N°102, rue de l'outre percée chez Nikolag et Marispa

En arrivant devant le n°102 je n'ose y croire, cette petite demeure est merveilleuse!! je suis ravi d'avoir enfin un chez-moi pour y acceuillir mes amis!! A peine entré dedans, je commence à la nettoyer et la retaper pour corriger les quelques défaults du à l'ancienneté de la demeure...

Une fois la maison correctement nettoyé et bien arrangé, j'y ajoute le peu de mobilier que j'ai! Pour commencer une vieille table trés solide qui promet d'assurer de belles soirée...

J'ai aussi quelques vieux tabourets en réserves....

Pour finir, j'instale une male qui me permettra d'entreposer mais quelques affaires ainsi que ma vaisselle....

Omi errant seule passa devant chez Nikolag fraichement arrivée dans la quartier. Elle hésita puis se permis de frapper à la porte. Elle avait acheté un gateau au marché, et se dit que le partager avec Niko serait une bonne idée.

Hého il y a quelqu'un? Nikolag? C'est Omgirl...

Elle attendit patiemment qu'il ouvrit la porte.

Avertie par mon amoureux de sa nouvelle adresse je décidai de m'y rendre sans plus attendre.
J'appelle: "Troubadour mon amour! C'est ta tendre et douce." Cette dernière remarque était inutile qui d'autre t'appellerai ainsi!
Pas de réponse. Je décidai d'entrer malgré tout. Nikolag m'a invitée, il ne pourra pas m'en vouloir! Je trouvai les lieux simples mais charmants, tout à fait à mon goût!
Pressée par le temps et n'ayant déjà que trop tardé en m'accordant ce détour, je me sauvai bien vite en laissant un mot.

Mon aimé,
ta demeure est délicieuse,
à l'image de ton coeur
et de ton âme
belle mais point sinueuse.

Ne voulant le laisser à la vue de tous je décidai de le glisser dans sa couche. Quel meilleur endroit aurais-je pu trouver? Ainsi il le trouvera aprés une dure journée de labeur, le réconfortant alors et peut-être mes pensées l'acconpagnerai dans ses songes.

De bon matin Marispa décida de rendre visite à son amoureux. Arrivée devant la porte elle frappa. Pas de réponse. Nikolag était surement déjà parti au champ ou travailler ailleurs!
Qu'importe aujourd'hui la journée serait à eux! Elle entra pour déposer le crumble pomme/banane encore tout chaud d'avoir était confectionné une heure plus tôt. Au centre de la table, protéger par un tissu, il trônait en bonne place. Elle varifia que tout fut en ordre, sourit, puis parti le coeur léger.

Où qu'il puisse être elle trouverai son troubadour! Peut-être à l'ombre d'un chêne à lui composer un air louant leur amour. Elle rit à cette idée en s'éloignant.

Rentrant du travail, j'alla directement chercher le petit mot que m'avais glissé ma princesse la veille pour le lire à nouveau et remplir mon coeur de joie!
C'est alors que je sentit un parfum de Pomme/bananne encore tiède qui ravissé mon odorat....Et qu'elle ne fut pas ma surprise en voyant ce délicieux crumble posé avec soin au centre de la table! Cette délicate attention à mon égard ne pouvais être que de la part de ma bien aimé Marispa...
Je m'imaginai ma belle préparer ce gâteau avec tout l'amour qu'elle me porte et décida finalement d'en prendre une petite part...
Ce crumble été tout simplement délicieux!!!! Mon amour été vraiment une parfaite cuisinière!!
Je décida alors d'aller la rejoindre au plus vite en taverne pour la couvrir de milles baisés et la remercier de cette attention qui me remplit de joie!

Aufredy qui passais devant ma maison m'apprend que Omi est passé hier et qu'elle cherché à me voir! surement pour visiter ma maison....
Quel dommage que je l'ai manqué! J'éspère qu'elle repassera me rendre visite bientôt!

Maira qui devait allez jeter un oeil a son champs, décida de faire un détour par chez Nikolag pour lui déposer une bouteille de poire. Elle n'avait malheureusement pas le temps de rester plus donc, elle lui laissa un mot avec :

Citation :

Cher Nikolag, je regrette ne pas pouvoir rester aujourd'hui mais vous promet de repasser bien vite ! En attendant, je vous laisse de quoi fêter votre nouvelle maison ! A très bientot j'espère.
Maira

Marispa était toute excitée à l'idée de ce premier repas en tête à tête auquel son troubadour d'amour l'avait si tendrement conviée! Elle avait arrangé ses haillons au mieux pour l'occasion, s'était élégamment coiffée, avait glissé dans son chignon une fleur aux senteurs délicieuses trouvée chemin faisant, bref s'était apprêtée le plus joliment possible.
Il lui avait dit qu'elle était sa princesse, la traitait avec tous les égards d'une femme de haut rang, et, à grâce à ce regard qu'il avait posé sur elle, elle se sentait vraiment une princesse, elle, pourtant femme de rien!
Arrivée de vant la porte elle remit ses cheveux en ordre, vérifia dans le reflet de la fenêtre que tout était pour le mieux et, jugeant le tout satisfaisant elle frappa.

