Chez Aryan, n°83

Citoyen d'Honneur Nombre de messages : 766 Date d'inscription : 18/09/2006

Elle ne put s'empecher de rire en voyant aryan verser la poire à coté des verres. MAis elle arreta vite de rire, ce n'est pas bien de se moquer.
Elle prit Louise sur ses genoux et son verre de poire.

A ta santé Arya, ma rouche, euh route,elle se masse le crane et reprend en riant se passera fort bien!

Ce soir là, Aryan n'avait pas eu le coeur de vider son sac devant sa soeur. Elle garda tous ses soucis, Saya devait partir (et elle doit être même arrivée à cette heure-ci) pour Bourges avec un groupe armé. Après avoir souhaité bonne route à sa soeur et parès son départ, elle s'approcha de Louise et des jumeaux "On va se coucher maintenant ?". Les petits tombaient de sommeil, Elle prit quelques affaires et les monta dans la chambre d'ami, puis elle redescendit pour monter ses neveux. Les jumeaux trouvèrent le sommeil rapidement mais Louise eut quelques difficultés. La dame resta aurpès de l'enfant jusqu'à ce que celle-ci s'endorme.

Elle redescendit et attrapa quelques parchemins, l'écriture lui ferait passer le temps. Elle se posa sur son bureau et attrapa plume, encrier et parchemins. Elle trempa le bout de sa plume dans l'encre noire et laissa sa main guider la plume.

Nous avons tous une histoire, un passé plus ou moins glorieux, plus ou moins ancré dans nos âmes. Ce passé, que vous allez peut être découvrir n'est que le mien. Il sera à jamais gravé dans mon être tel un bovin marqué au fer rouge, celui ci guéri de sa blessure mais gardera jusquà la fin de sa vie cette marque.
Il me suffit de fermer les yeux, de ne plus penser à rien, et, à ce moment là, je me matérialise un objet, un objet très important pour moi mais qui souvent n'est ce que l'on attend comme objet fétiche, une simple porte. Ne riez pas, car les portes sont pour moi des objets précieux même de simples portes de taverne.
Laissez-moi vous montrer un brin de mon histoire, pas celle que la majorité d'entre vous connaisse, celle que peu de gens, même personne, connaisse.
Vous pouvez rire, critiquer ou autre cette histoire, je ne l'interdis en aucun cas mais ayez un soupçon de respect...

La dame avait passé un certain moment pour écrire ces quelques mots. Elle rangea ses quelques parchemins et monta dans sa chambre. Elle se laissa bercer par la trnaquilité qui régnait dans sa pièce et plongea dans un demi sommeil.

Les habitants de Sancerre reçurent une lettre envoyée par le maire...

Citation :: Mes chers concitoyens,

Une terrible épidémie de consomption vient de s'abbatre sur le Berry. Le duc vient de m'envoyer tous les détails, et cela n'a rien d'encourageant. Je vous demande instammant de faire le test afin de savoir si vous êtes contaminés. Je vous invite à vous informer très rapidement de vostre etat de Santé, car l'épidémie doit à tout prix être endiguée. Les malades seront redirigés par les sergents de police et les infirmières vers un campement en dehors du village. Le duché a prévu dans les jours à venir de mettre à disposition des malades un hospice.

Courage,

Hugoruth, Maire de Sancerre

[HRP]Pour savoir si vous êtes atteints, rendez vous ICI Il vous suffit de vous inscrire sur ce forum, puis de suivre les instructions. Si vous êtes atteints, et que vous souhaitez jouer le RP, rendez vous sur la halle de Sancerre où je vais mettre en place le campement de Sancerre.

Bon RP à vous !

Citoyen d'Honneur Nombre de messages : 352 Date d'inscription : 30/12/2006

en allant vers la forêt pour couper du bois, Jelubir passa devant chez sa Douce. Les volets étaient encore fermés. Il savait qu'elle reviendrait de son grand voyage aujourd'hui et cela lui rendit sa bonne humeur. Il déposa un bouquet de marguerites qu'il avait cueilli dans les collines de bon matin, après une bonne chevauchée sur FierOrage. Sur le bouquet, il déposa un mot :

Citation :: Ma Douce,
Je suis tout heureux de vous revoir bientôt. J'espère que vous avez fait un bon voyage, vu de jolis paysages et rencontré de gentilles personnes.
J'ai hâte de vous serrer dans mes bras.
Vostre Tourbillon impatient, Jelubir

Il repartit en sifflotant. Il aurait suffisamment d'énergie pour abattre tous les arbres de la forêt s'il le fallait (mais, non je n'en couperai qu'un lol!

