre leur amour pleinement sans se faire toiser d'un regard mauvais.

En attendant elle s'affaira au ménage, il y avait fort à faire ici. Elen ne faisant rien à la maison il fallait bien que quelqu'un le fasse. Quoique cela n'était pas bien important vu le nombre de personnes qui venaient ici.

Elen, son tendre Elen, qui est actuellement partis chez les soeur, pour une retraite spirituelle, il lui manquait terriblement. Ses caresses, ses mots doux, tout paraissait dur sans lui et le manque de relation sociale se faisait sentir plus vite. Vivement qu'il revienne, qu'elle l'aimait lui.

Elen revenait de son pèlerinage chez les sœurs des images plein la tête et son code d'honneur remonté à bloc. Il savait qu'il avait été trop longtemps absent de sa tendre et cher amour. Il courrait dans les rues pour la rejoindre.

Dans sa tête, seulement son visage et sont tit nom "bébé, bébé, bébé" Il arriva à la porte d'entré et la poussa en un grand claquement. Omi était dans le canapé seule et ne rien faire.

bébééééé je suis lààààà

Il s'élança sur elle et la prit dans ses bras.

Tu m'as tellement manqué mon ange, tellement... Partons d'ici, cette ville n'est plus faites pour nous.

Omi fut presque étouffée par Elen.

Moi aussi je suis ravie de te voir.
Et je crois que tu as raison cette ville n'est pas faite pour nous.
Je ne m'y sens plus...chez moi.

En tous cas elle été heureuse qu'il soit enfinrevenu à la maison.
Elle penssait de plus en plus à la déstination qu'ils allaient prendre.

Nous sommes pour l'instant coincés. Nous devons prendre des forces avant de partir et vendre nos champs..

Elle lui fit un énorme calin.

Il savait quelle serait d'accord. Tout deux étaient à l'unissons, chaque chose qu'il pensait, elle le pensait. Un couple quelque peu fusionnelle mais qui fonctionnait bien comme ça.

Que dirais-tu de partir pour le sud. Loin de ce pays où les gens jugent et ne cherchent pas à comprendre ? Montpellier, Marseille, il y a tellement de possibilité.

Il lui prenait la main jouant avec ses doigts. Il lui fit posé sa tête contre son torse, a demi allongé sur lui. Son autre main effleurait ses cheveux, jouant avec ses mèches.

Je t'aime tellement, on ne peut pas rester ici au risque de perdre notre couple.

Quelques temps plus tard

Omi était las de cette vie paisible ici, elle voulait s'investir dans la vie de s communautée. Mais ici elle ne voulait plus.

Elle était aussi traversée de pensée communes à toutes femmes. Elle voulait des enfants.
Son mari était en train de lire la gazette de sancerre au moment où elle s'approcha.

Chéri, tu sais je pensait à quelque chose. Hum comment te le dire.
Je veux que tu me fasse un enfant. Je veux pouvoir te voir à chaque fois que je regarde le petit. Je t'aime de tout mon coeur et je veux qu'il en soit ainsi.

Elle le serra dans ses bras et le regarda, confiante.

Elen fut étonné de la voir si câline et cette demande lui était tombé dessus comme une masse. Il reposa le journal, et regarda sa mie dans les yeux lui relevant une mèche rebelle qui s'était placé sur son visage. Elle faisait sa tête de chat poté, une visage auquel on ne peut rien refuser.

Lui déposant un doux baiser sur son front maintenant découvert, il lui prit la main.

Omi, tu connais déjà ma réponse. N'en avons nous déjà pas discuter ?

il avait une mine grave.

Depusi ma relation d'avec Maelyss, tu sais ce que je pense des enfants. Je suis déjà père, et je ne puis même pas le voir...

Il ferma ses yeux, toujours sans un sourire pour sa chérie. Puis tout à coup, il la prit dans ses bras en se levant.

Qu'attendons nous nous mon ange ?

Omi était toute contente de la réaction de son mari. Elle voulait tellement qu'il soit comblé avec elle. Elle ne fit cependant pas attention à sa remarque qui concernait Maelyss. Elle était tellement heureuse qu'il accede à sa requete.

Oui pourquoi pas commencer maintenant.

Elle lui fit un cln d'oeil.

Elen la gardait dans ses bras et l'embrassa avec passion. Il la reposa sur le sol lui gardant les mains dans les siennes. Il la regardait plein d'envie et d'amour. Une lueur jaune dans les yeux reflétant cette passion qui le nourrissait chaque jour. Se mettant front contre front, il lui dit avec une douce mélodie dans la voix.

je t'aime Omi, je t'aime comme jamais je n'aurai cru aimer une femme.

Il l'embrassa de nouveau, et la fit s'allonger sur le canapé du salon.

Tout se passa vite mais ce fut un moment de joie intense pour eux de se retrouver ainsi. Tout avait été merveilleux, elle était ravie et ele espérait vivement que cela aller déboucher sur un nouveau petit être à choyer.

Je t'aime aussi mon ange. Merci pour ce moment d'amour intense.