Nikolag qui été rentré chez lui après une dur journée de labeur! Avais arrangé sa maison du mieu qu'il le pu et préparé un délicieux repas! Il avait également sortit deux assiettes et deux jeux de couverts, puis une petite bougie qui ferait office de chandelles (car ça coûte cher^^).
C'est à ce moment qu'il entendu toquer à sa porte, il s'arrangea du mieu qu'il le pu pour être le plus présentable possible avant d'ouvrir la porte à son Amour!!!

Aprés de longues minutes d'attente restées sans réponse il ouvrit enfin. Elle se jeta dans ses bras bien qu'ils s'étaient quittés il y a peu. Puis dans un souffle:
J'étais tellement impatiente!
Il était si beau, elle voyait qu'il avait fait des efforts, la table était joliement décorée. Une bouteille de poire était posée dessus.

ça y est sa princesse été enfin là! Elle été tout simplement ravissante, cette petite fleur dans les cheveux lui allé si bien et la rendai vraiment trés craquante^^. Il l'embrassa passionément et lui dit:

"Bonjour mon amour, je suis trés heureux que tu soit venue!! Installe toi, je t'apporte tout de suite un peu à boire tu doit avoir soif!"

Oui merci mon coeur.
Elle s'assit comme il le lui recommandait: c'était si bon d'être ainsi couverte d'attentions! Elle n'étaitpas habituée à cela, elle qui avait trimait, à bout de force, pour des malfrats peu râgoutants! Comme quoi elle avait eu raison de tenir bon! Un petit sourire se dessina au coin de ses lèvres: comme la vie était pleine de surprise, et quelle revanche!
Perdue dans ses pensées elle se ressaisit lorsque son aimé déposa un verre devant elle. Elle saisit sa main et la couvra de baisers.
Tu es tellement bon pour moi. Ne me laisse jamais!

Je pris alors Ma princesse dans les bras, en l'embrassant pour la rassurer et lui dit:
"Ne t'inquiète pas mon amour, comme je te l'ai promis je veillerai toujours sur toi et ferais tout mon possible pour que tu te sente au mieux avec moi"

puis posa mon front contre le sien, mes deux mains derrière sa nuque en la regardant droit dans les yeux et en lui faisant un petit sourire rassurant...

Des frissons parcourérent tout son corps. Un tel avoeu, déjà deux fois prononcé, et dans l'intimité cette fois, c'en était trop, et puis ses yeux, sa bouche...... l'émotion l'envahit et elle faillit défaillir. Mais elle se serra si fort contre lui que tous ses doutes s'estompérent et elle l'embrassa passionément.
J'ai foi en toi, je t'aime tant.
Son armure était tombée, elle se surprit elle-même en entendant ces mots sortir de sa bouche, mais elle le ressentait dans la plus minuscule parcelle de son être, c'était ainsi, telle une évidence.

J'étais trés troublé d'entendre ces mots, Marispa été si fragile, si douce, si timide! dès notre première rencontre j'avais trouvé cette petite perle trés à mon goût mais n'avais jamais pu croire à cette amour! Et maintenant elle me disais qu'elle m'aimais... j'été fou de joie et lui répondit:

"Je t'aime aussi mon amour..."

Je ne savais quoi dire de plus, à partir de là, Tout été dit...

(je vais manger...on continuera plus tard ce petit moment si romantique )
Bisous

Le dîner ne faisait plus partie de ses préoccupations premières, elle ne se souvenait d'ailleurs plus pour quelle raison précise elle était venue, tout se chamboulait dans sa tête, son coeur battait à tout rompre et son âme..... son âme elle la lui offrait sans retenue aucune, qu'il en fasse ce que bon lui semble!!!! Il lui semblait que toutes les souffrances valaient bien un tel bonheur!
Elle l'avait vu le premier jour et depuis ses pensées ne l'avait plus quittées, elle avait tenté de lutter, en vain. Le deuxième soir déjà elle avait été si contente de le revoir. Comment avait-elle pu le reconnaître si vite, comment était-ce possible? A leur première rencontre tout son être lui avait crié
C'EST LUI!
La seconde rencontre n'avait pu que confirmer ce fait, amplifier son émoi, mais ces démons l'avaient poussées à taire ses sentiments.