)

Aryan se réveilla de bon matin. Elle avait relu le mot que son courant d'air lui avait laissé et ne put s'empêcher de sourire. Les quelques marguerites qui acompagnaient les quelques mots étaient restées sur la table sans eau. Les fleurs commençait à se flétrir. Aryan attrapa deux feuilles de parchemins où elle installa les fleurs pour pouvoir les faire sécher.
Elle ne mangea pas ce matin, ne trouvant pas l'appêtit. Alors elle s'installa à son bureau où elle trouva le livre où elle avait décidé d'écrire son histoire d'avant-Sancerre. Elle relut les quelques lignes et soupira. A quoi bon commencer à écrire un tel ouvrage si, après, on ne trouve plus la force de pouvoir remuer le passé et ni la force de pouvoir le coucher sur papier ?

Après réflexion, la dame s'en alla dans les bois, histoire de se changer les idées. Il faisait un temps superbe. La forêt reprenait vie peu à peu.
"Taurë nas vanya" se dit elle. Les feuilles filtraient la lumière ce qui donnait une teinte verte qui arrivait à calmer la jeune femme. Elle s'avança vers la clairière et s'allongea dans l'herbe. Elle regardait le ciel laissant vaquer ses pensées. Elle resta de longues heures allongée ainsi, elle aurait pu rester ainsi des heures et des heures.
Un bruissement, elle se releva et regarda tout autour d'elle, elle ne voyait rien mais elle était sûre que l'on observer. Le bruit se rapprochait, dans les buisson.
Aryan ouvrit grands les yeux, elle voyait une silhouette blanche s'avançait et s'arrêter à quelques mètres d'elle. L'animal était accompagné de deux petits (pas si petit que ça), sûrement ses petits. Une louve ...

"Fanya ..." Aryan avait à peine prononcer ce nom. Elle se leva doucement et s'avança prudement vers la louve. Un grognement de Fanya la fit s'arrêter. La louve s'était redressée et montrée ses dents, la jeune femme n'en revenait pas. Elle avait donc retrouvé sa place, elle était retournée à sa place, là où un loup devait être. La louve continuait à grogner et laissait l'impression d'être prête à bondir au moindre geste d'Aryan. La femme sentit son coeur se déchirait entre la tristesse d'avoir perdu sa plus fidèle "amie" et le bonheur de la voir encore en vie. Elle recula doucement, s'éloignant de la louve au plus loin. La louve fixa la jeune femme dans les yeux et s'en retourna dans les profondeurs des bois, continuant son chemin sans se retourner. Aryan resta là, sans pouvoir bouger ni même penser clairement. Y devait-elle voir un signe? Elle ne voulait même pas y réflechir. Tout ce qu'ellese souvient c'est que ses jambes la portèrent jusqu'à chez elle et qu'elle avait ressorti son livre et déchira la page qu'elle jeta dans la cheminée. Elle y alluma un feu et regarda les flammes dévoraient la feuille.

A quoi bon remuer le passé,
Si c'est pour en souffrir,
A quoi bon remuer le passé,
Si ce n'est pour ne plus sourir,
A quoi bon remuer le passé,
Si ce n'est pour ....

Aryan releva la tête et contempla son travail. Elle sourit. Elle avait énormément travaillé ces jours ci pour changer l’un de ses champs de blé pour en faire une prairie avec une bergerie pour l’élevage. Il lui a fallu du temps pour, surtout, réfléchir si elle devait vraiment le faire. Mais elle était décidée. Elle arrêta les semailles sur son bout de terre pour y laisser pousser de l’herbe et, ainsi, laisser la place à une prairie. La construction de la bergerie fut assez longue aussi. Surtout qu’Aryan voulait se débrouiller seule, comme à son habitude. Puis elle avait fini par implanter une barrière de bois tout autour de la prairie, elle était sûre que, maintenant, aucun de ses futurs moutons ne s’enfuirait.

Elle rentra dans la bergerie, qui au passage se trouvait non loin du moulin, avec de la paille, de l’eau et surtout de la nourriture. Après avoir étalé la paille par terre, rempli les abreuvoirs d’eau et les auges avec des céréales, Aryan s’en alla accueillir ses bêtes et pour les installer.

Elle resta un long moment à observer ses nouveaux pensionnaires. Ils ne sont pas bien grands encore, se disait-elle, si petits et déjà séparés de leurs parents… Mais où sont donc vos mères et vos pères ?