Elen avait passé un moment fabuleux, il s'était appliqué à lui faire plaisir . Il ne voulait surtout pas raté quelque chose. L'enfant, qu'ils souhaitaient, serait peut-être de cette union de l'instant.

Elle semblait heureuse et lui aussi. Lui souriant avec un dernier baiser. Il lui répondit d'une voix doucereuse.

je t'aime tellement tu sais, je veux que tout sois parfait, je veux qu'on ai une véritable vie de famille paisible et pleine de paix. Pour toi, je ferai tout.

Quelques semaines plus tard

Omi avait quelques mots de ventre et avait un retard de règles. Elle voulait aller à l'officine pour être sure de sa grossesse.

Elen tu dois m'accompagner chez Mentaig. Je dois être sure. Ca me tracasse beaucoup. Peut être le retard est-il dû au stress. Mais je voudrais que tu m'accompagnes s'il te plait.

Elle prit une veste et sortit dans le jardin en attendant qu'il ferme.

Ferme la porte s'il te plait je t'attend dehors pour prendre l'air un peu.

Elen commençait à stresser lui aussi. Dès qu'il avait su qu'elle n'avait plus ses règles, il avait imaginé le pire comme le meilleur. Omi semblait apeuré, ou excité peut-être, il n'arrivait pas très bien à lire son visage ces dernier temps. Il rangea les dernières choses à ranger. Il ferma les portes qui devaient être fermées et sorti à la suite d'Omi en fermant la porte d'entrée à double tour.

Allons y mon coeur, nous allons vérifier nos espoirs.

Il la prit par la main, elle semblait un peu fatigué. Il espérait tellement que ce n'était pas le stress. Il l'emmena donc vers l'officine de Mentaig.

Aprés la visite au dispensaire St Roch

Omi n'avait rien voulu dire à Elen qui l'avait suivi du regard pendant toute la durée du trajet retour les menant à leur demeure. Il attendait impatiement de connaitre la réponse. Elle était un peu outrée de la manière dont les choses avaient tournées dans l'entrée du dispensaire.

Elenchild Valentir espèce de mal élevé, tu as fuis comme un pleutre devant Mentaig, elle a été étonné et je pense aussi déçue. Tu aurais pû controler ta peur voyons. Enfin passons.

Elle s'assit sur le fauteuil de couleur marron pour se reposer. Elen la regardait toujours intensément sans sourciller tellement il était impatient.
Elle caressa son ventre et lui fit un magnifique sourire.
Elle l'invita à s'assoir et lui chuchota dans l'oreille.

Tu sais Mentaig m'a dit de me reposer ce qui signifie que tu va devoir être plus présent pour moi ici.

Elle lacha enfin.

J'attend un enfant chéri, je suis tellement contente, tu me comble, je suis comblée.

A ces mots, a cette pensée qu'ils n'étaient maintenant plus seuls et qu'ils avaient fondés une famille, une larme roula sur sa joue, une larme de bonheur.

Néanmoins je dois retourner au dispensaire pour confirmation dans quelques semaines. J'irai toute seule cette fois.

A cette pensée, elle rit.
Ils étaient désormais unis plus que jamais. Elle allait donner un magnifique bébé à l'homme qu'elle aimait le plus au monde.

Elen avait été d'un ridicule au dispensaire. Il se sentait tellement piteux, tellement honteux. Il restait en arrière de peur qu'elle lui crie dessus. Il avait horreur de décevoir son ange d'amour. Horreur a telle point qu'il irait s'arracher une bras pour s'excuser.

Arrivé à la maison, elle alla s'asseoir, lui toujours impatient de savoir. Quand allait-elle lui dire ? Elle se caressa le ventre et le coeur d'Elen se mit à battre à 100 à l'heure. Elle l'invita à s'asseoir et lui glissa à l'oreille de smots si lourd de sens. Maintenant c'était sûr, mais il voulait l'entendre de la voix douce de son ange.

Citation :

J'attend un enfant chéri, je suis tellement contente, tu me comble, je suis comblée.

Il se leva d'un bond, l'effusion de joie qui avait monté à sa tête lui avait provoqué ce réflexe et un cri de joie immense sortit de sa gorge.

Hourraaaa je vais devenir Papaaaaaaa avec ma tite femme a moiiiiiiiiiiiiii

Il la regard dans les yeux, elle avait les larmes aux yeux. et osa faire une plasianterie douteuse sur sa peur des dispensaires. Il ne fit pas attention et l'embrassa avec une passion qu'elle n'avait jamais connue auparavant. Il était au comble de la joie et de l'extase.

Si je viendrais je braverai même un dispensaire pour t'accompagner dans cette aventure. On va être papa et maman te rends-tu comptes mon ange a moi ? Nous allons être de super parents. Je t'aime tellement.

Omi était émue de la joie de son homme. Il en voulait tellement un pour combler le manque de son premier enfant qu'il ne verrait jamais. Son ex ne le lui laisserai jamais le voir. Elle pensait en effet que c'était mieux ainsi, pour ne jamais plus avoir à faire à son ancienne compagne.