Revenant peu à peu à la réalité, maintenant si douce pour eux et consciente des efforts que son aimé avait mis en place pour elle, elle se força à parler:
Veux-tu que nous passions à table? Sa voix était faible cependant.

Marispa me charmé à nouveau par son côté si fragile qui fait que l'on souhaite lui apporter toutes les attentions du monde...

J'entendit à peine se qu'elle me demanda tellement sa george semblé serré par l'émotion, mais je compris qu'elle souhaitais Que nous passions à table, certainement pour me faire plaisir car elle ne semblais pas avoir trés faim...

Je tira donc sa chaise de sous la table en l'invitant à s'assoir....
J'apporta ensuite Le poisson que j'avais préparé en son honneur car il me semblais qu'elle aimais beaucoup ça....Je lui servit également un vin que j'avais réussis à me payer en économisant quelques temps...mais rien n'été trop beau pour ma douce!
Je m'instala ensuite en face d'elle puis la pria de commencer à manger sinon le repas allé refroidir...J'été trés content car elle semblais apprécier!

Le repas était divin, il avait dû se saigner aux quatre veines pour lui offrir ces mets délicieux. Elle n'avait pas grand faim mais goûtait ce dîner comme si ce fût la première fois qu'elle mangeait elle sentait tout l'amour qu'il y avaitmis. Il y avait du poisson un de ses plats préféré, et du vin..... un repas de roi!

Une fois le repas finit, je proposa à Ma tendre de boire un peu de poire que m'avais trés gentillement apporté Maira! Nous trinquèrent à notre amour tout en s'embrassant avec passion et tendresse, finalement ma princesse vint s'assoir sur mes genoux, posa la tête sur mon épaule et commença à s'endormir paisblement, je lui carressais les cheveux et la couvrait de doux baisés tout en la regardant dormir..... Mon ange avais un petit sourire aux lèvres qui me laissait éspérer qu'elle venais de passer une bonne soirée....

Marispa s'éveilla. Le soleil perçait déjà à travers la fenêtre, quelle heure pouvait-il donc être? Elle s'étira tel un félin et en ouvrant les yeux elle s'aperçu qu'elle n'était pas dans sa couche. Elle eu un mouvement de panique et remonta l'étoffe qui recouvrait mal ses haillons mais aussitôt tout lui revint: le dîner suave préparé par son aimé, la poire, les enlaçades tendres et passionnées, discrètes caresses envoûtantes et... plus rien. Elle avait rejoint Morphée dans les bras de son doux troubadour, la tête sur son épaule, elle s'était doucement laissée glisser dans le pays des rêves peuplé de fées, de lutins malicieux où Nikolag était son prince, elle sa princesse.

Un petit tour d'horizon dans la maisonnée lui confirma qu'à présent elle était seule. Il l'avait laissée dormir, ne pouvant sûrement se résoudre à la réveiller tant son sommeil avait était profond et serein. Mais maintenant il fallait voir si quelque paysan n'aurait pas une tâche à lui confier pour la journée. Avec leur voyage en perspecive il n'était pas temps de se laisser aller!
Elle avala rapidement un quignon de pain, but un peu d'eau, il ne lui restait plus qu'à se rendre au ruisseau le plus proche afin de se rafraîchir et elle serait fin prête. Un rapide coup d'oeil dans la maison avant de fermer la porte et, un sourire radieux accroché aux lèvres, elle se hâta prenant la direction du ruisseau.

Ici, comme sous la porte de chacune des autres habitations de Sancerre, une lettre officielle fut glissée par la main tremblante de Terry, le visage livide, le coeur battant un peu trop vite, à cause de la course qu'elle faisait, mais aussi en raison de ses craintes.

Citation :

Chers amis,

Depuis quelques jours, des rats sont retrouvés morts un peu partout, dans nos rues, nos maisons, et ce sans raison apparente.

Dame Mentaig et moi-même pensons que tout cela n'augure rien de bon, et qu'il est envisageable que nous ayons à faire aux prémices de la peste. Rien n'est encore certain, donc nulle raison de vous mettre à paniquer, mais mieux vaut prévenir que guérir.

C'est pourquoi je vous invite toutes et tous à vous rendre au domaine de Baugy afin de vérifier que vous n'êtes pas malades.