Des larmes coulèrent le long de son visage, elle avait déjà perdu ses deux parents avant d’arriver à Sancerre, son père était mort au combat lorsqu’elle avait 5 ans, et sa mère était morte pour défendre ses idées, pour son village et surtout pour protéger sa fille. Une scène marquante dans la vie d’une fillette, qui pourrait oublier que sa propre mère avait été exécutée sous ses yeux ? Elle ferma les yeux et revoyait les flammes dévorant sa mère doucement et puis de plus en plus vite, elle revoyait le regard haineux que sa mère lançait à son bourreau. Aryan s’en souvenait, le dernier regard que sa mère avait eu, était pour elle. Un regard rempli de tendresse, un regard qui lui demandait pardon et qui lui disait adieux. C’est pour l’une de ces raisons qu’Aryan avait commencées à vagabonder et qu’elle avait décidé de s’arrêter à Sancerre. Là, elle y avait gagné une seconde vie, des ami(e)s, des amours et puis surtout une nouvelle famille. Cette famille l’avait sorti d’une spirale dans laquelle Aryan s’engouffrait de plus en plus. Une nouvelle vie, aucune Souffrance. Ah ! J’ai été idiote de penser cela ! Aryan avait énormément souffert quand elle avait vu que sa mère avait fini par n’être qu’un fantôme et encore plus quand elle eut appris que celle ci était partie rejoindre Aristote. Elle avait pu être par son père, il lui avait été d’un grand secours. Puis elle avait sa sœur de cœur, elle regrettait que celle ci ne soit pas sa vraie sœur mais en aucun cas elle n’abandonnerait son père. Souffrance est de retour … Voilà qu’elle avait perdu ses deux parents maintenant, son père décidant de partir de Sancerre. Comme il est dur de vivre à nouveau cette souffrance, ce sentiment d’être orpheline à nouveau !

Quand Aryan repris à peu près le dessus sur elle-même, elle se rendit compte qu’elle s’était rendu à l’ancien emplacement de la Croûte et surtout devant la maison de son père. Les larmes se remirent à couler de plus en plus, si seulement il pleuvait, elle aurait pu prétendre que ce n’était que la pluie si elle venait à rencontrer quelqu’un. Elle repris le chemin de sa maison, la tête basse, la mine blanche et le cœur meurtri. Pourquoi dois-je encore souffrir ? Pourquoi maintenant, alors que tout semblait aller pour le mieux ?

Le Courant d’Air rentra chez lui, elle monta les escaliers marche par marche puis rentra dans sa chambre pour pleurer toutes les larmes de son corps, pour laisser sortir sa Souffrance de son cœur …

Aryan était réveillée très tôt dans la matinée mais elle préféra garder les yeux clos. Elle pensait, réfléchissait, se demandant si elle arriverait à faire son voyage. La luminosité était assez faible ce jour-ci, Aryan se leva, ouvrit les volets et contempla le ciel. "Norf quand est ce que le soleil voudra t-il s'imposer un peu ! La pluie c'est bien mais bon ..."

Elle descendit les escaliers puis s'installa dans un de ses fauteuils, près de l'âtre. Elle se força à manger un peu de pain, la faim l'avait laissé en paix. Après s'être habillée, elle se rendit à la bergerie où deux moutons semblaient vouloir rester avec elle. Elle changea l'eau et remplit les auges. Elle s'en alla dans la pièce à côté pour y récupérer les quelques pelotes de laine.

Elle se rendit alors à son moulin, passant devant son champ de blé qui serait bientôt prêt pour la récolte. Une fois entrée dans le moulin, elle s'aperçut qu'il y avait de légères fissures sur la meule. La voilà inutinisable maintenant !

"C'était bien le moment ..."

Elle claqua la porte et s'en alla se promener dans les rues de Sancerre ...

Sortant du havre fort tard et ayant un peu trop bu, Amélia décida de raccompagner Aryan qui ne marchait plus fort droit.

Elle la ramena jusque chez elle et prit soin de la mettre au lit.

Aryan lui bredouilla un "je t'aime mon amour" qui fit pouffer Amélia.

Sur ce, celle-ci rentra chez elle, dans sa grande maison vide...

Aryan se réveilla avec un mal de tête et la bouche pateuse. Elle n'avait pas pris le temps de se changer, elle s'était endormie avec sa chemises, ses chausses et ses braies. Elle se leva en titubant légèrement. Elle avait un peu forcer la dose hier soir et se força de ne pas oublier de remercier Amélia pour l'avoir ramener.
Elle se traina jusqu'à la salle d'eau et, s'en prendre le temps d'enlever ses vêtements, s'aspergea d'eau froide. Elle resta avec ses habits trempés quelques minutes, le temps de se réveiller complétement. Elle se changea et descendit les escaliers en prenant le temps.