Il l'embrassait avec une passion encore inconnue pour elle. Elle était tellement heureuse de lui donner ce cadeau. Il était même pret à passer outre sa peur des dispensaires pour l'accompagner dans cette épreuve. Quel homme dévoué.

Elle se blottit contre lui sur le canapé, caressant d'une main son ventre qui allait bientôt s'arrondir et de l'autre, le visage de son ange. Elle le scrutait du regard, à vrai dire elle aimait l'observer, chaques curbes de son visage, chaque recoins de son corps. Elle s'emmerveillait chaque jur de sa beauté naturelle et vivante. Elle ne pouvait pas dire pourquoi elle l'aimait, mais c'était un fait établi.

Elen s'était calmée et restait à coté de son ange. Elle semblait apaisé, heureuse, bien dans sa peau, pas comme avant leur rencontre. Enfin elle pouvait vivre heureuse avec un homme qui la comblerai. Il souriait à la regarder, elle lui caressait la joue et se caressait le ventre, elle devait sentir que quelque chose se passait. L'instant maternelle allait prendre sa pleine mesure chez elle.

Il lui prit la main pour y déposer un baiser en son creux, et plça son autre main sur son ventre. Il voulait partager avec elle tout ce qu'il pouvait.

Je veillerai sur toi, et sur la maison reste bien tranquille Elen sera maintenant quelqu'un de responsable. hihi

le second plus beau jours de nos vies, est un tournant décisif.

Je ne me fais pas de soucis, je sais que tu es l'homme de la situation. Je te fais tout à fais confience.
Je suis ravie d'être ta femme et je sais que je suis celle que tu a jamais aimé le plus au monde. Notre enfant sera bénit. Il ne peu pas en être autrement avec tout l'amour qui l'entoure.

Elle se caressait toujours le ventre accompanée de la main de son mari adoré. Elle pensait à ce que serait l'avenir dans le prochain endroit ou ils iraient. Trouverais t-il la même stabilité pour leur enfant? Ne valait il mieux pas rester ici le temps que le petit naissent?
Tout un tas de questions auquelles il faudrait répondre et auquelles elle ne pouvait répondre pour l'instant.

Dis moi chéri, je veux être sure que n'importe ou que nousallions nous serons en sécurité, garantis le moi. Je ne veux pas partir sans cette garantie. Premoet le moi. J'ai si peur pour notre enfant.

Elle savait que l'instinct maternel s'était reveillé en elle. D'ordinaire elle ne se serait pas posé ces questions si existencielles. Même si ils ne pouvaient rien craindre, il fallait qu'il lui en donne la certitude. Sans quoi elle serait toujours plus anxieuse.

Elen était heureux, il savait que leur amour était très intense. Mais il remarquait qu'elle se posait certaines questions. Ne voulant pas la brusquer, il attendit patiemment, elle finissait toujours par lui dire ce qui n'allait pas. Bingo, elle lui sortit ses craintes et ses questionnements.

Ma chérie, tant que tu es avec moi, tout se passera bien. S'il t'arrivait malheur je ne me le pardonnerais pas, j'en mourrais. Je mettrais tout en œuvre pour que tu sois bien et que toi et notre futur enfant soit les plus heureux au monde. Et, afin d'être sûr que tout aille bien, je crois que je serais plus serein si nous mettions cet enfant au monde au sein de cette ville. Nous connaissons la réputation de Mentaig, même si elle a quelque différents avec moi de par mon passé peu glorieux, elle n'en tiendra pas compte et fera ce travail qu'elle aime tant avec classe et qualité.

Et tu n'as rien à dire, qui porte la culotte ici, c'est décidé on reste jusqu'à sa naissance, ensuite nous verrons ce qu'il en est.

il avait dit cette dernière avec beaucoup de tact et d'humour, le sourire en coin et l'oeil pétillant de malice. Il avait le coeur emplie d'un profond bonheur et d'un intense amour.

En entendant sa réponse elle se sentit tout de suite plus en sécuritée. Malgrés que le départ eut été repoussé elle se entit plus à l'aise. Elle serait capable de n'importe quoi en ce qui concernait son enfant, même i pour cela elle devait passé plus de temps dans une ville qui n'était plus la sienne. Elle avait foi en Mentaig et en ses pratiques.

Soit mon Elen je suis d'accord avec toi. Je trouve le travail de Mentaig remarquable, donc pourquoi s'en priver.

Elle réfléchit longuement puis se leva. Il y avait du ménage à faire dans cette maison. Elle décida de s'affairer en prenant un balai. Elle commença par nettoyer la cuisine et s'arreta quelques secondes.

Dis Elen je sui essoufflée déja crois tu que c'est l'enfant qui provoque cela.
C'est tellement nouveau pour moi tout sa. Comment cela va t-il se passer une fois qu'il sera parmis nous?

Elle se servit un grand verre d'eau fraiche et se rassit sur le canapé.