Vous n'êtes pas sans savoir que si jamais il s'agit bien de la peste, celle-ci se propage à une vitesse folle, et que les rats morts sont vecteurs de contamination. Aussi, je vous conjure de ne les toucher sous aucun prétexte si vous en voyez. La milice a été avertie et traitera les cadavres d'animaux avec la plus grande prudence, les jetant au feu sur le terrain de soule qui a été réquisitionné à cet effet. Prière donc de ne pas vous rendre là-bas, sous aucun prétexte.


Terwagne,
Maire de Sancerre

(HRP : Pour savoir si vous êtes contaminé, il vous suffit de vous inscrire sur ce forum et de suivre les instructions dans l'Antre de la puce. Le RP quant à lui se déroule sur la gargotte (ICI).

Bon amusement à ceux et celles qui participeront.)

N'ayant pas de nouvelles de Nikolag depuis trois longs jours Marispa décida de se rendre chez lui afin de savoir s'il n'était point tombé malade. Elle ne le pensait pas car il lui aurait alors fait parvenir un message, mais elle ne tenait plus en place et se rendit donc sur les lieux.

Devant la maison elle frappa à la porte évoquant mentalement toutes les possibles raisons de ce silence sans pouvoir en choisir une parmi elles. Peut-être d'ailleurs n'était-ce aucune de celles auxquelles elle pensait, il se put en effet que ce soit encore tout autre chose, ou encore, un peu de toutes ensemble. Quoiqu'il en soit elle s'apprêtait à frapper, en proie à ses tourments, lorsqu'elle avisa un bout de parchemin dépassant de sous la porte. C'était un papier de qualité, ce ne pouvait donc être qu'une missive officielle.

Poussée par l'envie de comprendre l'absence de celui qui était si cher à son coeur elle attrapa délicatement le parchemin et en prit connaissance. Elle s'y reprit à deux fois tant elle ne put en croire ses yeux!
Misère! La PESTE! LA PESTE! les mots lui avait échappés, saisie d'effroie par cette éventualité. Mais sitôt la stupeur passée elle put réfléchir à nouveau.

Voilà sûrement l'explication: son aimé avait dû se rendre au lieu indiqué afin de vérifier son état de santé. Et pourtant un doute subsistait dans son esprit, ce début de réponse faisait naître d'autres questionnements: pourquoi ne pas l'avoir avertie de son départ si tel était le cas, cela ne lui ressemblait guerre? Elle n'avait pu se méprendre à ce point sur la façon d'agir de celui qu'elle chérissait. Et puis pourquoi le parchemin serait resté sous la porte s'il en avait pris connaissance?

Elle en était là de ses réflexions lorsqu'elle pris la décision de se rendre au domaine de Baugy comme indiqué afin d'en avoir le coeur net.
Cependant elle ne pouvait partir sans en aviser Nikolag. Ausssi, elle lui laissa un mot.

Troubadour de mon coeur,
n'ayant aucune nouvelle de toi depuis trois jours
mon esprit torturé ne sait plus quoi penser.
Je me rends au lieu indiqué par Terawgne
sur le parchemin ci-joint dans l'espoir de t'y retrouver.
Je ne saurais dire à quel point tu me manques,
Ta douce.

Elle glissa le tout sous la porte et se mit en chemin sans plus attendre.

Marispa arriva hors d'haleine, épuisée par la marche qu'elle venait de faire mais le coeur léger, chargée d'un ballot contenant ses affaires. Elle ne possédait pas grand-chose: une bourse qui, jadis, avait appartenu à, feu, sa mère à ce qu'on lui avait dit, quelques ustensils de cuisine, des récipients contenant des herbes sêches aux pouvoirs guérisseurs, voilà toute sa fortune.

Mais là ne résidait pas sa richesse, Nikolag était tout ce qu'elle chérissait le plus au monde et sa maison était maintenant aussi la sienne, il le lui avait dit, elle se rappelait avec émotion ses paroles:
"La maison est à toi."
Comme ses mots si simples avaient sonné à son oreille, c'était comme la plus merveilleuse des offrandes. Comme elle avait de la chance de l'avoir son troubadour! certes il n'était pas trés présent ces temps-ci, harassé par le travail, mais il était là, quelque part et pensait à elle. Là était l'essentiel.

Elle sorti de sa rêverie et entra dans la maison.

Une fois son baluchon déballé et ses affaires rangées, elle avisa l'énorme bassine qui servait à la toilette, la remplit d'eau qu'elle avait légèrement chauffée et s'y trempa afin de se rafraîchir. Nikolag ne rentrerait que trés tard elle avait donc le temps de se délasser avant de lui préparer un dîner. Probablement même serait-elle couchée à son retour.
Elle se mit à rêver au peu de temps qu'ils avaient partager cette aprés-midi là, à ses mots, ses yeux qui pétillent, sa bouche...