Elle fit chauffer de l'eau et alluma un petit feu dans l'âtre et se planta devant quelques instants. Elle se rappela qu'elle devait partir demain soir, elle courrut dehors pour ramener quelques bûche pour continuer à alimenter le feu. Elle s'en alla chercher son baluchon et ramena quelques miches de pain.

"Bon je vais emmener quoi d'autre maintenant ?"

Elle regarda dehors et soupira, pourvu que le temps soit meilleur demain ...

Citoyen d'Honneur Nombre de messages : 766 Date d'inscription : 18/09/2006

Saya faisait les poussières chez elle et Louise voulait aller jouer dehors.
Elle accepta et prit les jumeaux par la main Aaron commençait à marcher mais Eloïse n'avait pas encore commencé ses premiers pas. Elle la prit donc à bras et prit Aaron par la main.

Quand elle sortit de chez elle , elle vit Aryan, elle eut un sourire triste, elle devait préparer son baluchon.

Louise se mit à courir vers Aryan en criant joyeusement.Saya la rejoind quelques instants plus tard avec les jumeaux et lui sourit.

Tu as besoin d'aide pour faire ton balluchon soeurette?

Elle renifla, chassant quelques larmes.

Fichue allergie!

Conseiller municipal Nombre de messages : 8487 Date d'inscription : 26/07/2006

Citation :: Très chère Aryan, briseuse de portes, courant d'air... je suis venue te dire que je m'en vais... Tu trouveras à ton retour ces quelques fleurs, qui te diront que je penserai à vous tous, queje ne vous oublierai pas amis de Sancerre. Passe un bel été et à mon retour...

Invité

un pigeon se posa pres de la demeure d'Aryan....

Citation :: Bonjour Aryan, j'ai su que tu étais de retour a Sancerre, et cela me fait énormément plaisir!!! J'ai hate de te revoir en taverne ^^
Gros bisous
Mathilde

La journée d'aujourd'hui allait être chargée ! Aryan s'était levée tôt et le moment était venu d'abandonner le 83. Le réveil se fit s'en aucun soucis. Aryan attrapa une vieille paire de braies et une chemise. Après un petit déjeuner rapide, elle s'en alla s'occuper de ses moutons. D'ailleurs ceux-ci semblait ne pas vouloir grossir, pourtant ils étaient nourris tous les jours et abondament ! Cette tâche faite, Aryan s'en alla au marché pour y laisser ses sacs de farine et prendre, comme tous les jours, ses sacs de blé. Elle flana un peu et marcha d'un pas rapide jusqu'au moulin.

"Hum ici aussi il faudrait que je lave un peu ...Dommage qu'Albert ne soit plus là ! Il m'était vriament d'une grande aide!"

Une fois la meule actionnée, Aryan arriva chez elle pour commencer son travail. Elle commença par la cave pour ranger les bouteilles dans des caisses.

"Il va me falloir remettre les réserves à flot ! "

Elle remonta alors au rez de chaussée et recommença son opération. Arrivée dans la dernière pièce et après s'être assurée de n'avoir rien oublier dans la maison, Aryan s'en alla au Havre manger un morceau. L'entrecôte aux morilles était un véritable délice et elle allait pouvoir continuer son travail avec une humeur grandissante.
Un souci se poser, le transport des caisses. Elle n'avait ni berrouette ni assez de mains pour tout transporter. Il lui faudrait faire la navette et elle savait qu'elle ne pourrait transporter plus d'une caisse à la fois !

"Norf de norf !! Mais ça va me prendre tout le restant de la journée ! Et il m'en reste des choses à faire ! Bon quand faut y aller, faut y aller !"

Prenant son courage à deux mains, elle ocmmença à emmener une première caisse.

Invité

Ice qui passait par là vit Aryan se démener toute seule. Elle releva ses manches et joingant le geste à la parole prit une grosse caisse dans ses bras et suivit Aryan

Ben tu vas pas faire ça toute seule ! allez je t'aide on ira plus vite à deux mais j'espère que dans tout ça il y a une caisse de bubulles pour après Wink

"Merci Ice, tu me seras d'un grande aide ! Pour les bubulles, il faudra voir avec Jelubir, moi je n'ai que la poire ^^"

Sur ces mots Aryan prit une autre caisse et se remit en marche, en regardant derrière elle de temps en temps pour ne pas perdre de vue Ice.

"Je te remerci vraiment Ice"

Nouveau citoyen Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 25/03/2007

Albert était de retour à Sancerre. Sa casquette enfoncée sur la tête, il marchait les mains dans les poches. Il avait vagabondé de ci de là pour trouver de l'argent et voyager. Il avait quelque peut grandi et avait réussi à subsister à ses besoins en faisant des petits boulots à droite et à gauche. Mais Sancerre et dame Aryan qui l'avait si gentiment accueilli lui manquait aussi voulait il y retourner et c'est ce qu'il fit.

Il regardait les rues défiler, ne pressant pas le pas. Il était maintenant plus sur de lui et avait quelques écus en poche. Il avait pu s'acheter une nouvelle chemise car il avait déchiré l'ancienne. Il passa devant le moulin de la dame courant d'air et s'en approche, il ne semblait y avoir personne. Puis, la gorge nouée il s'approcha de la cabine qu'il avait soigneusement réparée et dans laquelle il avait dormi. Il n'osait pousser la porte de celle-ci et se dirigea vers la maison d'Aryan.

Il s'en approchait et vit tout de suite deux dames qui semblaient porter de lourds paquets, mais oui c'était bien ça! Il s'approcha d'elle alors en courant, retira sa casquette et les salua bien bas.

Bonjour dame Aryan, puis je vous aider à transporter vos paquets? Il faut vous ménager, beaucoup de nettoyage vous attend certainement.

En se retirant vers dame Icefly

Bien que je ne vous connais que de vue dame, je vous salue.

Il se retourna vers Aryan et prit les paquets qu'elle tenait dans ses bras et lui sourit.

Où dois je porter ça? Je suis à votre service dame!

Aryan regarda le jeune homme. Il lui semblait l'avoir vu quelque part mais où... Mais oui ! C'était le petit, enfin plus si petit que ça, Albert. Elle se rappelait du jour où il s'était introduit chez elle et le désir qu'il avait eu à réparer ses fautes...

"Mon dieu Albert je ne t'avais pas reconnu ! Je suis bien contente de te revoir . J'avoue que je ne t'ai pastout de suite reconnu, tu as bien grandi. Mais où étais tu passé ? Tu as disparu comme ça, sans prévenir. Viens donc m'aider, j'aurai à te parler"

Aryan reprit une caisse, c'était la dernière. Il faudrait qu'elle invite Ice pour la remercier. Elle ferma le 83 et elle savait qu'elle ne le réouvrirait plus. Il faudra qu'elle redonne les clés à Gilberg.

Adjoint au Maire Nombre de messages : 554 Date d'inscription : 15/12/2007

Ici, comme sous la porte de chacune des autres habitations de Sancerre, une lettre officielle fut glissée par la main tremblante de Terry, le visage livide, le coeur battant un peu trop vite, à cause de la course qu'elle faisait, mais aussi en raison de ses craintes.

Citation :: Chers amis,

Depuis quelques jours, des rats sont retrouvés morts un peu partout, dans nos rues, nos maisons, et ce sans raison apparente.

Dame Mentaig et moi-même pensons que tout cela n'augure rien de bon, et qu'il est envisageable que nous ayons à faire aux prémices de la peste. Rien n'est encore certain, donc nulle raison de vous mettre à paniquer, mais mieux vaut prévenir que guérir.

C'est pourquoi je vous invite toutes et tous à vous rendre au domaine de Baugy afin de vérifier que vous n'êtes pas malades.

Vous n'êtes pas sans savoir que si jamais il s'agit bien de la peste, celle-ci se propage à une vitesse folle, et que les rats morts sont vecteurs de contamination. Aussi, je vous conjure de ne les toucher sous aucun prétexte si vous en voyez. La milice a été avertie et traitera les cadavres d'animaux avec la plus grande prudence, les jetant au feu sur le terrain de soule qui a été réquisitionné à cet effet. Prière donc de ne pas vous rendre là-bas, sous aucun prétexte.

Terwagne,
Maire de Sancerre

(HRP : Pour savoir si vous êtes contaminé, il vous suffit de vous inscrire sur ce forum et de suivre les instructions dans l'Antre de la puce. Le RP quant à lui se déroule sur la gargotte (ICI).

Bon amusement à ceux et celles qui participeront.)

» Chez Aryan et feu Jelubir, 163 rue Cornue
» Chez Maleus